Google et NLP : quels changements pour le SEO ?

Le travail de Google sur le NLP (traitement du langage naturel) est-il en train de transformer en profondeur le référencement naturel ? On fait le point. 

Google et le NLP : le traitement du langage naturel est-il un game changer pour le SEO ?

Depuis plus de dix ans, Google investit massivement dans la recherche et le développement de technologies basées sur l’intelligence artificielle et ses dérivés, notamment le traitement du langage naturel. 

On le retrouve non seulement dans de nombreuses applications entrées dans nos foyers (les traducteurs automatiques et les assistants virtuels au premier chef), mais aussi dans l’algorithme du moteur de recherche – utilisé quotidiennement par plus d’1 milliard d’internautes. En quoi ce travail de Google NLP (Natural Language Processing) change-t-il la donne pour le référencement naturel ? Est-ce vraiment un game changer en matière de SEO ?

C’est quoi, le traitement du langage naturel ?

Le traitement du langage naturel (NLP en anglais) désigne la capacité d’un système à comprendre le sens des mots à partir d’un texte écrit ou du langage parlé, afin d’en saisir les subtilités et les nuances : le ton, le phrasé, le choix de certains mots plutôt que d’autres, le contexte, les émotions, etc.

La volonté de faire intégrer le langage naturel aux machines n’est pas une marotte récente. Voilà plus de 50 ans que les ingénieurs travaillent à rendre le langage humain plus aisé à comprendre pour les programmes informatiques, et qu’ils s’attachent à développer des technologies capables d’employer ce talent. Après un bond en avant dans les années 80 avec les débuts du machine learning, c’est l’augmentation exponentielle de la puissance de calcul et des capacités de stockage dans les années 2000 qui a ouvert un boulevard à la recherche dans ce domaine.

Le but ? Fluidifier les échanges entre les êtres humains et les machines, simplifier et automatiser les tâches, traiter d’importants volumes de données, et in fine optimiser le quotidien des utilisateurs. Dans cette optique, il faut non seulement que les programmes soient « formés » au langage naturel, mais aussi qu’ils puissent apprendre au fur et à mesure de leurs interactions avec les utilisateurs afin de développer leurs compétences et de répondre toujours mieux aux demandes. Pour cette raison, le NLP se place au croisement du machine et du deep learning, comme sous-discipline de l’intelligence artificielle.

(Source : encora.com)

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L’intelligence artificielle se met au service des appareils ménagers

L’intelligence artificielle se met au service de la maison, la rendant plus saine et écologique. 

Qui l’eût cru ? L’aspirateur est le nouveau joujou de la jeunesse française. Si, si, c’est vrai… Selon une étude OpinionWay menée pour la marque Miele, 52 % des 18-24 ans et 46 % des 25-31 ans estiment qu’ils sont accros à cet appareil ménager. Pour le sociologue Ronan Chatelier, « son utilisation devient un défouloir, une pulsion qui est une victoire sur le laisser-aller ». Bien sûr, la traque aux poussières a été accentuée par les confinements et le télétravail. Plus on passe de temps chez soi, plus on aspire (littéralement) à un intérieur sain, et plus on en prend soin.

En un an, les ventes d’aspirateurs ont progressé de 10,2 % selon le Gifam. Ce qui n’est pas anodin puisque leur prix moyen se situe aux alentours de 500 euros. Sorti à l’automne dernier, le X-Ô de Rowenta casse la baraque chez Darty comme chez ­Boulanger. Tout rond, tout blanc, tout mignon, ce sans-fil est le clone d’un héros culte de Star Wars, le robot R2-D2. Monté sur 54 roulettes, il suit son maître dans tous les coins et les recoins pour traquer l’empire des acariens. Il a fallu trois ans de développement pour mettre au point cet engin agile et silencieux qui combine technologie avancée et performance écologique. Fabriqué en France, il est garanti quinze ans de réparabilité.

Des lave-linge plus autonomes

« Chaque fois que nous concevons un nouvel appareil, nous intégrons aussitôt la question de sa durabilité« 

Les nouvelles machines de ­Siemens, d’Electrolux, de Miele ou de Bosch programment toutes seules le dosage de la lessive, la durée de lavage, sa température, et la quantité d’eau nécessaire. L’économie en eau réalisée peut aller jusqu’à 40 litres par cycle, soit 96 % d’économie par rapport à un lavage standard. Quant au FiberCatcher de Grundig, il est le premier lave-linge à retenir 90 % des microfibres synthétiques libérées par les vêtements et éliminées dans l’eau de rinçage. Une démarche écolo qui lui a valu le grand prix de l’innovation de la dernière Foire de Paris.

