C’est le moment de signer, ou de quitter WhatsApp

L’heure fatidique est arrivée. Que va-t-il se passer sur WhatsApp ?

Le confinement a beau nous plonger dans une pesante routine, se rappeler que le mois de mai est déjà arrivé suffira pour voir le temps filer à toute vitesse. Dans moins de deux semaines, la nouvelle politique de confidentialité de WhatsApp sera mise en place, 4 mois après la tôlé monumentale de l’annonce par la messagerie.

Souvenez-vous, au mois de janvier, alors que WhatsApp commençait à sévir. Au départ, la nouvelle politique si peu appréciée des utilisateurs devait entrer en vigueur le 8 février. Pour en forcer la signature, la messagerie avait choisi la menace. En quelques semaines, WhatsApp avait connu le pire exode de son histoire où des centaines de milliers d’utilisateurs partaient en direction de Telegram et Signal.

Comme un véritable aveu de faiblesse, l’application avait cédé et repoussé la date de mise en vigueur de sa nouvelle politique au mois de mai.

Nous y voilà. Dans moins de deux semaines, ce moment fatidique se représentera à nous. Et si WhatsApp s’est un peu calmé, rien ne l’arrêtera sur sa décision de vous faire signer son nouveau contrat redéfinissant l’utilisation de vos données personnelles. Est venu le moment de signer, ou de quitter WhatsApp.

Quels changements ?

Pour rappel, la nouvelle politique de WhatsApp vise à accorder le droit au groupe Facebook d’utiliser vos données personnelles sur la messagerie (à un degré plus ou moins élevé selon les pays) dans le but de ramener WhatsApp dans son parcours client et rentabiliser l’application.

Par la même occasion, les annonceurs pourront bien plus vous connaître et choisir des publicités plus ciblées, malgré que la messagerie prône les messages chiffrés de bout en bout et la parfaite discrétion de vos conversations (fermons les yeux sur la mésaventure de février 2020, où nos conversations WhatsApp étaient visibles sur Google).

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Commerce : le client est devenu « digital » pendant la crise sanitaire

Avec la crise sanitaire, l’e-commerce s’est fortement développé, mais les boutiques de proximité ont une carte à valeur ajoutée à jouer : l’humain.

Une forte augmentation du e-commerce. Des habitudes de consommation qui changent. Une envie de « local ». La crise sanitaire et ses confinements modifieront-ils en profondeur et dans la durée les comportements consuméristes ? « L’envolée du digital concerne tous les secteurs commerciaux, constate Régine Vanheems, cofondatrice de l’Observatoire du commerce connecté. Y compris ceux qui n’y étaient pas avant la pandémie et que la fermeture des magasins a obligés à innover pour vendre leurs produits. »
« Besoin de relations humaines »Click and collect, drive, retraits en points relais, par correspondance… L’inventivité a été au rendez-vous de la crise, même si tous les acteurs commerciaux ne se relèveront pas de cette année si particulière et très compliquée économiquement.
« La crise a servi d’accélérateur pour les entreprises digitales. Elle a poussé les autres à créer de nouveaux modes de distribution, qui passent souvent par le digital, mais pas seulement. Les automates se sont aussi développés. La livraison pour les producteurs locaux et même la vente ambulante, en camion comme il y a une cinquantaine d’années, dans les zones rurales, mais aussi périurbaines, poursuit la spécialiste de la révolution numérique dans le commerce. Ce retour du camion correspondant à un besoin grandissant de relations humaines directes. »
Selon une étude du cabinet Wavestone, 64 % des consommateurs ont changé leurs habitudes pour acheter plus local. Et la proportion de ceux qui déclarent utiliser souvent le drive en 2021 atteint 34 % et monte jusqu’à 45 % chez les couples mariés avec enfants. Quant au click and collect, il voit ses utilisateurs fréquents atteindre 33 % des consommateurs, avec un pic à 46 % chez les catégories socioprofessionnelles supérieures et les 18-29 ans.
« Face au e-commerce, il y a de la place pour des propositions commerciales mettant en avant l’humain, tempère Régine Vanheems. Par exemple, la privatisation de boutiques, dans le vêtement, avec des prises de rendez-vous. Le consommateur a besoin de proximité, de lien social. C’est un axe de développement pour le commerce de proximité. »
Pourtant, après le premier confinement, les clients qui avaient retrouvé les petits commerces pour l’alimentaire, ont repris l’habitude d’aller faire leurs courses dans les centres commerciaux de périphérie. « On ne sait pas ce qu’il va se passer dans les prochains mois. Mais je pense que les Français qui manifestent la volonté de faire vivre le commerce local vont s’impliquer dans le tissu commercial de proximité, parce que cela “ fait sens ”. Pour répondre à cette nouvelle donne, les commerçants devront se réinventer, proposer un vrai échange avec leurs clients. »
Le digital, c’est pratique, mais c’est déshumanisé : passer son temps devant un écran n’est pas la panacée. « Il n’y a qu’à constater le rush dans les boutiques dès qu’elles ont rouvert. La relation humaine est devenue un critère de choix et d’achat », estime l’universitaire.
« Si dans l’alimentaire, au bio, jugé trop cher par certains consommateurs, est préféré le “ local ”, dans les biens et services, c’est la relation qui devient un enjeu. » Certes, pour les achats répétitifs dits « de corvée », l’e-commerce avec drive restera privilégié, mais « l’achat plaisir se fera en magasin. Que le commerçant mette de la surprise, c’est-à-dire offre un plus dans le service, la présentation, le produit, et il aura gagné une clientèle qui cherche autre chose que l’aseptisé. Le client a envie de se démarquer. » Et Régine Vanheems de montrer combien l’individualisation, la différenciation, l’intimité et le chaleureux sont recherchés.
« Commerces de proximité et digital vont cohabiter »« Les gens n’ont pas envie de trouver en boutique la même chose que sur leur écran. Plus envie non plus de tous porter la même chose. Certaines grandes marques l’ont bien compris et permettent au client de retrouver en boutique la personne avec qui ils ont tchaté sur le site. Ou ceux qui mettent, sur leur page d’accueil, la photo de leurs employés. » Certaines enseignes, créées sur le Net (les fameuses DNVB : Digital Native Vertical Brand) ouvrent physiquement des magasins, dans les centres-villes.

