Doritos devient « anti-pub » et supprime son logo

La tendance est au logo minimaliste, à l’épure, voire aux signatures sonores plus que visuelles, comme MasterCard nous l’a récemment montré afin d’anticiper la disparition future de son logo. Dans le même temps, saturés d’images, les consommateurs, notamment les plus jeunes d’entre eux, rejettent de plus en plus toute forme de publicité purement commerciale, que ce soit télévisuelle ou en ligne. À ce titre, l’adoption croissante des bloqueurs de publicité est un challenge pour les marques.

Pour atteindre la Gen Z, pour qui « l’expression de soi et l’authenticité sont beaucoup plus importantes », explique Rachel Ferdinando, vice-présidente marketing chez Doritos / Frito-Lay (groupe PepsiCo) a franchi une étape supplémentaire en se délaissant de son logo et de son nom dans sa dernière campagne « Another Level » pensée par l’agence Goodby Silverstein & Partners et présentée en avant-première lors des derniers MTV Video Music Awards. « Nous souhaitons presque rejeter la publicité traditionnelle », a-t-elle déclaré au Wall Street Journal.

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Assistants vocaux : comprendre les rouages avant d’en avoir peur

Les consommateurs et consommatrices savent-ils réellement ce que cache la technologie des assistants vocaux ?

Il aura fallu plus de 30 ans aux assistants vocaux (depuis IBM en 1961) pour connaître leurs premières applications commerciales. Avec son intégration aux smartphones puis aux enceintes connectées, la reconnaissance vocale connaît, en effet, ces dernières années une ère de croissance exponentielle (195 milliards de dollars en 2021).

De la dictée d’un message à une recherche internet en passant par un achat e-commerce ou le lancement d’une musique, pour continuer d’offrir une interactivité optimale, les acteurs doivent sans cesse étendre leur écosystème applicatif et proposer de nouvelles expériences.

Des données primordiales pour mieux servir l’utilisateur

Aujourd’hui, il existe un flou important, à l’échelle mondiale, sur la compréhension réelle de l’assistant vocal, sur son fonctionnement et sur l’exploitation des données personnelles des utilisateurs. Et qui dit inconnu dit crainte. Des craintes qui ont été renforcées par de multiples bugs de ces outils : en 2017, une petite fille de 6 ans qui commande une maison de poupées et une boîte de cookies – à l’insu de ses parents – ou encore en 2018, un couple qui découvre que sa conversation a été enregistrée et envoyée à une personne de son répertoire téléphonique.

L’utilisateur se pose la question de l’utilisation de ses données : sont-elles conservées, analysées, comment et à quelles fins ?

Pour fournir un premier élément de réponse, il faut savoir que la reconnaissance vocale peut utiliser au choix le cloud ou les technologies embarquées dans son fonctionnement. Le premier permet à l’IA d’avoir accès à une multitude d’informations en ligne pouvant servir de ressource et alimenter de nombreux cas d’usage. En contrepartie, la dépendance à Internet est inévitable. Tandis que le second est totalement autonome vis-à-vis de la connexion internet, mais verra son champ d’action en partie réduit. 

Cette dichotomie fait notamment écho à certaines directives du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données datant de mai 2018). En effet, dans ce dernier est mentionné le “Private by design” : une conception des technologies pensée pour respecter les données de l’utilisateur. Logiquement, il est facile de penser que seul un outil sans connexion internet peut l’être, car aucune information ne pourra transiter en dehors de lui. Pourtant, selon les protocoles mis en place et l’éthique des entreprises, des services cloud sécurisés peuvent garantir une totale étanchéité du flux de données personnelles. 

En effet, les données à l’ère du Big Data sont sensibles pour l’utilisateur, mais indispensables pour les entreprises de l’IT. L’outil technologique derrière l’assistant vocal a besoin de s’améliorer, d’apprendre, de corriger ses erreurs pour pouvoir davantage assister l’utilisateur dans son quotidien. Cette amélioration, nécessaire pour garantir la meilleure expérience d’utilisation, est néanmoins très dépendante des “inputs”, c’est-à-dire des données, que le système se verra administrer. Ceci est d’autant plus vrai lorsque l’objectif est de personnaliser l’assistance vocale avec les habitudes et les préférences de l’utilisateur ! C’est pour ces dernières raisons que les solutions vocales aujourd’hui se basent notamment sur les données des individus. Pour autant, cela ne justifie pas que certains acteurs conservent les données et les utilisent dans un but autre que l’amélioration de l’expérience. 

