Comment les mèmes sont devenus les rois des réseaux sociaux

Un article écrit par notre partenaire, l’Etincelle, un kot-à-projet néo-louvaniste centré sur le journalisme.

Facebook, Twitter, Instagram… Les mèmes sont partout. On en use, on en abuse. Pour rigoler, le plus souvent. Pour parler de la politique parfois. Avec, dans tous les cas, un double objectif : appartenir à une communauté en ligne et, surtout, flatter son égo.

D’après l’Oxford English Dictionary, un meme, au sens générique du terme, est « un élément culturel ou comportemental qui se transmet d’un individu à l’autre par imitation ou par d’autres moyens non génétiques ». Apparues sur Facebook il y a une dizaine d’années, ces publications associant un texte à une image sortie de son contexte ont le vent en poupe. Au point que les mèmes sont devenus les rois des réseaux sociaux, que la génération Z côtoie au quotidien.

Il y a différentes catégories de mèmes, plus ou moins présentes sur les réseaux sociaux en fonction du moment. On assiste ici à un phénomène similaire à celui qui anime la mode : des cycles, lors desquels certains mèmes ont plus ou moins de succès. Donatien Schmitz en publie régulièrement et connait bien cet univers. Il est étudiant à l’Université Catholique de Louvain et membre d’un kot-à-projet : “un mème fonctionne bien lorsqu’il amène quelque chose d’original”. Le revers de la médaille, “c’est de produire quelque chose de tellement décalé qu’il en devient incompréhensible pour le restant de la communauté”.

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Des réseaux sociaux jusqu’au sapin

Chiffres : 52% des consommateurs déclarent trouver l’inspiration pour acheter leurs cadeaux de fin d’année dans les publicités qu’ils voient sur les réseaux sociaux. Les fêtes approchent et, grâce aux contenus personnalisés, l’intérêt grandit pour le social commerce.

Alors qu’on nous annonce des achats de fin d’année en avance, on remarque que les réseaux sociaux pourraient avoir un rôle important durant les semaines à venir. Selon les chiffres du spécialiste de la publicité automatisée Smartly.io, les consommateurs devraient cette saison se tourner vers les plateformes sociales pour décider quoi acheter.  

Un millier de consommateurs américains ont été sondés et plus de la moitié (52%) déclarent avoir été inspirés par des annonces aperçues sur les réseaux sociaux. Plus intéressant encore, 42% rapportent avoir déjà acheté un cadeau via une publicité diffusée sur les réseaux. C’est une période cruciale pour les marques qui cherchent à capter de nouveaux clients et maximiser leurs ventes sur une période de plus en plus concurrentielle. 

Le e-commerce gagne en puissance d’année en année à l’approche de Thanksgiving, du Black Friday et du Cyber Monday, et c’est désormais sur les réseaux sociaux que tout se joue. Les achats en ligne y sont plus faciles, plus rapides et c’est pour ça que 57% des Américains disent être prêts à acheter des cadeaux de Noël directement via une annonce sociale ; un chiffre qui s’élevait à 30% l’an dernier ! 

Évidemment, Facebook et Instagram sont ici les grands gagnants. 34% des consommateurs ayant réalisé un achat pour les fêtes via une publicité sociale en 2020 étaient passés par Facebook. Or cette année, les prévisions tournent plus autour de 52% pour Facebook et 37% pour Instagram.  

Les marques s’adaptent

Avec l’évolution des modes de consommation liée à la pandémie de Covid-19, les marques et enseignes ont dû revoir leur stratégie marketing pour viser là où se trouvent leurs clients. Déjà bien saturés, les réseaux sociaux sont le moyen le plus efficace aujourd’hui de toucher sa cible, de se faire découvrir et de se différencier en étant plus créatifs que le voisin.  

Bien que l’outil soit innovant, les bonnes vieilles recettes fonctionnent toujours. Les remises restent en tête des publicités sociales les plus influentes à 60%. Ensuite, c’est une question de confiance pour 44% des internautes, surtout lorsqu’il s’agit du respect de leurs données personnelles. Pour 34% des sondés, les publicités doivent être accrocheuses, tandis que 32% attendent à ce qu’elles soient pertinentes et surtout personnalisées. Enfin, 39% s’accordent sur le fait que des publicités illustrées et bien intégrées aux fils d’actualités ont plus de chance de générer des conversions. Ça parait logique, mais il est toujours bon de le rappeler !

