Archives de catégorie : Digital Marketing

Quels sont les usages mobiles en 2018?

Open, acteur de la transformation digitale des entreprises, confronte pour la troisième année la vision des professionnels à l’expérience des utilisateurs concernant leurs usages sur mobile : découvrez les principaux enseignements.

Les applications mobiles sont plus que jamais d’actualité, si l’on en croit latroisième vague du « Baromètre des Usages Mobiles », réalisée par Open, en partenariat avec l’EBG et Testapic. L’enjeu, dans un contexte où chaque marque déploie son application,« est de distinguer ses apps de celles de ses concurrents,rappelle Hervé Claverie, directeur des agences digitales d’Open. « Les marques doivent trouver quels services proposer, pour quelle valeur ajoutée et avec quels objectifs. » Ainsi, le choix d’une application mobile n’est plus un sujet technologique, mais un choix stratégique qui concerne l’ensemble de l’entreprise. Pour preuve, seuls 4,15 % des professionnels citent le service IT comme décisionnaire budgétaire du déploiement d’une application.
lire la suite sur emarketing.fr

Soyez Digital en 2018 : Oubliez le big data

La data c’est essentiel et certainement le carburant de votre performance dans les années à venir. Mais comme en matière d’innovation digitale, il y a sur le sujet des écarts de compréhension, de maturité voire des incompréhensions qui ne servent pas toujours les entreprise.

Tout d’abord le terme « Big Data » est devenu tellement fourre tout qu’il ne veut plus rien dire. On a toujours travaillé la data, la différence est qu’aujourd’hui on peut aller infiniment plus loin qu’avant en termes de volumétrie, de vitesse de traitement et de variété (données non structurées….). Donc on a toujours fait aussi « big » que possible. Le big d’aujourd’hui est infiniment plus big que le big d’hier et infiniment plus petit que le big de demain. Reste donc la data qui en soi ne veut pas dire grand chose non plus.

Lire la suite sur Frenchweb

YouTube Originals peut-il s’imposer face à Netflix et Amazon Prime?

Source : 20minutes.fr

Les binge-watchers vont pouvoir continuer de se gaver de séries jusqu’à l’écœurement. YouTube a lancé mardi ses premières séries françaises originales dans le cadre de son offre Premium, tout juste lancée en Europe. La filiale de Google a présenté ses deux premières comédies, GROOM et Les emmerdeurs, produites par le Studio Bagel et Golden Moustache. Pour 11,99 euros, les utilisateurs ont accès à de nouvelles fonctionnalités -une offre sans publicité, la possibilité d’écouter de la musique en arrière-plan et de regarder les contenus hors ligne- et à 60 contenus exclusifs « de qualité ».

YouTube Premium a été pensé sur le modèle de YouTube Red, déployé aux Etats-Unis en 2015. On se souvient d’ailleurs du succès de Cobra Kai, construite sur la saga de la franchise The Karate kids, et d’Impulse. Avec une cinquantaine de programmes à venir (comédie, science-fiction, documentaire…), YouTube est-il en train de se positionner pour concurrencer les géants du streaming déjà bien installés ?

Facebook Watch et Disney Play

Il n’est d’ailleurs pas le seul à se chercher une petite place dans la jungle du streaming vidéo. Disney va mettre le paquet en 2019 avec une offre moins chère que celle de Netflix et des séries tirées de leurs franchises ou de leurs classiques qui s’annoncent déjà comme des blockbusters : Star Wars, High School Musical ou Monstres et cie, La Belle et le Clochard, Merlin L’enchanteur, selon des informations de Variety fin août. Si les investissements de la plateforme ne sont pas dévoilés, le magazine croit savoir que la série Star Wars de Jon Favreau est évaluée à 100 millions de dollars pour 10 épisodes. De même, Facebook qui s’est lancé l’année dernière dans la compétition avec Facebook Watch aux Etats-Unis, compte proposer cette offre dans le monde entier.

Le réseau social vient d’ailleurs de faire parler de lui mardi avec son drame Sorry for your loss, porté par Elizabeth Olsen. Sans oublier, le deuxième « A » des Gafa qui a bien l’intention de récupérer sa part du gâteau. Apple a annoncé une dizaine de projets de séries et elle aurait déjà prévu un milliard de dollars pour la création de programmes. Mais YouTube n’a peur de rien. La plateforme, qui ne souhaite pas révéler son montage financier, compte capitaliser sur ses fidèles.