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72% DES 16-24 ANS UTILISENT LES MÉDIAS SOCIAUX EN REGARDANT LA TÉLÉVISION

Selon le dernier rapport sur les tendances social media du Global Web Index, depuis que l’industrie des médias sociaux a commencé à rendre des comptes depuis 2-3 ans, de nombreux faits sont passés au peigne fin : le temps passé sur les différentes plateformes, l’impact des médias sociaux sur les jeunes, les scandales sur la manière dont le contenu doit être modéré ou le degré de responsabilité que les plateformes devraient endosser pour la désinformation circulant les réseaux. La mise des médias sociaux sous un microscope a permis l’émergence des outils de bien-être numérique en tant que principal tendance de l’industrie pour 2019, indique le rapport. Des outils qui visent à aider les individus à comprendre comment ils utilisent la technologie qui les entoure et à donner des conseils et techniques pour établir des habitudes saines.

DE NOUVELLES FONCTIONNALITÉS POUR LE BIEN-ÊTRE NUMÉRIQUE

Les fonctionnalités du « Digital Wellbeing » de Google fournissent des analyses sur le temps d’utilisation. Les utilisateurs d’Android peuvent définir des délais afin de ne pas passer trop longtemps dans une application particulière, tandis que les propriétaires du Google Pixel peuvent utiliser la fonction « Wind Down » pour réduire la lumière bleue de l’écran avant d’aller à lit. Apple propose des fonctions similaires avec sa fonction « Screen Time » dans iOS 12, comme Facebook (« Votre temps sur Facebook ») et Instagram (« Votre activité »).

Les recherches de Google ont démontré que 78% de la population se sentait plus heureuse à propos de son utilisation du téléphone depuis l’installation d’une application de bien-être numérique. Les utilisateurs ont rapporté avoir trouvé plus de temps pour méditer et ont déclaré qu’ils avaient améliorer la qualité de leur sommeil. « Ironiquement, le revers de la dépendance à l’écran est que la technologie peut nous permettre de prendre en charge notre propre santé », pointe le rapport.

Global Web Index

6 INTERNAUTES MONDIAUX SUR 10 CONSTAMMENT CONNECTÉS EN LIGNE

Selon le Global Web Index, 6 internautes mondiaux sur 10 disent qu’ils sont constamment connectés en ligne. 98% des consommateurs ont utilisé un réseau social au cours du dernier mois, ce qui signifie qu’être un utilisateur d’internet signifie être un utilisateur de médias sociaux. Les consommateurs numériques passent maintenant en moyenne 2 heures et 23 minutes par jour sur les réseaux sociaux. Selon le rapport, « un coup d’œil à la tendance des données suggère ici que nous pourrions approcher saturation de la consommation des médias sociaux ».

Global Web Index

« Au troisième trimestre 2018, nous avons commencé à regarder le temps passé sur les médias sociaux à travers une poignée de pays – où le temps passé en ligne est simultanément resté le même ou a diminué » : de nombreux internautes ont une meilleure connaissance du temps passé sur les écrans, ainsi que des effets négatifs associés à l’utilisation des médias sociaux, et souhaitent donc une désintoxication numérique. Cette tendance s’est poursuivie au premier trimestre 2019, où le temps passé sur les médias sociaux a diminué ou est resté inchangé par rapport aux données de 2018 dans 20 cas sur les 45 marchés étudiés.

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Les avis clients sur la toile, good cop ou bad cop ?

Pour n’importe quelle marque, produit ou service commercialisables, vous trouverez nombre de commentaires positifs et négatifs sur Internet qui vous

aiguilleront sur leur bien fondés… ou non. Qu’ils prennent la forme d’un post Facebook, d’un nombre d’étoiles sur Allociné ou d’un paragraphe à rallonge sur Go Voyage, ils sont indispensables aux logiques d’achats des consommateurs.

