Le confiseur indépendant Verquin, connu pour ses fameux bonbons Têtes Brulées, Croibleu, la Pastille du mineur… vient d’intégrer le groupe Sucralliance, entreprise familiale localisée à Perpignan.
Sucralliance se positionne comme un acteur majeur de la confiserie annonçant un chiffre d’affaire proche de 80 millions d’euros.
Selon Michel Poirrier, PDG de Sucralliance, l’achat de Verquin est une « formidaale opportunité d’élargir sa gamme et de toucher de nouvelles cibles de consommateurs, notamment grâce à Têtes Brulées, si populaire chez les enfants et les ados.
Le groupe Verquin représente une part significative du marché de la confiserie en Europe avec 200 employés et un chiffre d’affaire avoisinant les 45 millions d’euros. Entreprise familiale, l’usine Verquin a vu le jour à Tourcoing avant d’ouvrir une seconde usine à Neuville-en-Ferrain. Sa production de bonbons produits est de 4.5000 tonnes environ comprenant sucres cuits, pâtes à mâcher, et guimauves.
Verquin s’est largement fait connaître récemment par l’incroyable succès de son produit phare « Les Têtes Brulées », dont les ventes ont été multipliées par 40 ces quatre dernières années. En effet, de 2012 à 2015 le nombre de sachets produits est passé de 200 000 à 8,3 millions.
Le Groupe BIG (agences TVLowCost, DigiLowCost et LowCostMedia) est fier d’avoir été étroitement associé à cette formidable aventure en étant reponsable de la communication à 360° de Têtes Brulées depuis le relancement de la marque en 2012. TVLowCost, DigiLowCost et LowCostMedia ont pris en charge toute la com’ TV, la com digitale et réseaux sociaux et toutes les actions d’activation, ainsi que l’achat d’espace sur tous les médias.
Sucralliance continue donc sa route en tant que géant de la confiserie avec désormais de nouvelles « BIG » marques prestigieuses à son actif.
Le confiseur indépendant Verquin, connu pour ses fameux bonbons Têtes Brulées, Croibleu, la Pastille du mineur… vient d’intégrer le groupe Sucralliance, entreprise familiale localisée à Perpignan.
Sucralliance se positionne comme un acteur majeur de la confiserie annonçant un chiffre d’affaire proche de 80 millions d’euros.
Selon Michel Poirrier, PDG de Sucralliance, l’achat de Verquin est une « formidable » opportunité d’élargir sa gamme et de toucher de nouvelles cibles de consommateurs, notamment grâce à Têtes Brulées, si populaire chez les enfants et les ados.
Le groupe Verquin représente une part significative du marché de la confiserie en Europe avec 200 employés et un chiffre d’affaire avoisinant les 45 millions d’euros. Entreprise familiale, l’usine Verquin a vu le jour à Tourcoing avant d’ouvrir une seconde usine à Neuville-en-Ferrain. Sa production de bonbons produits est de 4.5000 tonnes environ comprenant sucres cuits, pâtes à mâcher, et guimauves.
Verquin s’est largement fait connaître récemment par l’incroyable succès de son produit phare « Les Têtes Brulées », dont les ventes ont été multipliées par 40 ces quatre dernières années. En effet, de 2012 à 2015 le nombre de sachets produits est passé de 200 000 à 8,3 millions.
Le Groupe BIG est fier d’avoir été étroitement associé à cette formidable aventure en étant responsable de la communication à 360° de Têtes Brulées depuis le re-lancement de la marque en 2012. L’agence a pris en charge toute la communication TV, la communication digitale, les réseaux sociaux et toutes les actions d’activation, ainsi que l’achat d’espace sur tous les médias.
Sucralliance continue donc sa route en tant que géant de la confiserie avec désormais de nouvelles « BIG » marques prestigieuses à son actif.
Avec l’avancée du digital et les progrès de la technologie, nous voyons peu à peu notre quotidien ainsi que nos métiers se transformer.
Beaucoup s’interrogent sur le rôle de l’humain au sein des entreprises qui semblent pouvoir être fortement modifié. L’arrivée de l’intelligence artificielle et donc des robots peut soulever la question suivante : les robots peuvent-ils être les marketeurs de demain ?