YouTube plus cher que ses concurrents

« Notre ambition, c’est d’offrir à nos 1,9 milliard d’utilisateurs dans le monde et plus de 44 millions en France, selon Médiamétrie, une alternative, explique Charles Savreux, chargé de la communication de YouTube lors de la conférence de presse au Grand Rex à Paris. Beaucoup de ces séries ont des réalisateurs très connus qui rencontrent déjà beaucoup de succès sur notre plateforme. Nous leur donnons les moyens de travailler sur des productions de plus grande qualité », poursuit-il. Mais dans un secteur déjà bien saturé, YouTube Premium -dont l’abonnement est plus cher que celui du géant Netflix [entre 7,99 euros et 13,99 euros] et de son challenger Amazon Prime [5,99 euros]- pourrait peiner à s’imposer.

Pour en savoir plus : www.bigsuccess.fr

Dissection du persona : indispensable à la conception de l’insight ?

Source : marketing-professionnel.fr

La méthode des persona a été créée en 1999 par Alan Cooper, présentée dans le livre “The inmates are running the asylum”. 19 ans plus tard, nous gardons une méthode similaire sans réel changement. Or, depuis la société a évolué et les modes de consommation aussi. Les persona ont peut-être eux aussi besoin d’une évolution, voire d’une suppression…

Persona standard ou adapté ?

Le persona véhicule le stéréotype même quand il intègre la cible. Tout est généralisé : il faut donc faire des choix. Trouver le point commun entre tous les consommateurs ciblés et si nous ne le trouvons pas ou si ce point en commun ne fonctionne pas pour la recherche d’insight, il faut comprendre pourquoi.

Avec les critères qu’on retrouve régulièrement dans un persona : l’âge, la situation familiale, la catégorie sociale, le prénom et donc le genre, nous cherchons à rendre les différents profils le plus humain possible.

Le stéréotype est utile dans le cadre d’un persona mais il peut être porteur de faiblesses. En effet, en donnant une identité à son persona, nous limitons nous-même notre coeur de cible. En effet, si nous décidons que notre premier persona est une femme de 35 ans, sans enfant, nous éliminons tous les hommes ainsi que les femmes de moins de 30 ans et de plus de 45 ans. Selon les marques, ces informations ne sont pas toujours essentielles.

Prenons l’exemple de la pâte à tartiner “Nutella”, produit universel, transgénérationnel. Son cœur de cible reste les enfants (aussi bien les garçons que les filles) et les parents (prescripteurs). Toutefois, les plus de 18 ans sont des grands consommateurs de la marque car ils ont grandi avec elle. Il n’est donc pas nécessaire de mettre au persona, un sexe et une catégorie socio-professionnelle (et donc un métier). En revanche, il serait intéressant de savoir comment le produit est consommé et pourquoi il est choisi plutôt qu’un autre pour trouver une piste d’insight.

Alors en limitant les éléments d’identité nous évitons d’ignorer d’autres cibles potentielles, mais aussi malgré nous d’idéaliser le client souhaité. Segmenter c’est penser sa cible… et se concentrer sur ses besoins, ses envies, ses habitudes d’achat, etc.

La perception du planneur stratégique

Nous n’analysons pas l’identité de la cible mais sa personnalité. Le bon persona est celui qui reflète la cible tout en laissant une part d’ombre. Le persona est une projection du client ou plutôt d’une communauté, telle qu’elle est et non comme la marque voudrait qu’elle soit. Cette projection est un mélange entre la réalité et la créativité.

La réalité est représentée par ce que disent les consommateurs, de la marque ou du produit, en temps réel sur internet et les réseaux sociaux. Ces informations doivent être suivies et analyser pour comprendre sa façon de penser, son ressenti vis-à-vis du produit ou de la marque. Ensuite, il faut entrer dans la vie du consommateur, comprendre comment il vit, quels sont ses centres d’intérêts (les autres marques qu’il aime, ce qu’il aime lire, faire, etc.). Ainsi, nous pourrons cerner les choses qu’ils aiment en termes de contenu, de design ou encore de pratique. Cette partie de recherche nous aidera ensuite pour la créativité. Il faut reconnaître la spécificité de chaque individu pour proposer des archétypes et donc des symboles.