Réseaux sociaux, moteurs de recherche, forums… Il est toujours bon de le re-répeter : Internet est une mine d’or d’informations. Un simple clic suffit pour connaitre l’opinion d’un parfait étranger, parfois situé à l’autre bout de la planète, sur la station balnéaire douteuse que vous vous apprêtiez à réserver. Sans parler d’aller mater les critiques spectateurs avant d’aller au ciné, où ces petites étoiles ont empêché plus d’un naufrage vidéoludique. Mais attention à ce que vous écrivez : les conséquences de vos pouces verts ou rouges sont souvent considérables pour les marques concernées. Pour vous aider à y voir un tantinet plus clair sur ces outils d’expression qui cristallisent l’attention client, iProtego, entreprise spécialisée dans la gestion et de la protection de l’e-réputation des entreprises et des particuliers, fait le point sur les différents types d’avis qu’il faut savoir distinguer.

« Selon une récente étude IFOP, 90% des français consultent Internet avant de convertir un achat. Devenus de véritables leviers d’influence, les avis clients peuvent être de vrais atouts pour l’entreprise ou tout simplement dévastateurs. Pour sûr, ils ne doivent pas être pris à la légère par les entreprises et doivent être réfléchis avant d’être laissés sur la toile par les internautes », précise Ludovic Broyer, Fondateur d’iProtego.

Les avis favorables ou argumentaires commerciaux

Les avis positifs s’avèrent extrêmement révélateurs en matière commerciale et permettent d’accroître positivement l’image d’un établissement ou d’un site e-commerce. Pour les internautes, il s’agit de véritables gages de qualité. C’est pour cela qu’il est important de demander aux clients satisfaits de laisser un commentaire car ils peuvent réellement impacter l’entreprise visée, notamment dans les secteurs de la distribution, du tourisme et également dans le secteur de la santé. Néanmoins attention aux « faux » avis positifs qui constituent une infraction. Ce sont des pratiques commerciales trompeuses et anticoncurrentielles. Malgré cela, certaines agences spécialisées en e- réputation ou en référencement enfreignent sciemment la loi et ce, contre quelques centaines d’euros. Généralement situées à l’étranger, ces agences proposent tout simplement de créer une image positive factice de leurs clients afin d’augmenter leur rendement ou leurs bénéfices au détriment du consommateur qui s’avérera dans bien des cas lésé par les sites ou prestataires concernés.

Les avis négatifs, bêtes noires des entreprises

 

Les avis négatifs, tout comme les avis positifs, reflètent la qualité des prestations ou produits vendus, et peuvent nuire gravement à l’e-réputation de certains professionnels.

« Une réponse appropriée peut amener un consommateur déçu à revoir son jugement sur la marque et le produit. Il est essentiel de soigner sa réponse qui sera visible des autres consommateurs. Proposer des solutions concrètes au consommateur insatisfait peut parfois renforcer l’image de marque » commente Ludovic Broyer, fondateur d’iProtego.

Toutefois certains clients insatisfaits ne se contentent pas de donner un avis négatif, ils insultent copieusement les prestataires ou encore les dénigrent par des propos calomnieux et diffamatoires. Parfois justifié, d’autre fois non, ce type d’avis constitue également des infractions à la loi du 29 juillet 1881. Ce type de contenu peut, de par sa nature, faire l’objet de demandes de suppression et ce, en application de la loi précédemment citée.

« Les avis clients font partie de la vie de l’entreprise et de sa pérennité. Ils peuvent vite devenir un ennemi à partir du moment où l’entreprise ne maîtrise pas sa e-réputation. C’est pourquoi il est essentiel d’être présent sur le web et de tenir compte des avis clients satisfaits ou mécontents », estime Ludovic Broyer.

— À lire sur www.influencia.net/

Comment optimiser son site pour la recherche vocale ?

Pour les professionnels et les spécialistes du marketing, chaque type de recherche sur Internet exige l’application de stratégies différentes, continues et évolutives pour acquérir cette position convoitée au premier rang…

Dans ce billet, nous traiterons la différence entre l’optimisation des moteurs vocaux (VEO) et le référencement, ainsi que les stratégies de mots-clés qui contribueront à générer du trafic vers votre marque.

La recherche vocale consiste à poser une question à un appareil intelligent (Google, Alexa, Siri, Cortana) pour que l’assistant virtuel intelligent fournisse rapidement la réponse la plus pertinente.

Quand quelqu’un utilise un ordinateur de bureau pour la recherche, les SERPs offrent des résultats supérieurs avec l’option de cliquer et de faire défiler sans limites. Les recherches mobiles affichent généralement les 3 premiers résultats locaux avec des liens rapides pour les directions, un numéro de téléphone et un site Web. Avec la recherche vocale, Google/Siri/Cortana n’offre généralement qu’une seule réponse.