Pour l’instant, la technologie nécessite l’aide de l’homme pour être mise en place. L’UX, la data, le cloud, sont des fonctionnalités techniques que l’homme dirige et maîtrise. Cependant, les compétences de l’intelligence artificielle pourraient défier l’expérience et le savoir faire d’un humain.
A titre d’exemple, l’IA est dors et déjà utilisée pour des tâches comme la rédaction d’articles simples aux Etats-Unis notamment au Los Angeles Times.
Plus impressionnant encore, depuis l’année dernière, la filiale Japonaise d’une célèbre agence de publicité a engagé un robot au poste de directeur de création. La machine aurait les facultés d’analyser le marché de la publicité à une vitesse record, soit de passer en revue toutes les idées qui ont déjà été réalisées sur un sujet précis. De ce fait, le robot peut faire des propositions plus efficaces et plus nombreuses qu’un humain.
La machine a en effet ses avantages concernant sa rapidité, sa précision, et l’infinité de ses recherches. En revanche, on ne peut remplacer l’intuition et la créativité d’un Homme, du moins pas pour l’instant.
L’humain est indispensable car il met ses émotions et intuitions au service de son travail, mais il ne peut pas nier le fait que la technologie se révèle déjà comme plus « efficace » sur des tâches de recherche, d’analyse, et d’optimisation. Bientôt, les équipes créatives et de marketing pourraient être assistées par des robots qui bénéficieraient d’une connaissance infinie du marché sur lequel ils travaillent. Cela entrainerait une métamorphose totale de nos métiers, et exigerait une remise en question de nos techniques de travail.
La création d’entreprises en France ne faiblit pas, selon l’Insee, avec 554.000 nouvelles entreprises en 2016, en hausse de 5,5 %, toutes formes juridiques confondues. Les trois quarts d’entre elles sont des entreprises individuelles : 40, 2 % des microentreprises (ex-autoentreprises), 25,7 % des entreprises individuelles. Enfin, avec 188.800 créations, soit plus du tiers du total, et une hausse de 9,8 %, les sociétés n’ont jamais autant séduit les porteurs de projet, y compris lorsqu’ils créent seuls. C’est un fait majeur à souligner : une société créée sur deux l’est avec un seul actionnaire !
SAS superstar
A 96 %, les sociétés sont des sociétés à responsabilité limitée (SARL) ou des sociétés par actions simplifiées (SAS). Mais pour la première fois, l’an dernier la SAS a été la plus retenue (56 %), alors qu’il y a cinq ans encore, la SAS ne représentait que 19 % des créations de sociétés. La société par actions simplifiées n’est pourtant pas une nouveauté. En fait, il aura fallu plus de trente ans pour que cette forme juridique s’impose. La SAS a été créée en 1994 pour les coentreprises, puis ouverte à toute personne physique et morale en 1999. La SAS attirait déjà par la liberté laissée aux actionnaires dans la rédaction des statuts et le régime social du dirigeant. Le président de la SAS ne relève pas du Régime social des indépendants (RSI). Contrairement au gérant majoritaire d’une SARL, il est assimilé salarié et peut même être bénévole. En 2009, l’attrait de la SAS a été renforcé par une mesure de simplification : la fin de l’obligation de l’intervention d’un commissaire aux comptes lorsque le chiffre d’affaires est inférieur à 2 millions d’euros. Ce qui explique sans doute que, aujourd’hui, les SAS unipersonnelles sont plus nombreuses que celles avec plusieurs associés !
Par secteur d’activité, les créations de nouvelles sociétés confirment le rebond de l’industrie et de la construction. Ces deux secteurs avaient connu des baisses supérieures à 15 % en 2015. Ils augmentent en 2016 de 5,5 % pour l’industrie et de 7,5 % pour la construction. Mais ce n’est rien face aux 35,3 % d’augmentation des transports et de l’entreposage, après 45,8 % en 2015. Une performance portée par le boom de la logistique liée au e-commerce et du transport des personnes. Dans ce tableau optimiste, l’Insee relève toutefois une note discordante. Les nouvelles entreprises employeuses sont deux fois moins nombreuses aujourd’hui qu’en 2009, seulement 7 % d’entre elles (hors microentreprises). Ces entreprises emploient en moyenne 2,6 personnes.
