Lancement de MediaGenius , première plateforme multicanale de digital media pour les hôtels

D-EDGE annonce la création d’une plateforme de gestion multicanale des publicités digitales et offre les 3 premiers mois d’abonnement [1] pour aider les hôteliers à relancer leurs campagnes et optimiser leurs réservations directes.

Dans le contexte que nous traversons, développer ses ventes directes et maîtriser le Retour sur Investissement de ses campagnes s’avèrent des enjeux essentiels pour les hôtels. La publicité digitale offre une grande diversité d’acteurs (Google, Bing, Tripadvisor, Facebook, Instagram…), et de canaux – pour n’en citer que quelques-uns : Metasearch, Search, Display, Social.

Toutes ces solutions sont extrêmement complémentaires car elles correspondent à des moments différents dans le parcours de recherche et de réservation d’un hôtel. Avoir une approche multicanale est donc clé, mais difficile à mettre en œuvre sans l’aide de la technologie. Grâce à MediaGenius, première solution de ce type sur le marché, l’hôtelier est capable, à partir d’une interface simple et intuitive, de dérouler de manière cohérente et pourtant personnalisée à chaque média, ses campagnes en temps réel.

MediaGenius est aussi une plateforme de reporting puissante : grâce à son ergonomie très simple, l’hôtelier peut consulter, en temps réel pour chaque campagne, le retour sur investissement détaillé, jusqu’à la performance par mot-clé. MediaGenius offre également un système unique d’attribution qui affecte chaque réservation à un canal précis permettant ainsi d’optimiser le coût des campagnes.

Carole Adam, VP Sales & Marketing & E-Marketing, Des Hôtels et Des Îles utilise depuis quelques mois MediaGenius pour gérer les campagnes de marketing digital sur quatre des hôtels du groupe. Elle témoigne : J’ai été une des toutes premières utilisatrices de MediaGenius pour gérer les campagnes de marketing digitales de 4 de nos hôtels. Les résultats obtenus sont excellents avec de bien meilleurs retours sur investissement sur les campagnes qui ont été gérées et optimisées sur la plateforme. Ce que j’apprécie le plus c’est la facilité d’utilisation de l’outil et la clarté des indicateurs de performances. On comprend immédiatement ce qui doit être fait pour optimiser ses campagnes, pas besoin d’être des experts. Et l’accompagnement des équipes D-EDGE a été excellent pour nous permettre de monter en compétence sur l’utilisation de la plateforme.

Pour soutenir les hôteliers, D-EDGE a décidé d’accompagner le lancement de MediaGenius, d’une offre exceptionnelle comme l’explique Jean-Louis Boss, Chief Digital Officer de D-EDGE Hospitality Solutions : « MediaGenius change la donne en matière de gestion des campagnes digitales pour les hôtels. Dans un contexte où les hôteliers ont besoin d’optimiser leur taux de remplissage après des mois très difficiles, des campagnes bien ciblées -notamment sur le marché domestique ou quelques marchés bien identifiées- s’avèrent offrir d’excellents résultats. Nous avons donc décidé d’offrir les trois premiers mois d’abonnements aux hôtels afin qu’ils puissent bénéficier des avantages de MediaGenius sans en avoir la charge.« 

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Ce robot imite les expressions faciales humaines

Ce robot surnommé EVA est capable d’imiter les expressions faciales des humains. Si une personne lui sourit, il peut donc lui sourire en retour avec son visage bleu et souple d’animatronique.

Avez-vous déjà souri à un robot capable de vous sourire en retour ? Ce n’est malheureusement pas souvent le cas. À l’exception du robot humanoïde au regard réaliste et troublant développé par Disney, la majorité des robots sont particulièrement stoïques. Ils sont totalement impassibles à vos réactions et vos expressions faciales. C’est donc ce que les chercheurs du Creative Machines Lab à Columbia Engineering ont voulu créer avec le robot EVA.