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McDonald’s passe la main à IBM pour mettre au point la prise de commande vocale

McDonald’s vend à IBM sa division McD Tech Labs, chargée de mettre au point la technologie de prise de commande vocale dans les drive de l’enseigne. McD Tech Labs a été créé pour faire progresser les innovations destinées aux employés et aux clients à la suite de l’acquisition d’Apprente par McDonald’s en 2019

Un test de la prise de commande vocale en juin 2021 

La technologie vocale a montré qu’elle apporte des avantages substantiels souligne McDonald’s. Mais pour passer à la vitesse supérieure, l’enseigne admet qu’il faut une société de technologies. La prise de commande par reconnaissance vocale a été testée en juin 2021 dans dix points de vente de McDonald’s à Chicago. Les résultats étaient prometteurs. 

La prise de commande était correcte dans 80% des cas, et dans 20% une personne de McDonald’s devait intervenir, indiquait Chris Kempczinski, PDG de McDonald’s lors de la conférence Alliance Bernstein’s Strategic Decisions, rapportait CNBC. 

Etre capable de gérer un nombre infini d’options sur les menus 

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Le succès mondial des VPN se confirme (mais la France est en retard)

Une étude permet de constater la démocratisation des réseaux privés virtuels.

DataReportal a récemment mené une étude mondiale pour recueillir les habitudes et les pratiques des internautes. Des constats intéressants en ressortent notamment en ce qui concerne l’utilisation des VPN. On assiste en effet à une démocratisation des réseaux privés virtuels.

Pour y voir plus clair, les analystes de DataReportal se sont appuyés sur les données d’App Annie pour extraire des informations selon les pays et les différents groupes d’âge en ce qui concerne le mois d’octobre 2021.

Une popularité limitée en France

Globalement, il faut tout d’abord noter que 28% des consommateurs utilisent un service VPN pour naviguer sur Internet. Une fois ce constat posé, on peut voir que les utilisateurs indiens sont particulièrement friands de ces logiciels avec un taux de 43,2 %. La France est largement derrière avec 20,5 %. Elle se situe toutefois dans la moyenne de ses voisins européens à l’image de la Belgique (21%), la Pologne (20,5%) et l’Italie (20,2%). Enfin, le Japon ferme la marche avec 11 % d’utilisateurs de VPN.

Le recours aux réseaux privés virtuels évolue aussi beaucoup selon l’âge des internautes. Ainsi, les 16-24 ans et les 25-34 ans utilisent bien plus les VPN que leurs aînés et notamment les 55-64 ans. Dans l’ensemble, on peut voir que la popularité de ces services décroît avec l’âge.

Ces constats ne sont finalement pas très surprenants. Selon une précédente étude dont nous vous parlions en août dernier, les VPN sont de plus en plus populaires dans le monde. D’ailleurs, en se penchant sur les données de 85 pays, les auteurs ont noté 277 millions de téléchargements de VPN en 2020 contre 616 millions de téléchargements rien que pour le premier semestre cette année.

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Météorologie : l’intelligence artificielle peut prédire s’il va pleuvoir dans deux heures

L’intelligence artificielle peut dire s’il va pleuvoir dans les deux prochaines heures, révèle une étude.

Des scientifiques du laboratoire londonien d’intelligence artificielle, DeepMind, propriété de Google et de l’université d’Exeter, se sont associés au Met Office pour mettre au point ce système de prévision immédiate.

Les méthodes traditionnelles utilisent des équations complexes et ne prévoient souvent qu’une période de six heures à deux semaines.

Le système d’IA peut faire des prévisions à court terme plus précises, notamment pour les tempêtes et les inondations critiques.

Le changement climatique rend plus difficile l’anticipation des conditions météorologiques défavorables, car la fréquence et la gravité des fortes pluies augmentent, ce qui, selon les chercheurs, entraînera à la fois des dégâts matériels importants et des décès.

« Les conditions météorologiques extrêmes ont des conséquences catastrophiques, notamment des pertes de vies humaines, et, comme le suggèrent les effets du changement climatique, ces types d’événements vont devenir plus fréquents », souligne Niall Robinson, responsable des partenariats et de l’innovation produit au Met Office. 

« À ce titre, de meilleures prévisions météorologiques à court terme peuvent aider les gens à rester en sécurité et à prospérer », dit-il.

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Pourquoi les jeux vidéo sont un puissant outil de sensibilisation

L’utilisation d’un « serious game » adapté peut s’avérer être un précieux atout.

Et si les jeux vidéo servaient de vecteur de sensibilisation aux risques et notamment en ce qui concerne le Covid-19 ? C’est le projet qu’a mené une équipe de chercheurs de l’Université de Lancaster au Royaume-Uni. Les scientifiques ont en effet lu le message de l’OMS selon lequel les jeunes âgés entre 19 et 25 ans, connaissent un taux de mortalité plus faible face à la maladie et sont de ce fait moins respectueux des gestes barrières.