« UX », de l’anglais « User eXperience » traduit la qualité d’une expérience vécue par un utilisateur lors de son interaction avec une marque. Cet outil se base essentiellement sur le ressenti du consommateur sur la globalité des services d’une entreprise.
L’expérience utilisateur est notamment privilégiée au sein des startups, ces dernières très désireuses d’avoir une image positive pour assurer leur progression.
Basé sur le ressenti
La subtilité de cet indice est qu’il est basé sur un ressenti et non pas sur des chiffres. Il est d’ailleurs facile à identifier sur des plateformes « entremetteuses » qui relient offre et demande comme iDVROOM ou encore Airbnb.
La confiance et la fiabilité des utilisateurs deviennent alors essentielles au bon déroulement de cette User eXperience.
Flexibilité
L’UX se calcule également par rapport à l’aisance des utilisateurs sur une plateforme ou face à une entreprise. Elle résulte d’une stratégie de marque qui se doit d’offrir une certaine flexibilité à ses clients.
Si la stratégie est efficace, l’UX sera positive et l’entreprise verra croitre sa notoriété.
Innovation
L’UX se base également sur l’innovation d’un service: comment simplifier/améliorer l’utilisation d’une plateforme pour la rendre presque innée?
A titre d’exemple, UBER maîtrise totalement cette notion en ayant instauré un plan avec l’icone de la voiture qui se déplace en temps réel de façon a clarifier l’expérience de ses utilisateurs. Cette innovation a d’ailleurs été reprise par la totalité de leurs concurrents.
Copié / collé
Si l’on s’arrête sur les cas Facebook vs Snapchat vs Instagram vs Twitter, ces trois plateformes, très différentes en premier lieu, se volent simultanément des fonctionnalités comme les stories, les likes, les reposts etc.
L’UX de ces plateformes se base sur la multiplication de ces fonctionnalités car les utilisateurs s’attendent et demandent à avoir accès aux mêmes options sur chacun de leurs réseaux.
Un combat sans fin
Les entreprises se battent pour accéder à un UX toujours plus valorisant, et ce, pour le plaisir des consommateurs. Cela permet notamment aux grandes enseignes de se remettre en question face aux petites entités qui ne fonctionnent qu’à travers cette relation client/marque et qui souhaitent à tout prix satisfaire les besoins de leur clientèle.
Nombreux sont ceux qui opposent YouTube et Facebook, en particulier quand vient l’heure de determiner les réseaux sociaux à utiliser pour une campagne de publicité vidéo. Notre expérience nous apprend que si ces deux géants se concurrencent entre eux, ils offrent au contraire un terrain de jeu qu’il est propice d’utiliser sur toute sa surface.
Pourquoi les opposer et se cantonner à l’un ou l’autre quand les fonctionnalités vidéos sont même complémentaires ?
Voici les 10 principales fonctions pour les faire jouer en équipe et à son avantage, repertoriées dans cette infographie issue d’un article paru sur Viuz.
Quantcast s’est intéressé à ce qui influence les consommateurs français dans leurs achats en ligne. Durée des recherches, rapport aux marques, critères de choix, impact des émotions … Cette étude scanne l’ensemble des éléments ayant une incidence directe ou indirecte sur le parcours d’achat des internautes.
Quantcast, société spécialisée dans la publicité programmatique et la mesure d’audience sur internet, vient de se livrer à l’étude du parcours d’achat des consommateurs français et à leur spécificités dans ce domaine :
combien de marques le consommateur français a-t-il en tête au départ et combien en envisage-t-il lorsqu’il passe à l’achat ?
à quelle période commence-t-il à réfléchir à acheter en ligne?
que pense-t-il de l’expérience de l’achat en ligne ? Par quelles émotions passe-t-il?
quel est son rapport aux marques? est-il fidèle ou infidèle?
quel critères président à son choix? à un changement d’avis, un abandon de panier?