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Pourquoi Facebook et Vinted menacent de devenir payantes sur iPhone ?

Une nouvelle fonctionnalité d’Apple permet de refuser très facilement le pistage publicitaire. Pour convaincre leurs utilisateurs de l’accepter malgré tout, Facebook, Vinted et d’autres mettent en place une sorte de chantage affectif à la donnée.

« Aidez-nous à rester gratuit en acceptant le suivi publicitaire ». Si vous avez un iPhone avec la dernière version d’iOS (iOS 14.5), vous avez peut-être vu s’afficher un message de ce type en ouvrant l’une de vos applications préférées.  

Fin avril, Apple a lancé une nouvelle fonctionnalité permettant de mieux protéger la vie privée de ses utilisateurs. Celle-ci s’appelle App tracking transparency. Elle oblige les applications à demander clairement aux utilisateurs l’autorisation de les suivre sur des applications tierces à des fins de ciblage publicitaire. Certaines applications ont donc décidé de supplier leurs clients d’accepter malgré tout le pistage en jouant sur la corde sensible. En gros, elles les menacent (gentiment) de devenir payantes en cas de refus des traceurs publicitaires. 

Mendiants de la donnée 

Facebook affiche par exemple le message suivant indique BFMTV : « Cette version d’iOS nous impose de demander votre permission pour récolter des informations liées à cet appareil pour améliorer vos publicités. (…) Nous utilisons les données liées à votre activité sur d’autres applications et sites Web pour vous montrer des publicités plus personnalisées, garder Facebook gratuit, aider les entreprises qui comptent sur la publicité pour toucher leurs clients. »L’utilisateur doit ensuite appuyer sur « continuer », et une nouvelle fenêtre s’affiche (cette fois-ci générée par Apple) lui demandant d’accepter ou refuser le pistage. Peu probable toutefois que Facebook, qui promet la gratuité pour toujours sur sa page d’accueil, devienne payant.

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La Suisse hébergera le plus puissant supercalculateur dédié à l’intelligence artificielle

Le Centre suisse de calcul scientifique à Lugano se prépare à recevoir Alps. La machine promet des avancées significatives dans de nombreuses disciplines scientifiques dans des temps record.

Un nouveau supercalculateur possédant les «performances d’intelligence artificielle (IA) les plus puissantes au monde». C’est ce que le Centre suisse de calcul scientifique (CSCS) à Lugano s’apprête à accueillir. «Alps» sera doté de capacités sept fois plus puissantes que le supercalculateur Selene de la société Nvidia, leader mondial actuel, indique Maria Grazia Giuffreda, codirectrice du CSCS, précisant qu’une partie du système a été installée en octobre et que la phase finale devrait se conclure début avril 2023.