En tant que spécialiste du marketing, votre objectif est d’optimiser votre contenu de manière à ce que votre réponse soit la réponse fournie. Vous vous demandez peut-être aussi pourquoi changer de stratégie et optimiser votre recherche vocale ? Selon ComScore, la recherche vocale devrait représenter 50 % de toutes les recherches d’ici 2020, et les recherches vocales mobiles sont 3 fois plus susceptibles d’être locales que toute recherche textuelle.

Cela est à nuancer. Ce type d’usages n’est pas si mature que cela en France comparé aux Etats-Unis, bien que leur usage progresse. Les fournisseurs ont analysé les chiffres de ventes et d’usages. Ils ont ainsi pu réaliser que seuls les appareils dotés d’un écran font l’objet d’une réelle utilisation, passé l’excitation des premiers jours suivant l’achat.

Mettez à jour votre stratégie SEO et VEO dès maintenant. C’est particulièrement vrai si vous vendez des biens, travaillez dans l’industrie alimentaire, fournissez des services immédiats comme la plomberie, le chauffage, la ventilation, la climatisation, l’alimentation, l’essence, etc. et/ou si l’emplacement est essentiel à votre entreprise.

Optimiser pour la voix est un défi de taille, mais avec le bon mot-clé et les bonnes stratégies de test, il est possible de le maîtriser. Pour commencer, parlons de la façon dont la stratégie de mots-clés VEO diffère de celle du SEO.

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24% DES FRANÇAIS POSSÈDENT UN ASSISTANT VOCAL

Le rapport « State of Digital Lifestyles » réalisé par la société Limelight révèle que 24% des consommateurs français possèdent un assistant numérique tel qu’Alexa d’Amazon ou Google Home. Le chiffre est en hausse de 60% par rapport à l’année précédente. Les Français se situent dans la moyenne à l’échelle mondiale. L’Inde et le Royaume-Uni se hissent en haut du classement, avec respectivement 40% et 38%, alors que le Japon compte seulement 15% de propriétaires. Mais la majorité des consommateurs continuent de considérer ces outils comme « non-essentiels ». 20% d’entre eux déclarent être prêts à renoncer à leur utilisation de manière définitive. 51% des consommateurs français se disent davantage inquiets qu’il y a un an quant au vol potentiel de leurs données personnelles en ligne. Quant aux assistants vocaux, 44% expriment des craintes en matière de confidentialité des données.

Le rapport révèle également que presque la moitié des Français serait accro à leur smartphone : 46% des consommateurs français interrogés déclarent qu’ils seraient incapables d’arrêter d’utiliser leur téléphone portable rien qu’une journée. Contre toute attente, les 36-45 ans sont plus accros que les jeunes, à 51% contre 49% pour les 18-25 ans. Les Français ne sont que 4% à être prêts à renoncer définitivement à leur utilisation. Le rapport indique également que 79% des consommateurs français déclarent que la technologie numérique a permis d’améliorer leur vie. En Inde, le ressenti de l’impact positif de la technologie monte à 94% des consommateurs interrogés. 

Chaque jour, 30% des consommateurs français écoutent de la musique en ligne et 31% téléchargent ou regardent des films et des émissions télévisées en ligne. Près de deux tiers des français interrogés choisissent de visionner des films et des émissions télévisées en streaming plutôt que de les télécharger ou d’en acheter des copies physiques et 58% préfèrent écouter de la musique en streaming plutôt que de télécharger ou d’acheter des disques. Mais 49% d’entre eux continuent de privilégier les magasins physiques aux sites en ligne pour leurs achats et plus d’un tiers (41%) déclarent préférer regarder un film au cinéma plutôt qu’en ligne ou à la télévision. 

THE STATE OF DIGITAL LIFESTYLES – 2019

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Réseaux sociaux : entre mécanique addictive et curseur social, à quoi sert le « like » ?

Nocif pour la santé mentale, addictif, marqueur d’approbation sociale… Le bouton j’aime et les pouces bleus divisent sur les réseaux sociaux, alors que la course aux likes n’a jamais été autant d’actualité. Mais à quoi sert-il, au juste ?