Voici quelques éléments de réponses à ces questions…
A quoi ressemble le consommateur français ?
Si l’étude souligne la complexité du parcours d’achat du fait de l’individualité de chaque consommateur, de grandes tendances émergent pourtant.
Ils sont près de la moitié (46%) à mettre moins de 4 semaines à rechercher un produit, contre seulement 12% à mettre plus de 6 mois.
Bien sûr, cette durée varie selon le type de produit souhaité : ce temps décisionnel n’est pas le même selon si le consommateur s’apprête à choisir une voiture ou un vêtement.
Ainsi, 71% des décisions d’achat de moins de 4 semaines sont consacrées aux vêtements et 28% des décisions de plus de 6 mois le sont à l’achat d’une voiture.
De fait, selon le produit donné, les marques se doivent d’engager le contact avec le consommateur à des périodes différentes.
44% des consommateurs disent trouver leur parcours d’achat intéressant, et 35% le trouvent amusant ou stimulant. Cependant, 21% le trouvent complexe, voire parfois décourageant (3%).
La question de l’émotion du consommateur n’est pas anodine pour la marque : son message doit être adapté à chaque étape du parcours d’achat afin de le rendre le plus agréable possible auprès du consommateur – sous peine de le décourager.
Ces informations sont essentielles ; mais l’étude montre aussi comment la singularité de chaque consommateur est à toujours prendre en compte : on ne peut pas prévoir tous les comportements. Ainsi, par exemple, 33% des personnes en phase de recherche (ceux qui prévoient de réaliser leur achat au cours des 6 prochains mois) ont finalement acheté plus tôt que prévu. Indécision, spontanéité, individualité : des facteurs à ne pas oublier pour qui désire vendre.
Le rapport à la marque : exclusif ou infidèle ?
Le marché regorge de marques en tous genres, chacun le sait : la question qui se pose est donc bien sûr celle du choix d’une marque par le consommateur lors de l’achat.
L’étude révèle que finalement, les consommateurs français connaissent en moyenne 8,1 marques tous secteurs confondus et n’envisagent seulement qu’une ou deux lors de l’achat : plus le processus avance, moins les marques envisagées sont nombreuses.
C’est donc qu’il y a un véritable travail de fond sur l’inconscient du consommateur à effectuer, ainsi qu’un développement efficace de l’image de marque. Car 75% des consommateurs en phase d’achat (achat prévu au cours des 4 prochaines semaines) ont déjà en tête la marque vers laquelle ils comptent se tourner pour finaliser leur achat.
On remarque par exemple que dans le cas de l’achat d’une voiture, 91% des clients connaissent directement leur premier choix. Et cela reste un phénomène très ancré, même si on observe une flexibilité plus grande dans certains secteurs comme celui de l’habillage.
Ce choix se fonde avant tout sur l’expérience client du produit : que ce soit via des échos positifs, la popularité de la marque (49%) ou le fait d’avoir déjà acheté un produit de la marque en question auparavant (56%).
Cette étude indique clairement que les marques doivent être actives avant le consommateur. Pourtant, les facteurs d’imprévisibilité, de singularité du consommateur demeurent essentiels : seulement 4 consommateurs sur 10 achètent l’une des marques qu’ils avaient présélectionnées.
Une stratégie de Branding traditionnelle ne suffit pas, et c’est là l’un des points essentiels de l’analyse.
Un parcours d’achat qui ne se passe pas toujours comme on le souhaiterait
Si l’on s’intéresse aux 81% des consommateurs qui ont déjà une liste de marques présélectionnées, différents parcours d’achat peuvent être appréhendés.
Car si près de 4 personnes sur 10 s’en tiennent à leur liste de départ, 22% changent finalement d’avis lors du parcours d’achat, notamment pour les meubles (25%), l’électroménager (25%) ou les vêtements (26%).
L’engagement du client avec la marque n’est donc pas concrétisé, provoquant un fort manque à gagner, c’est certain. Un consommateur sur 5 va même jusqu’à reporter ou abandonner sa décision d’achat, particulièrement lors de l’achat d’une voiture (41% des cas) ou de produits financiers (27%).