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Réseaux sociaux : Les nouvelles tendances de l’influence beauté en 2021

Kolsquare propose une étude détaillée des vecteurs d’influence beauté sur les réseaux sociaux. La plateforme d’optimisation des campagnes de marketing d’influence a scruté le comportement de plusieurs centaines de marques et d’influenceurs sur Instagram, Facebook, Twitter, YouTube et TikTok, de janvier 2020 à février 2021. L’analyse des données quantitatives a été enrichie par une dizaine de témoignages [1]. L’étude permet de faire le point sur les spécificités des différents réseaux, les profils des influenceurs, et les grandes tendances de l’influence beauté en 2021.

Devenu incontournable dans le secteur de la beauté, le marketing d’influence est aujourd’hui un élément clé de la stratégie des marques. Les Key Opinion Leaders (KOLs) du secteur sont devenus des créateurs de contenus inspirants, à la fois interlocuteurs sans complexe et ambassadeurs des marques. Plus professionnels, ils font bouger les codes et apportent innovation et fraîcheur, avec des profils souvent experts et impactants. Une tendance qui devrait se renforcer au moment où la part des ventes en ligne ne cesse de croître, tout comme le temps passé sur les réseaux. Dans le même temps, ces derniers multiplient les outils et formats technologiques à destination des marques : réalité augmentée, boutons d’achat, live shopping.

Instagram, le réseau star de la beauté

Si la beauté a pris une telle importance sur les réseaux sociaux, explique Kolsquare, c’est que ce secteur mise beaucoup sur le visuel et sur l’expérience. « La digitalisation de la beauté ouvre la voie à l’innovation technologique : on peut aujourd’hui suivre un tutoriel ou essayer un rouge à lèvres sur son smartphone. Le marketing d’influence ajoute à ces nouvelles technologies une authenticité réelle, créée par la relation de confiance entre KOL, abonnés et marque », précise la plateforme.

En pratique, l’image est de loin le format le plus utilisé (85,9%) par les marques de cosmétiques. Viennent ensuite la vidéo (10,3%), les stories Instagram (2%) et la vidéo Instagram (IGVT) à 1%.

Réseau hyper visuel par excellence, Instagram est – de très loin – numéro un de la beauté et du lifestyle de façon générale. Le chiffre parle de lui-même : 90,4% des 1.210.622 publications liées à la beauté analysées en 2020 sont sur Instagram.

Avec plus d’un million de contenus beauté comptabilisés en 2020, Instagram offre une grande variété de formats (feed, stories, live, reels, IGTV). L’utilisation du live a véritablement explosé durant le premier confinement avec 800 millions d’utilisateurs actifs au quotidien en avril 2020. Selon Kolsquare, ce format permet aux marques et aux influenceurs d’accroître l’engagement de leur communauté avec un espace pour interagir en direct. L’utilisation des Reels tend à progresser fortement depuis l’été 2020. Ces vidéos de 15 secondes sont fortement appréciées par les marques, notamment pour détailler l’utilisation d’un produit ou lancer un challenge.

À noter que 90% des utilisateurs d’Instagram suivent au moins une marque et que 130 millions tapent sur un shopping post chaque mois, pour en savoir plus sur un produit.

Côté taux d’engagement, c’est en revanche TikTok qui domine, avec 4,9%, suivi d’Instagram (1,07%), puis Youtube (0,5%), Facebook (0,15%) et Twitter (0,03%).

S’il est encore loin d’Instagram en termes d’audience, TikTok est un réseau qui monte, surtout auprès des jeunes. Sur TikTok, la beauté est au coeur des tendances avec d’autres thématiques comme les jeux vidéo, le sport, la mode ou encore la famille et l’éducation. Selon le dernier rapport TikTok for Business, en 2020, les vidéos beauté ont connu une croissance de 90% en France, 41% en Allemagne, Suisse et Autriche et jusqu’à 238% en Espagne. « Sur TikTok, on parle autant de beauté que d’imperfections. On célèbre l’inclusivité, la différence et l’entraide. Cette communauté créative fait bouger les lignes de la beauté : elle la veut représentative de la diversité, plus écologique, plus transparente. Les vidéos les plus vues sont des tutoriels, des astuces, des conseils, des tests de produits », souligne Kolsquare.

Youtube, de son côté, est incontestablement le réseau des tutoriels beauté, plébiscité pour des vidéos plus longues et détaillées.

En 2021, une beauté green, inclusive et engagée

Selon Kolsquare, en 2021 sur les réseaux sociaux, la beauté sera green, inclusive et engagée. La plateforme de marketing d’influence pointe plusieurs hashtags et profils d’influenceurs types pour l’année :

#skincare – En 2020, un groupe nouveau a émergé chez les KOLs beauté : les skinfluenceurs, adeptes des soins pour la peau. À leurs côtés, les pharmfluenceurs ont un profil plus scientifique et sont capables de parler ingrédients des produits et types de peau.