Les expressions faciales du robot EVA – Crédit : Columbia Engineering

Grâce à l’intelligence artificielle, le robot EVA est capable d’imiter les expressions faciales des humains en face de lui avec son visage souple. L’objectif d’un tel robot est d’établir une certaine confiance entre les personnes et les robots. Certains robots sont déjà conçus pour être amicaux comme les robots serveurs employés dans un restaurant en Floride. Ils peuvent d’ailleurs souhaiter la bienvenue aux clients. Néanmoins, cela ne suffit pas à établir un lien humain comme EVA est capable de le faire.

EVA peut reproduire les 6 émotions humaines de base

L’animatronique développée par les chercheurs de Columbia Engineering est capable de reproduire les 6 émotions de base. Celles-ci sont la peur, la joie, la tristesse, la colère, le dégoût et la surprise. Pour parvenir à faire de telles expressions faciales, EVA est donc équipé de muscles artificiels.

Le chercheur Zanwar Faraj a expliqué dans un communiqué de presse que : « le plus grand défi de la création d’EVA a été de concevoir un système suffisamment compact pour s’intégrer dans les limites d’un crâne humain tout en étant suffisamment fonctionnel pour produire un large éventail d’expressions faciales ».

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Omnicanal et phygital : les nouvelles clés de la vente

Offrir une expérience enrichie et globale à leur clientèle est le graal de toutes les entreprises. La crise a accentué la part du digital dans cette conversation commerciale. Même avec la réouverture des points de vente, le phygital s’impose.

Boom des commandes en ligne, explosion du click & collect , puis ruée dans les magasins au gré d’un déconfinement béni… Le yo-yo des consommateurs entre mondes réel et virtuel est définitivement entré dans les moeurs à l’occasion de la pandémie. Ainsi, l’omnicanal, ou interconnexion entre les canaux de vente physiques et digitaux, s’est-il imposé comme un passage obligé.

« Ces nouveaux comportements de consommation ont changé d’échelle pendant la crise sanitaire et tout porte à croire qu’il n’y aura pas de retour au stade antérieur une fois les choses rentrées dans l’ordre », analyse Jean-Rémi Gratadour, directeur exécutif du centre Innover & Entreprendre de HEC Paris.

Pour les organisations les plus rodées à l’omnicanalité, de Leroy Merlin à la Fnac , en passant par Ikea et Sephora, la période de Covid-19 a parfois été synonyme d’envolée du chiffre d’affaires. Mais pour les autres, il serait temps de se retrousser les manches. « La disparité des niveaux de maturité dépend des ressources financières, technologiques et humaines des entreprises, mais aussi de leur environnement : le plus souvent, celles qui évoluent dans un écosystème numérique et interagissent avec les start-up font la course en tête », observe Mustafeed Zaman, enseignant-chercheur en marketing digital à l’EM Normandie.

Surtout, il apparaît que les champions de l’omnicanal sont les mieux armés en termes de stratégie relation client. « Avant même de parler de CRM ou de data, la première étape est de se glisser dans la peau de la cible, c’est-à-dire des clients : autrement dit, commencer par réfléchir à l’aspect technologique, avec l’ambition de montrer qu’on est moderne, n’a aucun sens », souligne Christophe Bèzes, professeur-chercheur à Istec Paris. A l’inverse, il prône des questionnements sur les attentes et les perceptions des clients.

Quels besoins en 2021 ?