Comment faire alors pour que les consommateurs aillent jusqu’au bout du parcours d’achat ? L’étude révèle l’importance cruciale de la publicité lors de ce processus : 27% des clients qui ont finalisé la vente avouent avoir vu des publicités pour la marque présélectionnée durant les derniers moments de leur parcours.
S’il y a un effort branding de la part d’une marque, il est donc essentiel que celle-ci le consolide par une publicité importante, afin de ne pas perdre le client en chemin.
Mais finalement, le Branding seul peut-il avoir un impact sur la décision d’achat ?
L’étude révèle qu’en fait, des facteurs beaucoup plus “terre-à-terre” entrent en jeu au moment du changement d’avis notamment : le prix, les promotions ou la valeur ajoutée deviennent influents sur le choix du client.
Il s’agit donc de coupler intelligemment une stratégie de Branding à une stratégie de Performance tout en prenant en compte l’environnement économique, et la singularité du consommateur.
Méthodologie :
étude réalisée sur un échantillon de plus de 2 500 personnes pendant leur parcours d’achat sur différentes catégories de produits (produits high-tech, finance, voyage, automobile, mobilier, électroménager, services, mode) sur une période de 4 semaines.
Le service de messagerie instantanée de Facebook s’apprête à accueillir bientôt de la publicité. Un choix justifié par le président de Messenger, David Marcus, comme plus raisonnable, écartant au passage les options du micropaiement ou du commerce.
Le constat a été dressé par Facebook il a déjà plusieurs mois : la publicité du réseau social sur le fil d’actualité de ses utilisateurs est arrivée à saturation. Il s’agit, tout simplement, d’une question de place disponible : Facebook a déjà atteint sa capacité d’affichage maximale sur ses pages, et son directeur administratif et financier, Dave Wehner, avait souligné la nécessité d’éviter la surcharge de publicité auprès des membres.
Dans ce contexte, le choix de diffuser des publicités via des services connexes, comme Messenger, semble être une possibilité à envisager pour le géant des réseaux sociaux.
LA PUBLICITÉ, BUSINESS PLUS « DÉCENT »
L’arrivée de David Marcus, ancien président de Paypal, à la tête de Facebook Messenger, aurait pu laisser supposer que le service envisagerait de construire son business modèle autour d’un système de micropaiements ou de commerce. C’est le cas, notamment, des applications de messagerie japonaise Line et chinoise WeChat. Or, il semble que ce ne soit pas la direction que souhaite emprunter le président de Messenger.
Dans une interview accordée à Recode, David Marcus est revenu sur la stratégie publicitaire du service de messagerie instantanée. « Nous n’allons pas prendre de micropaiement. La seule chose que nous faisons habituellement, et c’est un business décent pour nous, est la publicité. Donc nous allons continuer à nous concentrer sur cela. »
En matière de publicité, Messenger est en encore à ses balbutiements. Courant 2016, Facebook annonçait ainsi l’arrivée de la publicité intelligente sur son application de messagerie, par l’intermédiaire des bots. En janvier 2017, le réseau social a commencé la diffusion de publicités à l’intérieur de la boîte de réception de Messenger.
Cependant, le service, aujourd’hui utilisé par un milliard — et des poussières — d’utilisateurs mensuels, n’ignore pas totalement le système des paiements. En effet, Messenger déploie à présent des paiements de groupe, permettant aux utilisateurs de se transmettre de l’argent par l’intermédiaire de l’application.
NOUS ALLONS CONTINUER À NOUS CONCENTRER SUR LA PUBLICITÉ
Il est vrai que le principe des micropaiements n’a pas été un modèle très viable pour les réseaux sociaux qui l’ont expérimenté par le passé. Facebook a tenté, en vain d’intégrer le commerce à son application ; Twitter y a définitivement renoncé. Snapcash, lancé par Snapchat en 2014, est quant à lui presque tombé dans l’oubli. En choisissant d’intégrer la publicité dans son service, Facebook Messenger souhaite sans doute éviter de connaître le même sort.