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Comment un bug de taxis autonomes a paralysé la circulation

L’opérateur de robotaxi Cruise a semé la zizanie à San Francisco en début de semaine lorsque plusieurs de ses véhicules se sont soudainement arrêté sans raison.

La scène se passe à San Francisco, mardi soir : plusieurs taxi autonomes opérés par Cruise (une filiale de General Motors) se sont subitement arrêté sur la chaussée, bloquant complètement la circulation dans un quartier du centre ville pendant 2 heures.

La situation n’a pu être résolue qu’après l’intervention de techniciens sur place. La flotte Cruise n’est en service à San Francisco que depuis la semaine dernière. La ville est d’ailleurs l’une des seules aux Etats-Unis où l’exploitation commerciale des taxis autonomes est autorisée.

Quand une flotte de robotaxi bogue, c’est l’embouteillage

Il y’a d’ailleurs des garde-fous : certes les voitures autonomes ont le droit de rouler sans conducteurs, mais leur circulation est limitée par GPS à un ensemble de rues précis et elles ne peuvent rouler qu’en soirée et la nuit pour éviter de trop gros problèmes de circulation. L’opérateur a présenté ses excuses dans un communiqué de presse.

Toutefois Cruise a omis de préciser exactement ce qui a pu être à l’origine du bogue : “nous avons rencontré un problème un peu plus tôt dans la semaine qui a causer certains de nos véhicules à s’agglutiner. Bien que cela ait été résolu sans impact sur les passagers, nous présentons nos excuses pour la gêne occasionnée”.

La technologie des taxi autonomes reste à ce stade expérimentale – d’où les conditions assez particulières pour qu’ils puissent opérer dans une ville comme San Francisco. Dans un avenir proche, on peut imaginer que ce type de bugs se déclarent sur des flottes déployées ailleurs, dans les villes qui permettront la circulation de ces taxis à plus ou moins court terme.

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Télécoms : l’UE prolonge « l’itinérance comme à la maison », qu’est-ce que ça veut dire ?

L’Union Européenne vient d’annoncer la prolongation de « l’itinérance comme à la maison » (roam-like-at-home) jusqu’en 2032. Mais qu’est-ce que cela signifie ?

« Il s’agit d’un avantage très concret que nous apporte le marché unique européen » se félicite Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence. Ce vendredi, l’UE a prolongé « l’itinérance comme à la maison » jusqu’en 2032. Cette règle permet aux Européens d’utiliser leur forfait mobile dans tous les pays de l’UE comme s’ils étaient dans leur propre pays.

« Grâce à la prolongation de ces règles, les prix pratiqués entre opérateurs resteront concurrentiels et les consommateurs pourront continuer à bénéficier gratuitement des services en itinérance pendant les dix prochaines années » poursuit Margrethe Vestager.

Même qualité à l’étranger qu’à la maison

Les « consommateurs pourront désormais bénéficier, à l’étranger, de la même qualité d’internet mobile que celle dont ils disposent chez eux » peut-on lire sur le communiqué de l’Union Européenne.

Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, se félicite aussi de cette décision. Il rappelle :

« Vous souvenez-vous de l’époque où nous devions désactiver nos données mobile quand nous nous déplacions à l’intérieur de l’UE, pour éviter de recevoir une facture d’itinérance astronomique ? Cette époque appartient au passé ! Est i les sera ainsi au moins pendant les dix prochaines années. Une vitesse accrue, davantage de transparence : nous continuons à faciliter la vie des Européens.« 

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Appli Instagram : enfin une fonction pour supprimer un compte

Contraint de se plier aux nouvelles règles d’Apple, Instagram ajoute une fonction de suppression de compte directement dans l’appli mobile pour iOS. On attend la même chose pour la version Android.