Le persona est une mise en abîme : chaque planneur stratégique a sa propre méthode, sa propre vision du monde qui va influencer la conception de son persona, la manière dont il va le façonner.

Que serait le planning stratégique sans le persona ?

Il n’y a pas une seule méthode pour le planning stratégique. Chaque planneur à sa propre façon de travailler, s’appuyant sur 3 points :

  • Planifier sa stratégie : consommateur, marque, produit, communication.
  • Analyse des études consommateurs : son observation, les tendances, sa connaissance du marché.
  • Faire de la prospective : tendances, besoins, innovations.

Le persona est travaillé dans la première étape. Si nous imaginons son étude sans le persona, nous retirons tout l’aspect consommateur. Sans cela, nous ne pourrons plus visualiser qui est notre cible. Il serait donc difficile d’imaginer un axe créatif sans connaître notre interlocuteur. Imaginez-vous adresser un message spécifique sans savoir à qui il s’adresse. Il serait donc difficile de savoir ce qui les intéressent pour pouvoir attirer leur attention, nous ne saurions pas sur quel ton s’adresser à eux. Bref, ce serait tâter au hasard. Si nous devions imaginer le planning stratégique sans persona, il faudrait imaginer une alternative.

Pourquoi pas imaginer une représentation de leur univers : si notre cible aime les réseaux sociaux, qu’aime-t-elle suivre ? Quelles sont ses passions ? Qu’aime-t-elle faire dans la vie ? Lire ou regarder la TV ? Que préfère-t-elle : la télévision, l’ordinateur, la tablette, le mobile ? Envisageons des profils consommateurs sans aucun trait d’identité pour se concentrer sur des plusieurs univers communs. Nous pourrions imaginer des représentations avec des illustrations, des tableaux comme sur Pinterest ou, pourquoi pas, de la vidéo.

La conception d’un persona permet aux créatifs de mieux comprendre la cible. Il faut donc le construire de manière optimale pour aider les créatifs sur leur projet. En 2 ou 3 profils, ils doivent comprendre à qui il s’adresse. Il faut donc aller à l’essentiel (éviter les informations superflues qui peuvent mener à l’erreur) tout en étant le plus précis possible (sur leur environnement, leur mode de vie, leurs intérêts,…). Chaque planneur stratégique est libre de suivre la méthode “classique”… ou  d’utiliser des variantes selon son mode de travail ou du client pour lequel il travaille.

Index Mobile First : 7 points clarifiés par Google

Source : abondance.com

Le compte Twitter pour webmasters de Google a dernièrement clarifié 7 points importants au sujet de l’index Mobile First qui bat son plein à l’heure actuelle. Une sorte de FAQ permettant de mieux appréhender et comprendre le projet…

On sait que le passage à l’index Mobile First est en cours à l’heure actuelle pour le moteur de recherche Google et que les premiers messages de notification ont été envoyés dans la Search Console depuis quelques semaines.

A ce sujet, le compte Twitter Google pour webmasters a publié une suite de 7 tweets concernant ce projet, afin de rappeler et parfois clarifier des points qui pouvaient parfois s’avérer obscurs pour certains webmasters. Les voici :

  • L’indexation et l’analyse du contenu de la page se fera bien sur la version mobile lorsque la page sera dans l’index Mobile First. Mais le moteur desktop montrera toujours dans ses résultats la version desktop du site et le moteur mobile proposera la version mobile du site (si elle est différente, bien sûr).
  • Le crawl du site va « switcher » du robot desktop au robot mobile. Si les URL sont différentes, le site mobile devrait être plus crawlé que le site desktop lors du passage à l’index Mobile First.
  • La version « en cache » d’un site qui a été versé dans l’index Mobile First ne peut pas pour l’instant être visualisée. Il s’agit d’un bug en cours de réparation au sein des équipes de développement du moteur.
  • Le projet Speed Update, en cours de déploiement ce mois-ci, est totalement décorrélé de l’index Mobile Fist.
  • Les accordéons, onglets ou menus de type « hamburgers » fonctionnent, sont pris en compte et ne posent pas de problèmes spécifiques.
  • Peu importe la façon dont le site est compatible mobile (responsive, site dédié, dynamic serving/) ou même si le site n’est pas compatible mobile, il sera versé dans l’index Mobile First. Si le site ne dispose pas d’une version mobile, c’est la version desktop qui restera prise en compte.
  • Le fait d’avoir son site versé dans l’index Mobile First ne fournira pas de « boost » supplémentaire en termes de SEO.