Les offres et services du magasin physique et de l’e-shop doivent-ils être différenciés ou similaires, voire « sans couture » ? Quel accompagnement doit-on proposer à un consommateur émancipé, qui chasse l’information hors du cadre de la marque, via des communautés d’usagers ? Et que peut apporter le phygital, ou introduction du digital dans les magasins physiques , avec son lot de vitrines interactives, d’écrans tactiles et autres bornes de commande (comme chez Repetto à Paris, Undiz à Toulouse, Starbucks à Toronto, C & A à Sao Paulo ou encore Top Shop à Moscou) ? Justement, quels sont les besoins en 2021 ? « La crise a confirmé que le contact avec l’entreprise se fait aussi bien online qu’offline, depuis n’importe quel support, smartphone, tablette, ordinateur et même montre connectée », pointe Béatrice Durand-Mégret, responsable des filières Marketing Innovation & Distribution, et Digital Marketing Strategy de l’Ecole de management Léonard de Vinci.

Et cette enseignante-chercheuse d’ajouter que de nouvelles problématiques ont émergé, comme la difficulté à transformer en transaction le trafic dans les magasins physiques. « Le rôle du vendeur doit êtrerepensé. Tout comme celui du livreur qui est de plus en plus amené à avoir un contact privilégié avec le client, mais très en aval du processus de décision et d’achat », remarque-t-elle.

Selon Jean-Rémi Gratadour, l’un des principaux enjeux est de « créer de l’enchantement quel que soit le point d’entrée ». Il convient néanmoins que l’injonction d’omnicanalité n’est pas « concrétisable » du jour au lendemain. « Les fondamentaux de la grande distribution sont la frugalité et l’optimisation des ressources allouées. Or, l’omnicanal suppose de se transformer, donc d’ouvrir les vannes des investissements », dit-il.

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Les réseaux sociaux : une tribune pour le made In France

Plusieurs enseignes qui fabriquent des produits made In France utilisent les réseaux sociaux pour promouvoir le patriotisme économique. Une communication peu coûteuse, qui séduit davantage les consommateurs depuis la pandémie.

Michel et Augustin, le Slip Français, Terre de France, Saint James…toutes ces entreprises estampillées bleu, blanc, rouge partagent un point commun : une production 100% française particulièrement mise en avant sur les réseaux sociaux ! Une manière pour ces marques de fédérer des communautés autour de valeurs comme le soutien aux producteurs locaux, le patriotisme économique et la préservation de l’environnement. Par exemple, le fabricant de parfums Terre de France affirme reverser 100% de ses bénéfices à des lycées agricoles ou des familles de militaires.

64% des français ont augmenté leur consommation de produits Made In France depuis la pandémie

Une stratégie payante en pleine crise sanitaire ! Selon un sondage Opinion Way pour l’agence Insign, 64% des français indiquent avoir augmenté leur consommation de produits français depuis la pandémie.

Pour ces marques made In France, qui n’ont pas toujours les moyens de s’offrir des spots télévisés, les réseaux sociaux sont un moyen peu onéreux de revendiquer un positionnement patriotique. Plusieurs enseignes s’associent avec des influenceurs ou des Youtubeurs qui défendent leurs valeurs. « Communiquer sur Youtube et sur les réseaux sociaux coûte moins cher qu’un panneau publicitaire dans le métro. L’impact est très efficace sur un public jeune » explique au Figaro Paul Farnet, fondateur de Terre de France.

Des produits conçus grâce aux clients

Les réseaux sociaux permettent aussi aux enseignes made In France de développer une proximité avec le client. Le Slip Français ou Maison FT montrent en « stories », sur Facebook ou Instagram, les coulisses de leurs chaînes de production de vêtements. Les équipes de vendeurs se filment en boutique, tandis que les concepteurs des produits répondent aux questions des consommateurs lors de vidéos Live.

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Ça y est, les écrans cathodiques redeviennent à la mode !

Grâce au rétro gaming, les écrans cathodiques (conçus à la même époque que nos vieilles consoles) sont de nouveau à la mode. Et il est possible que la vieille télévision rangée dans votre grenier vous rapporte gros.

Dans le monde de la tech, on assiste régulièrement aux comebacks de technologies qu’on pensait complètement obsolètes. Par exemple, les vinyles, que l’on pensait en voie de disparitions, étant donnée l’arrivée des CD puis des services de streaming, font leur retour en force. D’après les données de Statista, ce come-back a débuté dès 2006. Et actuellement, aux USA, il se vend plus de 30 fois plus de vinyles qu’il y a 15 ans.