Supprimer son compte Instagram a toujours été un casse-tête. Pour éviter que les utilisateurs lassés quittent le réseau social, Meta – propriétaire d’Instagram, de Facebook, de Messenger et de WhatsApp – avait rendu la tâche difficile. Jusqu’à présent, la suppression ou la désactivation de compte Instagram ne pouvait pas du tout s’effectuer depuis l’application mobile : il fallait absolument passer par le site Web, avec un navigateur, et farfouiller dans les menus (voir notre fiche pratique) pour trouver l’option (accessible dans une page dédiée). Une opération – volontairement ? – pénible, dans laquelle nombre d’utilisateurs n’osaient pas se lancer, par méconnaissance ou par flemme, ce qui arrangeait bien les affaires du réseau social, trop heureux de conserver sa base de « clients », même inactifs, et d’exploiter leurs données… 

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Des plantes peuvent pousser dans le noir complet grâce à la science

Les limites fondamentales de la nature sont à nouveau repoussées par la science qui pourrait aider grandement le monde agricole.

Il y a des choses contre lesquels la science ne peut rien. Des règles de la nature qui sont là depuis le commencement et qui semblent impossibles à transgresser. Mais alors que les chercheurs tentent toujours d’aller plus loin, ces derniers pourraient bien avoir franchi une de ces fameuses barrières naturelles.

Les scientifiques de l’université de Riverside et du Delaware viennent en effet de publier un article dans la revue Nature Food expliquant qu’ils ont réussi à faire pousser des plantes dans le noir. Si certaines espèces de plantes sont plus ou moins sensibles à la lumière, aucune ne peut se développer dans le noir absolu.

Pour rappel, la photosynthèse, qui est le mécanisme naturel à l’origine de la croissance des plantes, est conçue autour de trois grands axes. Si les deux premiers (les nutriments du sol et le dioxyde de carbone) se trouvent aussi bien dans le noir qu’en plein jour, ce n’est pas le cas du troisième facteur : la lumière. Cette dernière est essentielle à la croissance des plantes, et elle ne peut pas être remplacée, du moins elle ne pouvait pas l’être jusqu’à présent.

Produire des fruits et légumes dans le noir

Mais l’expérience menée par cette équipe de chercheurs américains semble avoir réussi à nous prouver le contraire. En remplaçant la lumière par de l’électricité, les scientifiques ont réussi à produire de l’acétate. Cette molécule a permis de nourrir la plante et de la faire grandir, alors même qu’elle se trouvait dans le noir complet.

Selon les chercheurs, cette méthode permettrait ainsi de produire dans le noir, mais aussi de produire en bien plus grande quantité. En effet, ils estiment que la production serait 18 % plus importante grâce à cette nouvelle méthode. D’après leurs estimations, le processus naturel qui permet aux plantes de se développer n’utilise qu’un seul pour cent de l’énergie produite par le Soleil.

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La fin d’Internet Explorer fait paniquer la troisième puissance mondiale

Ce pays n’a pas anticipé à temps la disparition du célèbre navigateur.

Le 15 juin dernier, Microsoft a mis au support sur Internet Explorer. Ce jour marque donc en quelque sorte la disparition du navigateur internet. Si pour beaucoup, cela sonne comme une bonne nouvelle, ce n’est clairement pas le cas au Japon.

Contre toute attente, certains regrettent Internet Explorer

De manière surprenante, le pays du soleil levant n’a pas anticipé cette transition à temps et de très nombreux sites web continuent d’être configurés pour Internet Explorer. Parmi eux, des agences gouvernementales, mais aussi des institutions financières et des entreprises industrielles.

Nikkei Asia s’est procuré une enquêté réalisée en mars dernier par la société Keyman’s Net. On y apprend qu’un très grand nombre d’organisations utilisent toujours Internet Explorer, et que 49 % des personnes sondées recourent toujours au navigateur de Microsoft pour surfer sur le web.

Pire, de nombreux services internes aux entreprises ne sont accessibles que via Internet Explorer et notamment la gestion de présences des employés, le règlement des feuilles de frais, ainsi que certains outils.

Autre chiffre pour le moins troublant, en 2022, plus de 20 % des personnes interrogées n’avaient pas connaissance ou n’avaient pas trouvé de services alternatifs à ce navigateur. Des outils comme Google Chrome, Firefox, ou même Edge de Microsoft, ne font donc pas partie de leur univers.

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Comment les jeunes utilisent les réseaux sociaux en France ?

Sur quels réseaux sociaux les jeunes passent-ils le plus de temps ? Une étude révèle les habitudes de la génération Z.