Peu de problèmes majeurs constatés lors du passage à l’Index Mobile First

En conclusion : tout a l’air de se passer normalement pour l’instant dans ce projet qui devrait se poursuivre d’ici à la fin de l’année. A ce jour, aucune perte de trafic ou de position ne semble avoir été signalée suite au passage en Mobile first.

Continuons cependant à répéter le même conseil : il est très important de proposer le même contenu sur les version desktop et mobile. Si c’est le cas, tout devrait bien se passer pour votre site web. Voici notre vidéo qui rappelle tout ceci :

 

 

Facebook intègre des publicités vidéos sur Messenger

Source : begeek.fr

Reste à savoir si les utilisateurs apprécieront un tel déploiement.

Facebook compte toujours utiliser les revenus publicitaires comme principale source de bénéfices. Et sa dernière décision pour son célèbre service de messagerie, Messenger, va dans ce sens. Désormais, le service proposera, pour le plus grand bonheur des utilisateurs, des publicités vidéos. Une bonne nouvelle pour le réseau social qui engendra plus d’argent puisque les annonceurs paient davantage pour une telle méthode. Reste à savoir la forme que prendra cette nouvelle forme de publicité – si les conversations seront gênées par une vidéo intempestive.

La publicité vidéo pour Messenger

Fort de sa grande base d’utilisateurs, Facebook veut faire fructifier Messenger en générant plus d’argent grâce aux publicités vidéos que les annonceurs paient plus. Un déploiement qui aura bientôt lieu d’après Stefanos Loukakos, responsable de la publicité de Facebook Messenger, en interview chez Record.

La priorité absolue pour nous est l’expérience utilisateur. Nous ne savons pas encore si les publicités vidéos fonctionneront.

C’est dès lundi que les utilisateurs de Messenger auront la (belle) surprise de voir débarquer les publicités vidéos sur la plate-forme. Face aux publicités statiques acceptées depuis plus d’un an par la communauté, reste à savoir si la nouvelle forme sera tout aussi discrète. La publicité est de plus en plus présente sur internet et peut vite devenir envahissante pour bon nombre d’internautes. Pas sûr que l’accueil de spots vidéos qui peuvent potentiellement gêner les conversations soient accepté par toutes et tous.

A noter que Facebook souffre, depuis l’affaire Cambridge Analytica, d’un problème d’image. Sans oublier que la plupart des jeunes se détournent du réseau social, le géant devra donc mesurer la moindre de ses décisions pour ne pas voir son immense base d’utilisateurs lui tourner le dos progressivement. Rendez-vous donc la semaine prochaine pour découvrir ces publicités vidéos.

Infographie : l’utilisation du marketing vidéo par les marques

Source :  siecledigital.fr

La vidéo est devenue LE type de contenus qui cartonnent. Le format stories utilisé sur la quasi-totalité des réseaux sociaux est devenue incontournable notamment lorsqu’on sait que la création et la consommation de stories est en hausse de 842 %, depuis leur lancement. 

La vidéo est un moyen simple pour présenter un produit ou transmettre des options. L’un des exemples récents de l’utilisation du marketing vidéo est la publicité d’Apple pour présenter son HomePod tout en faisant la promotion d’Apple Music.

16best nous offre une infographie détaillée présentant diverses statistiques et conseils sur le marketing vidéo.

Pourquoi le marketing vidéo ?

• 97 % des marketeurs disent que la vidéo a aidé les utilisateurs à comprendre leur produit ou service
• 76 % des entreprises disent que cela les aide à augmenter leurs ventes ainsi que leur trafic
• 81 % des consommateurs ont été convaincus d’acheter un produit ou un service en regardant la vidéo d’une marque
• 85 % des consommateurs disent qu’ils aimeraient voir davantage de vidéo de marque en 2018

Et dans la pratique ?