#selfcare – Le retour au naturel a le vent en poupe avec la promotion du minimalisme, du no makeup et du véganisme. Ces tendances se sont accentuées en 2020, avec un makeup minimaliste voir absent, et une routine réduite, le fameux skip-care. Des marques green comme Lush, Origins ou Typology ont explosé.

#filter – Réalité augmentée et réalité virtuelle sont de plus en plus fréquentes dans le secteur de la beauté, elles permettent aux utilisateurs d’essayer directement différents maquillages ou accessoires. Un mode d’essai qui a pris de l’ampleur depuis la crise sanitaire.

L’affiliation : un levier décisif

La rémunération des influenceurs en fonction des ventes générées, via une commission associée à un système de tracking (lien affilié, tracker url, code promotionnel, shop Amazon dédié) s’avère particulièrement plébiscitée dans le secteur beauté, pour son efficacité et sa simplicité. Pour fonctionner, elle doit toutefois reposer sur une confiance commune entre annonceur et influenceur. Ce levier décisif implique donc une contractualisation claire de la relation, insiste Kolsquare.

La puissance des datas

Pour les marques, l’identification des influenceurs les plus pertinents reste toutefois le principal défi. Kolsquare promeut pour cela sa solution basée sur l’agrégation et l’analyse de données ciblant les influenceurs selon leur audience, leur taux d’engagement, leur nombre d’abonnés, les thématiques dont ils parlent ou encore les marques avec lesquelles ils collaborent. « Big data et machine learning permettent aujourd’hui de cibler un influenceur, de connaître ses objectifs ou encore de mesurer finement le ROI d’une campagne », souligne la plateforme.

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Ecosia : un moteur de recherche engagé pour la planète

Ecosia est un moteur de recherche engagé qui propose aux utilisateurs de contribuer à planter des arbres pour chaque recherche effectuée. Son système économique est basé essentiellement sur la publicité et 80% des bénéfices sont reversés à des programmes de plantation d’arbres.

Comme tous les moteurs de recherche, il fonctionne sur la base de requêtes tapées dans sa barre de recherche et donne un classement des sites les plus pertinents pour y répondre. Ses résultats de recherche sont générés par Microsoft Bing avec l’intervention des algorithmes développés par Ecosia et des encarts publicitaires générés par Yahoo!.

Il possède quelques spécificité, comme l’apparition d’une icône en forme « feuille verte » qui s’affiche à côté de sites d’organisations respectueuses de la planète, évaluées par les labels écologiques. A l’inverse, une icône « centrale à charbon » apparaît pour signaler les sites d’entreprise qui continuent de favoriser l’expansion de l’extraction du charbon qui nuit à l’environnement.

Ecosia respecte la vie privée par plusieurs aspects :

  • il ne conserve pas les données de recherche, celles-ci disparaissent au bout d’une semaine
  • il ne vend pas les données à des annonceurs
  • il protège les recherches en utilisant une connexion chiffrée et sécurisée
  • il est possible de désactiver le tracking

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Twitter Spaces : tous les comptes de 600 followers ou plus peuvent créer leur espace audio

Les utilisateurs de Twitter ayant 600 followers ou plus peuvent désormais créer leurs Spaces.

Twitter ouvre la fonctionnalité Spaces à plus d’utilisateurs

Le réseau social continue de développer les Twitter Spaces, ces nouveaux espaces qui permettent de lancer des conversations audio en direct. La création de ces chats audio était jusqu’à présent seulement accessible pour un nombre restreint d’utilisateurs mais Twitter offre désormais la possibilité à tous les comptes ayant 600 followers ou plus d’héberger un espace. La création de Spaces est possible sur Android et iOS.

Cette fonctionnalité permet à Twitter de rivaliser directement avec les Rooms déjà proposée par le réseau social audio Clubhouse. C’est aussi un moyen pour Twitter de s’imposer sur la nouvelle vague du vocal, un usage qui s’est fortement développé depuis le début de la pandémie mondiale, lié à l’absence d’interactions physiques et aux mesures de distanciation sociale mises en place.

Des améliorations effectuées et des nouveautés à venir

Depuis le lancement l’an dernier, Twitter travaille sur les Spaces pour les améliorer, en se basant sur de nombreux tests. Grâce aux feedbacks des utilisateurs, le réseau social a déjà lancé de nouvelles options pour permettre de mieux gérer l’audience d’un Space. Un emoji 😂 a aussi été ajouté dans les réactions possibles pour donner un moyen aux participants de réagir à ce qui peuvent les faire rire.