Il y a quelques années, nous évoquions également le retour des cassettes audio, dont les ventes croissent chaque année. Et bien entendu, il y a le mouvement rétro gaming, qui consiste à jouer sur de vieilles consoles.

Visiblement, la prochaine tendance sera… le retour aux écrans cathodiques, ces écrans lourds et encombrants qui régnaient avant l’arrivée des écrans plats (LCD, LED, etc.). En tout cas, c’est ce qui est suggéré par un article récemment publié par le magazine Wired.

Mais pourquoi voudrions-nous nous encombrer avec ces vieilles télévisions ? A priori, pour regarder une série ou bien un match de foot, la meilleure expérience sera sur une télévision récente avec un écran plat. En revanche, si vous voulez jouer à une vieille console, vous aurez une meilleure expérience si vous utilisez un écran qui a été conçu à la même époque.

Rétro gaming : c’est mieux sur une télévision rétro

En substance, c’est la renaissance du rétrogaming qui entrainerait actuellement un gain d’intérêt sur la toile pour les vieux écrans cathodiques. Et petit à petite, les communautés de passionnés se forment sur les réseaux sociaux.

À titre d’exemple, il y a le compte Twitter CRT Pixels, dont le but est de « Célébrer et comparer les jeux rétro sur les écrans pour lesquels ils ont été conçus! »

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Intelligence artificielle : 6 choses étonnantes qu’elle peut déjà faire

L’intelligence artificielle va révolutionner notre façon de conduire, de communiquer ou de jouer aux jeux vidéo dans les années à venir.

L’intelligence artificielle a fait son entrée dans la plupart de nos vies en mai 1997, lorsque Deep Blue, un ordinateur qui porte un nom, a réussi à battre le champion du monde d’échecs Garry Kasparov grâce à une ruse selon le génie russe. Le fait est que le mot l’intelligence artificielle a fait la une des journaux et que nous avons tous commencé à penser qu’on nous guettait au coin de la rue. Pour l’instant, John Connor ne combat pas les hordes de Terminators, mais nous y viendrons. En attendant, nous préférons nous en tenir à ces incroyables progrès de l’intelligence artificielle qui sont beaucoup plus inoffensifs. 

Intelligence artificielle pour les appels vidéo

L’un des grands amis et ennemis de la pandémie de coronavirus a sans doute été les appels vidéo. Nvidia Maxine est un ensemble d’outils créés par une société californienne qui permet de traduire en texte en temps réel tout ce qui se dit dans un appel vidéo, en le traduisant en plusieurs langues, ce qui est tout simplement incroyable. Comme si cela ne suffisait pas, l’invention améliore aussi radicalement la qualité d’image de notre transmission, même si à l’origine notre connexion Internet est si mauvaise que la vidéo est complètement pixelisée. Mais ce qui nous épate le plus, c’est la possibilité de repositionner notre regard face à la caméra si nous détournons les yeux pendant l’appel vidéo… C’est fou ! 