• 86 % des vues sont faites sur ordinateur et seulement 14% sur mobile
• Côté navigateur de recherche, Chrome est devant avec 53 %, suivi d’Internet Explorer (34 %), Firefox (9 %) et enfin Safari à 4 %
• Le meilleur moment pour publier serait le mercredi entre 7h et 11h du matin, c’est sur ce créneau que de nombreuses vues sont faites
• Les entreprises de médias et divertissements sont celles qui proposent le plus de vidéos, contrairement à celles du secteur de la food et des loisirs

Côté Plateformes

• Youtube est la plateforme privilégiée : 87 % des marketeurs ont publié du contenu vidéo sur YouTube, 68 % sur Facebook, 41 % sur Instagram, 39 % sur Twitter, 38 % sur LinkedIn et 11 % sur Snapchat
• Au niveau des performances, 90 % des marketeurs ont trouvé que publier sur YouTube était une stratégie efficace
• Les Facebook Live connaissent également un succès : 34 % des marketeurs les utilisent et 81 % de ceux l’ayant utilisé ont trouvé que c’était efficace

Comment les entreprises en tirent avantage ?

• 80 % des consommateurs préfèrent un live vidéo d’une marque plus que de lire un blog
• 82 % préfèrent une vidéo live plutôt qu’un post traditionnel sur les réseaux sociaux
• Sur les sites, les vidéos sont utilisées pour expliquer, diffuser le témoignage de client et faire des vidéos « Comment… ». Sur les réseaux sociaux, elles sont utilisées pour expliquer, présenter les fonctionnalités d’un produit et enfin diffuser le témoignage de clients.

Comprendre le fonctionnement du nouvel algorithme de YouTube

Source : siecledigital.fr

YouTube, qui comptait plus de 1,5 milliard de visiteurs connectés par mois en 2017, a changé son algorithme de classement. Nombreux sont ceux qui pensent que celui-ci est basé sur le nombre de vues. Toutefois, un autre facteur crucial est pris en compte et joue finalement le rôle plus important dans le classement du contenu : la durée de visionnage.

L’algorithme de la plateforme vidéo est complexe et sert à classer le contenu sur la base de nombreux facteurs qui s’entremêlent. Ce système permet aux utilisateurs de découvrir du contenu personnalisé, qui les intéresse, et qui répond à leur recherche. Par conséquent, celui-ci les encourage à passer plus de temps sur la plateforme.

Auparavant, les vidéos les plus vues étaient celles qui occupaient les premières places dans la liste des vidéos suggérées. Mais cela posait deux problèmes principaux : le premier problème était la difficulté pour un créateur à mesurer l’engagement et la durée et visionnage de son contenu. Le deuxième problème était la tendance que les créateurs avaient à mettre en œuvre différents moyens pour générer des clics (mots clés non pertinents, descriptions et contenu considérés comme étant du spam, etc).

Le changement d’algorithme qui a eu lieu il y a quelques années permet aux créateurs d’évaluer le taux de rétention de leur audience. Il est évident que la durée totale de la vidéo ne favorise ou ne pénalise pas le classement. Pour être fair play, l’algorithme calcule la durée de visionnage en rapport avec le durée totale de la vidéo.

5 GRANDES TENDANCES DE LA PUBLICITÉ MOBILE EN 2018

Source : cedicom.fr

Trois Français sur quatre sont équipés d’un smartphone. Ils l’utilisent un peu pour téléphoner, et beaucoup pour naviguer sur internet : 42 % des connexions sont désormais réalisées depuis un smartphone, contre 38 % à partir d’un ordinateur.1 Dans ce contexte très porteur, le marketing mobile ce présente comme le nouvel eldorado de la pub digitale. Mais, pour beaucoup, c’est encore quelque chose d’assez neuf. Par quels moyens investir la pub mobile ? Voici 5 tendances à suivre pour réussir une campagne mobile en 2018.