Une fonctionnalité propre à chaque plateforme

4, 5 milliards. C’est le nombre de j’aime comptabilisés chaque jour sur Facebook à travers le monde. Juste derrière le géant californien, le compteur de likes d’Instagram plafonne, lui, à 4,2 milliards. Des chiffres qui donnent le tournis, et qui en disent long sur l’omniprésence du petit pouce en l’air sur nos écrans.

Apparu il y a tout juste dix ans avec Facebook, on le retrouve aujourd’hui sous plusieurs formes, aussi bien sur Instagram que YouTube, Twitter, LinkedIn et de nombreux sites de rencontre. Un outil marketing quasi-indispensable, puisqu’il permet aux plateformes de créer de l’engagement, soit de l’interaction entre les abonnés et le réseau social en question. Aujourd’hui, la course au like est plus d’actualité que jamais. En témoigne l’explosion de sites et tutoriels pour acheter et gagner des likes sur la toile. 

Jean-Baptiste Bourgeois, planneur stratégique de l’agence We Are Social, s’est penché sur la question. Pour lui, la fonctionnalité du like est intrinsèque à chaque plateforme, et peut donc être interprétée de différentes façons. « Un like sur Instagram est différent d’un like sur Twitter, résume-t-il. Liker un tweet, c’est savoir qu’il va s’afficher dans la timeline de notre communauté. Par conséquent, il entre dans le cadre d’une construction sociale virtuelle. » En gros : l’utilisateur affiche volontairement ses goûts, qu’ils soient politiques ou culturels, pour se positionner par rapports aux autres utilisateurs.

Le like n’a pourtant pas toujours existé sur Twitter. Jusqu’en 2015, la plateforme avait recours à des « favoris », symbolisés par une petite étoile positionnée en bas à gauche de chaque tweet. Elle servait de « marque-page », pour stocker une info et pouvoir la retrouver facilement. Le like l’a ensuite remplacée et a pris la forme d’un petit coeur rouge. Derrière ce changement, la volonté du réseau social de « faciliter et enrichir l’usage » du j’aime. « Nous savons que les étoiles pouvaient prêter à confusion, en particulier pour les nouveaux utilisateurs. Vous pouvez aimer beaucoup de choses, mais toutes ne peuvent pas être vos favorites », a justifié l’équipe de Twitter dans un communiqué.

On le retrouve d’ailleurs aussi sur Instagram ce petit coeur rouge. Mais sa fonction est différente, de par la nature même du réseau social basé essentiellement sur l’image. « A ses débuts, Instagram était une petite révolution culturelle où tout le monde jouait au photographe. Le like était là pour saluer le pseudo talent de quelqu’un », explique Jean-Baptiste Bourgeois. Quelques années plus tard, la plateforme a troqué ses photos de paysages arty pour devenir le royaume des influenceurs. Les selfies sublimés à coups de filtres se sont imposés comme la norme.

« A SES DÉBUTS, INSTAGRAM ÉTAIT UNE PETITE RÉVOLUTION CULTURELLE OÙ TOUT LE MONDE JOUAIT AU PHOTOGRAPHE.
LE LIKE ÉTAIT LÀ POUR SALUER LE PSEUDO TALENT DE QUELQU’UN »

« Désormais, le like s’inscrit dans cette quête permanente d’attention et d’amour », ajoute-t-il. On like pour être liké en retour. Recevoir des j’aime sous sa publication, sorte de récompense narcissique, permet de valider que ce qu’on a posté plaît à la communauté.

Pour certains, le like est surtout un moyen d’exister professionnellement. C’est le cas de Barbara, 22 ans. Issue de la région toulousaine, la jeune femme évolue dans le milieu du mannequinat et a été élue Miss Elégance en 2016. Sur son compte professionnel, ses photos ultra léchées oscillent entre 300 et 700 j’aime pour un total de presque 2000 abonnés. « C’est vrai que je suis plutôt attentive au nombre de likes sur mon compte pro, reconnaît-elle. Avoir beaucoup de likes signifie que ma photo a été relayée par plus de monde, et qu’elle est potentiellement passée sous les yeux de personnes qui ont un rapport direct avec le milieu dans lequel j’évolue. »

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4 bonnes pratiques pour les vidéos courtes sur Twitter

Utiliser la vidéo est une excellente stratégie. Les vidéos se prêtent en effet parfaitement au storytelling visuel et diversifient votre contenu. Selon des données internes Twitter, 93 % des vues de vidéos ont aujourd’hui lieu sur des appareils mobiles. En conséquence, les vidéos plus courtes sont efficaces, la durée idéale étant de 15 secondes maximum.