Une campagne de référencement payant – également SEA pour Search Engine Advertising – est avec le SEO une arme puissante de visibilité pour votre entreprise.
Elle fonctionne en concevant une annonce publicitaire optimisée via des mots-clés définis en amont et s’affiche sur les moteurs de recherche en haut de la page de résultats (pour Google elle prend la forme d’une « annonce ») ou bien, sur la partie droite de la page.
L’intérêt d’une campagne de référencement payant est que l’annonce bénéficie d’une exposition importante car elle apparaît dans les premiers résultats d’une recherche effectuée par un internaute.
Si vous n’avez jamais encore lancé de campagne de référencement payant, voici 4 étapes clés pour bien débuter.
1.POSER LES BASES DE LA CAMPAGNE RÉFÉRENCEMENT PAYANT
Au même titre que pour toute autre action du marketing digital, lancer une campagne de référencement payant débute par une réflexion approfondie sur les points essentiels de l’opération.
De quoi devez-vous faire la promotion à travers l’annonce ? Quels produits/services ?
Quelle est la cible ? Qui voulez-vous atteindre grâce à la campagne ? Quel profil d’internautes ? Quelle zone géographique ?
Quels sont les points forts de l’offre que vous voulez mettre en avant ? Quel est le point de différentiation avec la concurrence ?
Quand la campagne doit-elle être lancée ? Pour quelle durée ?
Quels sont les objectifs à atteindre ? Quels sont les retours escomptés ? De quel nature sont-ils ? (Meilleure visibilité, gain de leads, gain de part de marché, gain de clientèle…)
2. DÉFINIR LES MOTS-CLÉS STRATÉGIQUES
La campagne de référencement payant fonctionne en mettant en avant des mots-cléschoisis en amont.
Vous devrez donc travailler à définir une liste de mots-clés qui seront intégrés dans le texte de l’annonce de la campagne Google Adwords.
Ce sont des mots et expressions-clés que les internautes recherchent sur Google et consorts et qui correspondent à votre offre en produits ou services à optimiser et/ou au cœur de métier de votre entreprise/marque.
Grâce à l’outil de « planification de mots-clés » de Google Adwords (qui est LE service leader en référencement payant), il vous sera possible d’affiner votre démarche car la solution permet de connaître :
Le volume de recherche selon les mots-clés : sont-ils très recherchés par les internautes (et donc très concurrentiels) ?
L’enchère suggérée par mots-clés : plus les mots-clés sont sollicités par les internautes et par votre concurrence, plus leur niveau tarifaire est élevé.
Des suggestions de mots-clés car la plateforme en propose des complémentaires.
Des prévisions sur le nombre de « clics » que pourrait apporter la campagne.
D’autres outils que celui de Google Adwords existent pour travailler avec précision la liste de mots-clés :
SEMRush : donne la liste des mots-clés de votre concurrence.
Übersuggest : propose des mots-clés complémentaires.
3. DÉFINIR LE BUDGET
Le principe de base de fonctionnement d’une campagne de référencement payant et qu’elle s’appuie sur le nombre de clics des internautes sur votre future annonce, c’est le « coût par clic » ou CPC.
Cela implique un paiement dès qu’un internaute clique sur l’annonce puis a été redirigé vers la page de votre site ou autre (réseaux sociaux dans certains cas ou mini-sites promotionnels). Un budget global est ainsi défini, budget qui diminuera donc au fur et à mesure que les internautes cliqueront sur votre annonce en fonction des mots-clés que vous aurez choisis.
L’outil de prévision de Google Adwords donne la possibilité d’obtenir une estimation du CPC moyen total pour chaque mot-clé ainsi que son volume de recherche mois par mois. Vous pourrez ainsi travailler à définir un budget réaliste et cohérent avec vos moyens, vos objectifs et la concurrence.
4. RÉDIGER L’ANNONCE
En matière d’annonces publicitaires, la règle est d’être court, efficace et accrocheur ! D’autant que les annonces sur Adwords sont limitées en termes de nombre de caractères.
Pour concevoir une annonce qui donnera envie aux internautes de cliquer dessus et qui présentera de manière optimale votre offre et vos atouts, quelques règles sont à respecter :
Un titre court et accrocheur de 25 caractères maximum.