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+30% D’ATTENTION SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX DEPUIS LE DÉBUT DE LA CRISE SANITAIRE

La pandémie a-t-elle profité aux réseaux sociaux ? C’est la question qu’étudie l’institut d’études internationales YouGov au travers d’une nouvelle étude, menée entre décembre 2020 et janvier 2021 dans 17 pays. L’idée étant de tenter de comprendre comment l’utilisation et l’engagement envers les réseaux sociaux ont radicalement évolué à  » l’ère du Covid-19″. 

La pandémie les a rendus encore plus accrocs au digital. Ou presque. Dans cette étude, YouGov indique que depuis l’explosion de la crise sanitaire, 30% des consommateurs dans le monde ont prêté plus d’attention aux publicités sur les réseaux sociaux , ou davantage interagi avec elles, au cours de cette période.

En effet, les mois de confinement et les restrictions liés à la crise sanitaire, ont contraint les populations à passer plus de temps à domicile, leur donnant l’occasion d’être plus connectés et en possession d’appareils numériques (à défaut de pouvoir se concentrer sur d’autres activités comme aller au cinéma et donc, de streamer ). Raison pour laquelle l’institut aura constaté un engagement accru vis-à-vis des publicités sur ces canaux.  

La pandémie aura également bénéficié à de nombreuses plateformes sociales et applications, telles que Facebook, Instagram, YouTube et TikTok, quelque soient les pays sondés, recrutant alors (tous supports confondus), plus d’internautes qu’avant l’éclatement de la crise. En Inde (56%), en Indonésie (54%), en Chine (52%) et aux Emirats Arabes Unis (51%), par exemple. Et selon les résultats obtenus via diverses études Custom lancées dans 17 pays, plus de la moitié des habitants affirment accorder plus d’intérêt aux publicités sur les réseaux sociaux, ou interagir davantage avec celles-ci depuis le début de la pandémie. Toutefois, l’impact du virus est nettement moins visible en Europe avec des taux d’interaction plus faibles : 9% au Danemark, 14% en France et 16% en Allemagne.

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YouTube veut cacher le nombre de dislikes sous les vidéos

Avec la suppression du compteur de dislikes, YouTube souhaite garantir une meilleure sécurité aux créateurs de contenus.

La disparition du compteur de dislikes

YouTube vient d’annoncer le lancement d’un nouveau test sur sa plateforme d’hébergement vidéo : supprimer le compteur de dislikes sous les contenus des créateurs. Concrètement, seul le nombre de mentions « je n’aime pas » disparaît et il est encore possible pour le spectateur de cliquer sur le bouton représenté par un pouce vers le bas pour manifester son mécontentement. YouTube a par ailleurs précisé que ce test était effectué« en réponse aux retours des créateurs autour du bien-être et des campagnes ciblées de dislikes ».

Du côté des créateurs, l’accès au nombre exact de dislikes est encore disponible via le dashboard de statistiques intégré dans YouTube Studio.

Protéger les créateurs sur les réseaux sociaux

Google n’est pas le premier à tenter de diminuer l’importance des chiffres sur les réseaux sociaux. En effet, Instagram avait déjà testé la fin du nombre de likes sous ses publications. La logique derrière ces actions ? Tenter de protéger les créateurs de contenus des tentatives de cyberharcèlement, avec par exemple des campagnes de dislikes massives lancées par des internautes malintentionnés. En cachant le nombre de mentions « je n’aime pas », YouTube permet ainsi de limiter l’impact des ces raids.

Une annonce aux retours mitigés

Si le bouton « je n’aime pas » connaît parfois des débordements, il reste tout de même très utile. Du côté des créateurs, cette statistique leur permet de savoir si le contenu plaît et si la ligne éditoriale choisie est en accord avec leur communauté. Parallèlement, les spectateurs peuvent s’appuyer sur les compteurs de likes/dislikes pour avoir un aperçu rapide de la qualité du contenu qu’ils s’apprêtent à visionner. Au final, l’algorithme utilise également le compteur pour suggérer (ou non) une vidéo plutôt qu’une autre selon sa cote de popularité.

À la suite de cette annonce, certains internautes ont donc exprimé leur doutes concernant l’efficacité d’une telle mesure, en précisant notamment que les spectateurs pourraient tout à fait utiliser l’espace commentaire pour rédiger et « transformer » un commentaire en tant que bouton « je n’aime pas ».

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