1. Vidéo et réseaux sociaux, le duo gagnant de la publicité mobile

Support favori des Millenials, la vidéo est portée par les réseaux sociaux 100 % visuels, tels que YouTube ou Snapchat, mais elle se développe aussi sur les réseaux sociaux plus classiques, comme Facebook et Twitter. Les perspectives de croissance de la vidéo sont énormes, puisqu’elle devrait représenter 80 % du trafic internet global d’ici 2020.2 Facilement partageables, ce sont aussi les vidéos qui ont le plus de chance de devenir virales, et d’assurer aux campagnes de pub un maximum de portée.

2. Une publicité mobile de plus en plus personnalisée

La publicité programmatique, notamment à travers le format Display, espace publicitaire s’affichant sur les pages sociales de vos cibles, est de plus en plus personnalisée. Les applications permettent la récolte de données et un ciblage très précis des utilisateurs, à partir de critères que vous définirez selon les objectifs de votre campagne : l’âge, le sexe, la catégorie socio-professionnelle, les loisirs, le lieu de résidence, etc.

3. La pub mobile et le native advertising, une nouvelle approche du client

La publicité native, ou native advertising, est un format publicitaire discret, qui s’intègre naturellement aux contenus éditoriaux. Ce format non intrusif a les faveurs du public, parce qu’il ne perturbe pas l’expérience utilisateur.

4. Pub mobile et drive-to-store, l’art d’attirer le client dans un magasin

Le mobile permet aux annonceurs de rester en contact avec les prospects, et de les inciter, par différents moyens, et au moment le plus propice, à se rendre dans un point de vente physique. Cela peut se faire en leur envoyant un SMS promotionnel ou une notification push. La géolocalisation, permet de toucher le prospect au moment où il se trouve à proximité du point de vente.

5. Et demain… la réalité virtuelle au service de la publicité mobile

Réalité virtuelle (VR) et réalité augmentée (VA) n’appartiennent plus au domaine de la science-fiction ou à celui des jeux vidéo. Ces nouvelles propositions pourraient trouver des applications directes dans la pub mobile. Equipé d’un casque spécifique, votre client découvrirait alors tous les avantages de votre produit ou service. Une expérience d’immersion totale qui lui parlerait bien mieux que les arguments du meilleur de vos commerciaux !

Qu’en dites-vous ? Intéressant, non ? Vous aussi vous pouvez dès à présent profiter des possibilités offertes par la publicité mobile, car elle sait parfaitement s’adapter aux besoins des PME. Faites vos premiers pas dans la publicité mobile avec Cedicom !

Ce qui fait la différence en matière de marketing digital

Source : comarketing-news.fr

Selon le rapport Digital Trends 2018 d’Adobe, les entreprises qui misent sur le collaboratif et qui se focalisent sur l’expérience client obtiennent de bien meilleurs résultats que leurs concurrents…

Publiée en association avec Econsultancy, l’étude s’appuie sur une enquête réalisée auprès de 13 000 professionnels du marketing, de la création et des technologies, basés aux États-Unis ainsi que dans les régions Asie-Pacifique et Europe, Moyen-Orient et Afrique.

Elle s’intéresse aux tendances les plus marquantes qui influencent les stratégies digitales à court terme. L’édition de cette année compare également la performance des organisations en 2017 par rapport aux objectifs et priorités qu’elles se sont fixées, afin de mettre en exergue les stratégies et choix d’investissement les plus concluants.

Priorité au contenu et à l’expérience client

L’étude observe que la gestion du contenu et de l’expérience client devient une priorité stratégique absolue pour les entreprises en 2018.

Près de la moitié (45 %) des personnes interrogées la font figurer dans leurs trois priorités principales pour l’année qui vient, un cinquième (20 %) en faisant leur objectif prioritaire. Un peu moins des deux tiers (62 %) des entreprises reconnaissent aujourd’hui disposer « d’un plan d’action cohérent, d’une vision à long terme et du soutien de la direction concernant l’avenir de [leur] clientèle ».

L’étude révèle également que les priorités varient d’une région à une autre. Pour les participants nord-américains et européens, la priorité est de rendre l’expérience aussi intéressante que possible (respectivement 29 % et 23 %). Quant aux participants de la région APAC, ils cherchent plutôt à rendre l’expérience aussi personnalisée et pertinente que possible (21 %). Les participants de la région APAC sont plus susceptibles que ceux des autres régions de donner la priorité à la sécurité, la fiabilité et la fluidité de l’expérience.