Déposer l’IA d’un jeu vidéo

Monolith Software a surpris la moitié du monde en 2014 avec la sortie de Middle-earth : Shadow of Mordor, une nouvelle aventure basée sur l’univers fictif de Tolkien. Le jeu était exceptionnel, avec des combats rappelant la saga Batman Arkham, une histoire intéressante, de superbes graphismes, etc… Cependant, le plus impressionnant était son système Nemesis, une IA procédurale qui générait aléatoirement de nouveaux chefs orcs à affronter et, voici le meilleur, qui évoluait en fonction de nos combats dans un système hiérarchique. Autrement dit, si nous nous battions contre un orc ordinaire et qu’il nous tuait, il gagnait du poids dans l’organigramme de son armée, il affrontait d’autres chefs, il gagnait de nouvelles capacités et, en bref, il pouvait finir par devenir l’ennemi le plus redoutable de tout le jeu. Le système a également été utilisé dans la suite, Shadow of War, ajoutant de nouveaux éléments à la formule qui rendaient tout plus réaliste. Warner Bros, éditeur et propriétaire du jeu tente depuis 2015 de déposer ce système afin que personne d’autre ne puisse l’utiliser et y est parvenu il y a quelques mois. Cela s’est déjà produit dans le monde des jeux vidéo, bien que cela n’ait presque jamais donné lieu à des plaintes pour l’utilisation de mécanismes de jeu déposés. Nous ne pensons pas que ce soit juste car, comme l’a dit en son temps Mike Bithell, créateur de Thomas Was Alone, le système Nemesis n’est rien d’autre qu’une évolution et une combinaison de nombreux éléments provenant d’autres jeux. Cette “copie” serait donc au fond l’un des éléments qui font que l’industrie du jeu vidéo évolue le plus, comme c’est le cas pour toute autre industrie culturelle. Game Maker’s Toolkit, une chaîne YouTube hautement recommandée, explique le système à merveille dans cette vidéo. 

Créer de faux chats avec une IA

La plupart des utilisations d’une IA sont axées sur l’identification. Par exemple, un programme capable d’identifier votre visage pour déverrouiller votre téléphone. Les capacités de création de ces réseaux sont bien plus compliquées et terrifiantes. Un exemple très typique est la création de visages de personnes qui n’existent pas. En simplifiant, il s’agit de confronter deux réseaux neuronaux. L’un continue à générer des images de visages inventés, tandis que l’autre essaie de discriminer les données pour découvrir qu’il s’agit d’un faux visage. Grâce à l’apprentissage automatique, le réseau générateur de visage apprend si bien à tromper le réseau qui doit découvrir son faux qu’il parvient également à nous tromper. L’exemple des visages humains étant insipide, nous préférons vous proposer les rois de l’Internet : les chats. Ce site Web développé par Nvidia génère un faux chat à chaque fois que vous rafraîchissez la page. Et oui, ils sont tous adorables.  

“Demolition Man” est devenu réalité

La science-fiction au cinéma nous a donné de grands exemples de voitures conduites par une intelligence artificielle sans qu’il soit nécessaire que des humains prennent le volant. Les véhicules dits autonomes sont partout et des dizaines d’entreprises tentent de créer le système le plus efficace et le plus sûr pour ce type de voiture. Les implications que cela peut avoir pour le développement futur de la planification urbaine ou de la perception des impôts sont une autre question. On en revient au lancement en octobre dernier de Waymo, le premier service de voiture autonome utilisable par le grand public, celui de Phoenix, en Arizona. Il suffit de télécharger l’application, de demander une voiture et d’indiquer la destination pour que ce véhicule autonome nous emmène à l’endroit indiqué. Comme c’est souvent le cas avec ce type de technologie, il y a déjà eu des erreurs, comme un Waymo qui est resté coincé dans un embouteillage pendant un moment sans savoir quoi faire. Aujourd’hui, vous riez de cet échec, mais la seule certitude ici est que les cauchemars de Sylvester Stallone dans ce film de 1993, Demolition Man, sont déjà devenus réalité.  

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Facebook Gaming favorise la monétisation pour les créateurs de contenus

C’est une manière pour la plateforme de concurrencer ses grands adversaires Twitch et YouTube.

Le secteur du jeu vidéo représente aujourd’hui un marché majeur dans lequel toutes les entreprises, dont récemment Netflix, investissent. Pour faire face à la concurrence et attirer plus de créateurs, Facebook Gaming a annoncé que de nouveaux outils de monétisation feraient leur apparition sur la plateforme.