Que font les jeunes de la génération Z sur les réseaux sociaux ? D’ailleurs lesquels utilisent-ils le plus ? Vogz a mené une petite étude sur un panel de 1 000 jeunes âgés de 18 à 24 ans pour comprendre comment ils appréhendaient les réseaux sociaux, la publicité ainsi que le e-commerce.

TikTok et Twitter réseaux favoris

La tranche 18-24 ans passe plébiscite donc le réseau social TikTok (cité comme réseau favoris par 22,5% des répondants) suivi d’Instagram (19,5%) et Twitter (19,1%). Une tendance compréhensible dans la mesure où d’autres études marketing révèlent que les plus jeunes se tournent davantage vers le format vidéo. Mais pas seulement puisque les plus âgés commencent aussi à se laisser séduire par l’application chinoise.

Avec ses vidéos verticales très courtes que l’on peut visionner à l’infini, TikTok a donc trouvé la formule magique. Le format court a toute son importance puisque parmi les sondés, 1,1% ont donné Youtube comme plateforme favorite. La fin d’une époque.

Parmi les réseaux en perte de vitesse, on ne peut passer à côté de Facebook, décidément mal aimé des jeunes utilisateurs. Seulement 7% des sondés ont cité le réseau de Mark Zuckerberg comme favori.

Enfin, notons que Snapchat, qui était autrefois la plateforme privilégiée par cette tranche de la population, a perdu de sa superbe (15,5%). Le réseau social fantôme semble toucher une cible plus jeune si l’on se réfère aux récentes études de marché.

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Au CEA-Leti, l’intelligence artificielle s’inspire des insectes

Doués pour prendre des décisions rapides avec des informations peu fiables et en consommant peu d’énergie, les insectes inspirent le CEA-Leti dans la conception de puces dédiées à l’intelligence artificielle. Lancé par un financement du Conseil européen de la recherche (ERC) de 3 millions d’euros fin mars, un projet vise à reproduire, en utilisant des technologies de réseaux de neurones, le mécanisme biologique de prise de décision de certains insectes.

D’une durée de cinq ans, il devrait aboutir à la création de puces de silicium capables d’analyser efficacement les données issues de différents capteurs. Les chercheurs trouvent notamment leur inspiration chez le criquet, dont un cerveau auxiliaire situé proche de la queue – sensible aux flux d’air – peut décider d’une fuite en cas de danger imminent.

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Le nouveau CEO de Pinterest veut faire de la plateforme le « centre commercial » du web

Le temps du fondateur rêveur d’un produit parfait est terminé. Avec Bill Ready, la prochaine tâche de Pinterest sera de générer de l’argent. Beaucoup d’argent. Et le plus rapidement possible.

Pinterest a un nouveau CEO. Ben Silbermann s’en va et c’est Bill Ready qui le remplace. Cet homme d’une quarantaine d’années a eu quelques expériences significatives. Il a notamment été COO de PayPal et a passé les deux dernières années en tant que directeur du commerce et des paiements chez Google. Il souhaite faire de Pinterest le nouveau « centre commercial » du web.

Bill Ready va aider Pinterest à générer plus d’argent

Ben Silbermann ne quitte pas vraiment l’entreprise. Il prévoit de devenir le président exécutif de Pinterest, suivant ainsi le chemin d’un certain nombre de CEO du secteur des technologies qui sont récemment passés des « tranchées quotidiennes » de la gestion de leur entreprise à un siège relativement plus détendu dans la salle du conseil. Il s’est exprimé sur cette passation et estime que « Bill sera en fait un meilleur CEO que moi pour ce prochain chapitre de l’entreprise ». Le temps du fondateur rêveur d’un produit parfait est terminé. La prochaine tâche de Pinterest est de générer de l’argent. Beaucoup d’argent. Et rapidement

Nombreux sont les analystes à estimer que Pinterest a longtemps semblé être une opportunité manquée pour les investisseurs. La plateforme compte des centaines de millions d’utilisateurs mais n’arrive pas pour autant à connaître une croissance rapide, ni à gagner beaucoup d’argent. Pourtant, la plupart des utilisateurs passent leur temps à rechercher et à épingler des articles qu’ils aimeraient acheter. Au fil des années, Pinterest a joué le rôle de moteur de découverte et de curation extrêmement puissant pour les acheteurs du monde entier. Il ne reste plus qu’une étape à atteindre : trouver un moyen de générer beaucoup plus de revenus.

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