La fin d’Internet Explorer fait paniquer la troisième puissance mondiale

Ce pays n’a pas anticipé à temps la disparition du célèbre navigateur.

Le 15 juin dernier, Microsoft a mis au support sur Internet Explorer. Ce jour marque donc en quelque sorte la disparition du navigateur internet. Si pour beaucoup, cela sonne comme une bonne nouvelle, ce n’est clairement pas le cas au Japon.

Contre toute attente, certains regrettent Internet Explorer

De manière surprenante, le pays du soleil levant n’a pas anticipé cette transition à temps et de très nombreux sites web continuent d’être configurés pour Internet Explorer. Parmi eux, des agences gouvernementales, mais aussi des institutions financières et des entreprises industrielles.

Nikkei Asia s’est procuré une enquêté réalisée en mars dernier par la société Keyman’s Net. On y apprend qu’un très grand nombre d’organisations utilisent toujours Internet Explorer, et que 49 % des personnes sondées recourent toujours au navigateur de Microsoft pour surfer sur le web.

Pire, de nombreux services internes aux entreprises ne sont accessibles que via Internet Explorer et notamment la gestion de présences des employés, le règlement des feuilles de frais, ainsi que certains outils.

Autre chiffre pour le moins troublant, en 2022, plus de 20 % des personnes interrogées n’avaient pas connaissance ou n’avaient pas trouvé de services alternatifs à ce navigateur. Des outils comme Google Chrome, Firefox, ou même Edge de Microsoft, ne font donc pas partie de leur univers.

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