Des nouveaux outils destinés aux créateurs sur Facebook Gaming

Facebook Gaming évolue doucement, mais sûrement. Depuis plusieurs années, elle permet de jouer à des jeux vidéo, ou de regarder des personnes y jouer, en direct ou non. Afin que ses utilisateurs prospèrent sur l’onglet dédié du réseau social, l’entreprise lance trois nouveaux outils destinés à favoriser la monétisation de contenus.

Les étoiles, nouveau moyen d’exprimer son soutien aux créateurs de vidéo à la demande

Pour que les joueurs produisant des vidéos à la demande créent un lien avec leurs abonnés, la plateforme introduit les étoiles. Elles permettent de faire un don au créateur de son choix pour lui exprimer son soutien, et ce, même s’il n’est pas en direct.

Comme sur Twitch, le joueur peut définir un objectif d’étoiles à atteindre sur ses vidéos, même si elles sont pré-enregistrées. Il est visible depuis son tableau de bord, permettant de suivre son évolution en temps réel. Il sera informé par une animation qu’un utilisateur lui a envoyé une étoile.

Par ailleurs, il sera possible pour les joueurs de répondre individuellement à leurs donateurs, afin de créer un lien communautaire et de les rapprocher de leur audience.

Les pauses pendant les diffusions en direct sur Facebook Gaming

Des pauses de 30, 90 ou 150 secondes pourront être intégrées aux livestreams pour promouvoir un contenu choisi par le joueur. Cette fonctionnalité comprend des courtes publicités désignées par le créateur, ainsi que son propre contenu, comme, par exemple, des temps forts de précédents livestreams.

Grâce à cette option, les joueurs pourront promouvoir la fonctionnalité des étoiles, et ainsi appeler leurs abonnés à faire un don. Ils auront aussi la possibilité de les inviter à rejoindre un groupe Facebook pour créer plus facilement un lien avec eux.

LevelUp est étendu à plus de pays

Le programme LevelUp faisait déjà partie du décor de Facebook Gaming. Il permet non seulement de développer une communauté, mais aussi de monétiser des streamings. Certaines règles sont à respecter pour entrer dans ce programme, comme avoir une page “Créateur de vidéos de jeu” avec plus de 100 abonnés et avoir streamé pendant au moins 4 heures au cours des 14 derniers jours.

Ainsi, LevelUp sera prochainement disponible dans de nouveaux pays, dont Hong Kong, le Kenya, le Nigeria, la Norvège, le Paraguay, le Sri Lanka, la Suisse, l’Ukraine et le Venezuela.

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QR Code vaccinal, à ne pas laisser traîner sur les réseaux sociaux

Technologie : Le QR Code est l’outil choisi par le gouvernement pour faire office de certificat numérique de vaccination. Mais la nature de ce support numérique, facile à lire et à imiter, l’expose à de potentielles fraudes.

Si personne ne vous en voudra d’avoir partagé un selfie de votre vaccination, partager une photo du QR Code faisant office de certificat de vaccination est en revanche plus hasardeux. Intégré au sein de l’application TousAntiCovid via la fonctionnalité Carnet, le QR Code permet de justifier que l’on a bien reçu une dose de vaccin contre le Covid 19 ou que l’on dispose d’un test PCR négatif récent enregistré dans son téléphone.

Depuis le 3 mai, les certificats vaccinaux comportent deux code à cette fin, un code Datamatrix et un QR Code, qui permettent de justifier le vaccin et d’importer une copie numérique du certificat au sein de l’application TousAntiCovid. Le Datamatrix et le QRCode sont deux variantes de code barre en deux dimensions utilisés pour coder et transmettre de l’information au moyen d’un visuel.