Vous ne savez pas par où ni comment commencer ? Inspirez‑vous des idées et astuces des quatre marques ci‑dessous pour maximiser l’impact de vos vidéos.

Optez pour des visuels efficaces

Quand vous disposez de 15 secondes ou moins pour attirer l’attention de votre audience, vos visuels se doivent d’être percutants. Captez l’attention des spectateurs avec des couleurs vives, des images époustouflantes et du mouvement qui suscite l’intérêt. 

La @NFL a partagé une publicité de la marque @Tide qui met en scène deux joueurs de football américains en pleine action. Que vos soyez fan de ce sport ou tout simplement curieux, cette vidéo est un exemple efficace de storytelling visuel ultracourt.

Rédigez un Tweet bref et percutant

Le meilleur allié d’une vidéo courte est un Tweet concis. Les vidéos accompagnées d’un Tweet très court génèrent une mémorisation de la marque et du message et une durée de visionnage globale 13 % plus élevées par rapport aux Tweets plus longs, selon des données internes Twitter. 

La marque de cosmétiques @glossier associe un Tweet court à une vidéo amusante de 15 secondes, dans laquelle l’un de ses employés met son produit Bubblewrap à l’honneur.

Présentez votre marque ou produit dans les 3 premières secondes

La première impression est capitale. Les spectateurs doivent pouvoir facilement relier vos vidéos à votre marque, ce qui renforce la notoriété de celle‑ci. Montrez donc votre logo ou produit dans les trois premières secondes de votre vidéo. C’est l’une des clés d’un marketing avisé : s’ils voient un produit qu’ils aiment, les utilisateurs sont plus susceptibles de se souvenir de la marque.

La marque de vêtements @Bodenclothing utilise à bon escient une introduction « Boden présente » pour sa vidéo de 15 secondes qui dévoile sa collection d’été.

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Vidéo : Twitter déploie un nouveau format publicitaire

Si la vidéo est visionnée moins de 6 secondes, l’annonceur ne sera pas facturé.

Pour intéresser de nouveaux annonceurs, Twitter vient de dévoiler son nouveau format publicitaire. Disponible pour les vidéos d’une durée de 15 secondes et moins, ce mode d’achat permet à l’annonceur de n’être facturé que lorsque sa vidéo est vue pendant au minimum 6 secondes. Si le tweetos ne reste que 5 secondes sur la vidéo, Twitter considérera qu’il n’est pas intéressé et que l’annonceur n’a pas à débourser 1 centime.

6 secondes minimum

Pour Twitter il s’agit d’une nouvelle option « flexible » pour les annonceurs qui se soucient de plus en plus du temps que passe leur cible à visionner leurs contenus publicitaires. Ce nouveau format s’inspire de ce qu’avait YouTube il y a quelques années, mais offre cette fois-ci la possibilité aux annonceurs de proposer des vidéos plus longues.  Aucun doute, cela devrait plaire aux marques. 

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Les Avis Google My Business sont-ils utiles ou pas ?

Google My business est un des outils de Google destiné aux entreprises, artisans et professions libérales. Aujourd’hui, un bon nombre d’entreprises se lancent dans la collection d’avis auprès de leurs clients afin d’optimiser leur fiche et espérer une meilleure visibilité.  Mais est-ce vraiment le cas ?

Les avis et commentaires sur nos fiches influencent-ils notre référencement dans le pack local et par la même occasion le chiffre d’affaires ?

Une étude a été menée auprès de 200.000 établissements par SaaS provider Womply. Son objectif était de montrer la corrélation entre les avis et le revenu généré par de petites entreprises de secteurs d’activité différentes comme des restaurants, médecins, avocats, magasins, coiffeurs, freelances…

Womply a trouvé une corrélation entre les avis, la présence en ligne et le revenu généré par les entreprises.

Les résultats ?

Pour résumer, l’étude montre que :

  • Les entreprises locales qui sont propriétaires de leurs fiches génèrent 58% de revenus de plusque celles sans fiches. Vous serez surpris du nombre d’établissement qui n’a pas encore accès à leur fiche Google My business pour avoir le contrôle sur leurs informations. C’est la première étape pour améliorer son référencement local.

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