De même, au niveau mondial, les entreprises qui proposent des parcours utilisateur clairs et favorisant des transactions fluides sont 57 % plus susceptibles que les autres de dépasser leurs objectifs commerciaux (22 % contre 14 %).

Abolir les frontières

La création d’expériences client d’exception n’est pas l’apanage des services marketing : l’étude révèle qu’une collaboration transverse entre les équipes en charge de la création, du contenu, du marketing et du web joue un rôle de plus en plus déterminant dans la réussite des entreprises.

Selon l’étude, les entreprises qui travaillent sur leurs initiatives de manière collaborative inter-équipes ont presque deux fois plus de chances de dépasser leurs objectifs. Les entreprises qui recourent à des outils simplifiant les workflows entre les différentes fonctions sont à 62 % plus susceptibles d’obtenir de meilleurs résultats.

L’étude révèle également que 25% des entreprises les plus performantes sont celles qui ont investi dans une plateforme technologique ultra-intégrée en mode cloud, qui leur offre une vision plus complète du cycle de vie client, de l’acquisition à la fidélisation.

Dans une proportion nettement plus importante (46 %), les participants reconnaissent que leur environnement technologique est fragmenté, et déplorent un manque d’intégration et d’interactions entre ces technologies.

 

L’IA, un choix intelligent

Le rapport établit que l’intelligence artificielle (IA) s’affirme comme un élément moteur dans la diffusion de l’expérience client.

Ce constat est particulièrement vrai dans les grandes entreprises, où 25 % des participants précisent qu’ils accélèrent d’ores et déjà leurs investissements dans l’IA. Cette étude montre également que l’adoption de l’IA s’effectue de plus en plus à l’initiative des dirigeants : 57 % des hauts responsables interrogés précisent que leurs entreprises utilisent d’ores et déjà cette technologie, ou prévoient de le faire.

L’analyse des données arrive en tête des enjeux pour lesquels les entreprises européennes (52 %) ont actuellement recours à l’IA. En effet, les organisations qui possèdent des outils d’exploitation de données permettant de créer des expériences personnalisées attrayantes et en temps réel sont 50 % plus susceptibles que les autres d’avoir dépassé leurs objectifs commerciaux en 2017.

 

S’atteler au déficit de qualifications

La pénurie de qualifications demeure néanmoins un obstacle à la mise en œuvre de l’IA et des technologies d’analyse afférentes. Environ 40 % des entreprises admettent ne pas posséder les connaissances requises en IA, les ressources indispensables à son implémentation, ou encore les talents nécessaires pour concevoir des expériences client satisfaisantes.

Parallèlement, l’investissement dans les compétences digitales à l’appui de la fonction marketing reste fortement corrélé à un haut niveau de résultats. Les trois quarts des professionnels interrogés affirment que leur entreprise investit dans des compétences de ce type, et il apparaît que ces acteurs ont deux fois plus de chances de dépasser largement leurs objectifs.

 

D’autre part, près des trois quarts (73 %) des participants indiquent que leurs entreprises investissent dans des outils de design pour différencier leurs marques, en complément du développement d’une expertise dans la data (développement de compétences et investissements technologiques).

L’étude établit que les entreprises se considérant « centrées sur le design » ont 69 % plus de chances que les autres d’avoir largement dépassé leurs objectifs en 2017 (22 % contre 13 %).

 

John Watton, senior marketing director chez Adobe, précise :

« Avec le digital, jamais les clients n’auront eu autant de pouvoir pour interagir avec les marques comme bon leur semble. Ce phénomène a transformé la manière dont les entreprises échangent avec des clients qui attendent systématiquement des expériences d’exception. Pour les acteurs qui placent le client au centre de toutes leurs actions, il est évident que ces investissements portent leurs fruits. Pour autant, l’expérience client ne peut incomber uniquement aux départements marketing ou aux services clients : elle doit être pilotée par chaque fonction de l’entreprise, des pôles marketing et informatique aux pôles développement produits et design.En faisant voler en éclats les cloisonnements organisationnels et en misant sur les données et l’IA pour associer l’éclairage analytique à des outils de design et de création, les marques sont en mesure de déployer des expériences hors du commun à chaque interaction. »