Des effets positifs évidents à court terme

Pour changer les mentalités, ils ont donc mis au point un serious game dans le cadre d’une étude visant à déterminer si les jeux peuvent aider à faire passer des messages de santé publique et à changer concrètement les comportements.

Baptisé « Point of Contact », ce titre est clairement inspiré du jeu multijoueurs à succès Among Us. Basé sur la coopération, il représente un open space où les participants ont des tâches à accomplir pour augmenter leurs résultats économiques. L’un d’entre eux est néanmoins infecté par le Covid et pourrait transmettre le virus à ses collègues.

Les gameurs doivent donc trouver le bon équilibre entre les tâches à accomplir et le respect des mesures de prévention promues par le gouvernement britannique : se laver les mains, ouvrir régulièrement les fenêtres, porter un masque… La mise en quarantaine est également une option mais elle fait baisser le score économique.

Au final, l’expérience s’est avérée positive pour les participants. La perception des risques a largement progressé et 87 % des joueurs ont déclaré qu’ils feraient plus attention à l’avenir. Les scientifiques précisent cependant que si l’impact direct est assez évident, d’autres études seraient nécessaires pour mesurer les conséquences de cette pratique à long terme.

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Streaming : l’impressionnante croissance du cinéma français

Selon une étude récente, les films tricolores sont de plus en plus présents sur les plateformes.

En 2020 et cette année, le cinéma français a subi de plein fouet la crise sanitaire et les fermetures de salles. Tout se passe en revanche très bien sur le marché du streaming si l’on en croit une étude d’UniFrance qui s’est appuyé sur les données fournies par Ampere Analysis. Les auteurs ont épluché par moins de 81 services présents dans 48 pays.

Dans le détail, sa présence sur les plateformes est passée de 2,4 % en 2019 à 4,8 % cette année. Le cinéma français se retrouve donc en troisième position derrière les Etats-Unis et l’Inde, qui pèsent respectivement 41,8 % et 8,4 % de ce total.

Les séries françaises cartonnent aussi à l’international

On peut aussi voir que les longs-métrages tricolores sont particulièrement prisés par nos voisins européens. Ils représentent 5,4 % des films en Europe de l’Ouest et 6,3 % en Europe centrale et orientale. C’est notamment frappant dans des pays comme l’Italie, l’Espagne, le Portugal, mais aussi la Roumanie, les pays baltes, la Russie et la Turquie.

Les productions hexagonales ont en revanche un peu plus de mal à s’imposer en Afrique, au Proche et au Moyen-Orient, ainsi qu’en Amérique du Nord. C’est encore plus notable en Asie, même si une progression est malgré tout enregistrée.

Enfin, parmi les longs-métrages français qui cartonnent sur les plateformes, on retrouve notamment ChocolatUn Prophète, ou encore Valérian.

Pour rappel, cela se passe aussi très bien en ce qui concerne les séries. Ainsi, en 2020 les productions audiovisuelles tricolores ont battu un record historique selon une étude du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). Elles ont réalisé 355 millions d’euros de vente à l’étranger contre 325 millions en 2019.

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“Meta cagoule” : le nouveau nom de Facebook déchaine l’humour des twittos

Le nouveau nom de Facebook, Meta, a déclenché une avalanche de tweets très drôles… petit florilège.

On se souvient qu’en 2015 Google avait lancé Alphabet pour chapeauter tous ses sites et services. Facebook vient de faire pareil, en troquant le nom du groupe actuel pour Meta. Meta devient ainsi l’entité qui représente à la fois Facebook, Instagram, WhatsApp… un nom qui semble le fruit d’une longue réflexion sur l’avenir du groupe.

Le nom “Meta” évoque le fait qu’il y a “toujours plus à construire” tout en faisant le lien avec ce que la firme appelle le “Metaverse” – un projet de réseau social exclusivement accessible en VR/AR sur lequel Mark Zuckerberg mise beaucoup d’espoirs. L’annonce du nouveau nom de Facebook a déjà été abondamment relayée depuis la semaine dernière.

Meta : le grand détournement du nouveau nom de Facebook

Néanmoins sur Twitter, le nouveau nom a déclenché une avalanche de tweets tous plus drôles les uns que les autres. Il faut dire que “Meta” se prête à de nombreux jeux de mots dans toutes les langues… dont le français. Un des premiers jeux de mots à s’être répandu était “Meta cagoule”, mais il y en a eu beaucoup d’autres encore plus drôles :

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