Cette version digitalisée du certificat de vaccination n’est néanmoins pas à toute épreuve et les utilisateurs feraient mieux de le garder dans leur application. Comme le rapporte le Berry Republicain, les gendarmes rappellent ainsi que le partage de ces codes peut ouvrir la voie à des acteurs malveillants : en lisant les informations stockées dans le QRCode à l’aide d’un scanner, des tiers peuvent ainsi récupérer des données personnelles concernant la personne vaccinée et son état de vaccination. Le partage pose également la question d’une éventuelle usurpation d’identité via la modification du QR Code, afin de modifier les données d’identification de la personne contenues dans le QRCode.

Risque théorique, mais risque quand même

Sur ce dernier sujet, une protection a néanmoins été envisagée: la solution 2D-Doc, mise en œuvre par l’Agence nationale des titres sécurisés. Cette solution prend la forme d’un code-barre 2D signé électroniquement par une paire de clés privée/publique, qui permet de vérifier l’intégrité des données contenues dans le code en question. 2D-Doc est integré dans le Datamatrix du certificat de vaccination. Pour parvenir à détourner un code et modifier les données d’identification, il faudrait donc trouver un moyen de contourner ce système de protection.

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La télévision tend la main aux réseaux sociaux du 31 mai au 6 juin

Cette semaine, les chaînes ont décidé de flatter les TikTok, Twitter, Instagram, et autres espaces en ligne. Ce sera notamment le cas avec « Influenceurs : au cœur de la French House » sur C8, « Le Doc Quotidien » sur TMC et « #Happy : la dictature du bonheur sur les réseaux sociaux » sur LCP.

Chaque dimanche, Ouest-France s’associe à TV Magazine pour dénicher les programmes incontournables de la semaine à venir. Notre sélection du lundi 31 mai au dimanche 6 juin 2021 est placée sous le signe des réseaux sociaux.

La French House s’installe sur « C8 »

Cette semaine, le petit écran est en passe d’assouvir un vieux fantasme : établir un pont entre les chaînes de télévision et les réseaux sociaux. Lundi 31 mai, à 18 h 10, C8 donne le coup d’envoi d’un nouveau programme quotidien intitulé Influenceurs : au cœur de la French House. Lors de cette série documentaire produite par Guillaume Genton, les caméras ont suivi le quotidien hors norme de ces cinq adolescents âgés de 17 à 22 ans, qui sont devenus de véritables vedettes auprès du jeune public.

Durant dix épisodes, la chaîne du groupe Canal + montrera comment ces professionnels de la toile imaginent des contenus toujours plus séduisants afin de choyer les millions d’internautes qui les suivent. Rencontres, voyages, placements de produits : ce travail s’avère être exténuant, en dépit des apparences trompeuses. Une galerie de portraits touchante, qui devrait faire briller les yeux des jeunes téléspectateurs, mais aussi fasciner les plus anciens.

« TMC » défend les adolescents dans un documentaire immersif

Le lendemain, TMC diffuse en première partie de soirée un nouveau numéro du Doc Quotidien consacré aux adolescents. Dans cette enquête intitulée « Pourquoi ils sont moins cons qu’ils en ont l’air », le réalisateur Emmanuel le Ber a suivi pendant un an ces collégiens et lycéens, qui sont près de cinq millions en France.

Le journaliste, qui s’est aventuré dans le monde des seniors l’année dernière, a filmé l’intimité de ces grands enfants, de leurs râteaux à leur première fois, en passant par leurs âneries. Cet état des lieux de la jeunesse montre des ados, certes omniprésents sur les réseaux sociaux, mais sensibles, et combatif face à l’épidémie de Covid-19.

LCP dénonce la dictature du bonheur en ligne

Le jeudi 3 juin, LCP investit à son tour l’univers du web dans un documentaire programmé en prime time intitulé #Happy : la dictature du bonheur sur les réseaux sociaux. Cette enquête produite par David Pujadas dissèque cet univers où tout le monde a l’air heureux. Sur Facebook, Snapchat ou encore Instagram, les internautes s’affichent sous leur meilleur profil, postent des photos de vacances sublimes, pour récolter un maximum de « likes ».

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