Le corps de l’annonce, sa description, doit être contenu dans 2 voire 3 lignes idéalement avec un volume de 35 caractères maximum par ligne.
Une URL claire : l’adresse de la page web vers laquelle l’annonce redirigera les internautes.
Dès lors que vous aurez franchi toutes ces étapes, il ne vous restera plus qu’à lancer votre campagne de référencement payant. Les premiers résultats commencent généralement à se concrétiser passé quelques jours voire quelques semaines.
Des chercheurs américains ont utilisé un jeu en réalité virtuelle pour soulager la douleur de leurs patients. Et ça semble marcher.
La réalité virtuelle est une nouvelle plateforme de jeux vidéo, c’est aussi la technologie avec laquelle Mark Zuckerberg souhaite révolutionner la manière dont les gens se connectent. Et dans le domaine médical, les casques de réalité virtuelle pourraient un jour remplacer les médicaments tels que la morphine, dans certains cas.
C’est en tout cas ce que souhaitent des chercheurs américains qui utilisent déjà un jeu en réalité virtuelle pour soulager les personnes qui souffrent de douleur chronique.
Selon un article de mosaicscience.com, republié par Quartz, les Etats-Unis ont un problème avec les médicaments antidouleur.
D’après l’article, la consommation d’opioïde aux Etats-Unis a triplé depuis les années 90. Et la population américaine, qui ne représente que 5 % de celle de la planète, consommerait 80 % de la production mondiale.
Le problème, c’est que ces médicaments ne seraient pas si efficaces contre la douleur. Mais les addictions qu’ils créent peuvent être dévastatrices.
Pourtant, avec la réalité virtuelle, ce problème pourrait être éliminé
D’autres techniques sont déjà utilisées pour distraire les patients et pour leur faire oublier la douleur. Mais ce qui rend la réalité virtuelle différente, c’est l’immersion. « La réalité virtuelle devient un endroit où vous êtes présent, et non quelque chose que vous regardez », explique Howard Rose, PDG de la société Firsthand Technology.
Cela fait 20 ans que ce chercheur travaille sur la réalité virtuelle, d’abord au laboratoire HITLab de l’University of Washington.
Ce laboratoire a développé une sorte de jeu baptisé SnowWorld avec lequel il a soulagé la douleur de patients pendant qu’ils subissaient des soins (douloureux) pour les brûlures. Les patients rapportaient une réduction de la douleur supérieure de 50 % par rapport à celles des médicaments ou d’autres formes de distractions, durant ces soins.
Lorsque Howard Rose a quitté le laboratoire, il a fondé Firsthand Technology avec un collègue. Leur entreprise a alors décidé de s’inspirer des résultats obtenus avec SnowWorld pour créer un autre jeu en réalité virtuelle : “Cool”, une version améliorée et commerciale.
Le jeu a été testé dans une clinique du Tenesee, avec 40 patients souffrant de douleurs chroniques. Et les résultats sont assez intéressants. Une seule personne a indiqué que la thérapie à base de réalité virtuelle (60 séances avec un casque) n’a eu aucun effet sur sa douleur.
« Dans l’ensemble, les patients ont signalé que leur douleur a diminué de 60 à 75% (par rapport à la ligne de base) au cours de leur session de VR et de 30 à 50% immédiatement après. La meilleure de la morphine est de 30 pour cent », explique l’article de mosaicscience.com.
Ted Jones, qui travaille dans la clinique qui a fourni ces patients, explique que comparé aux autres formes de distractions, comme la vidéo ou le coloriage, la réalité virtuelle montre plus de résultats. « Cela attire votre attention. Vous mettez le casque et vous êtes parti ».
Bien entendu, ces travaux n’en sont qu’à leurs débuts. Mais les chercheurs semblent très optimistes.
Et d’autres personnes font déjà des expériences similaires, comme les chercheurs du Pain Studies Lab de l’université Simon Frasier au Canada qui se sont également inspirés de SnowWorld pour développer un jeu baptisé Cryoslide dans le but de soulager la douleur des patients.