La Mobile Marketing Association France et le SRI s’associent pour présenter une cartographie des acteurs français de la publicité mobile et les distingue selon 3 profils : les acheteurs, les vendeurs et les experts de la data.
Plus d’une centaine d’acteurs français de la publicité mobile répertoriés sur une seule et même cartographie. C’est l’ambition de la cartographie que présentent, conjointement, le SRI et la Mobile Marketing Association France. Regroupant tant des adhérents des deux associations que des entreprises référentes sur le marché, le document distingue trois segments :
-Les acheteurs (Demande): annonceurs, agences, trading desks, DSP/Adservers, etc.
-Les prestataires spécialistes data: attribution, vérification, analytics, etc.
Une initiative qui vise à démontrer la vitalité du secteur de la publicité, comme l’a expliqué, dans un communiqué Sophie Poncin, la présidente du SRI: « Il est important que les annonceurs prennent la mesure de la diversité et du dynamisme de cet écosystème, en identifiant les différents acteurs de la chaîne de valeur, qui représentent autant d’alternatives aujourd’hui. »
Les vidéos arrivent sur LinkedIn, après avoir conquis les utilisateurs de Facebook, Instagram et consorts. Le réseau social professionnel veut inciter ses
Alors que les départs en vacances approchent, Google a publié une nouvelle infographie baptisée « L’été sera mobile ». Cette étude analyse les requêtes des internautes français sur mobile pendant la période estivale. Ces dernières sont d’ores et déjà 15% plus importante qu’en 2014…
La trafic mondial d’Internet devrait tripler d’ici à 2019, selon le dixième Visual Networking Index publié par Cisco.
Les connexions cellulaires et Wi-Fi représenteront 67% du trafic, et «il sera donc essentiel, pour l’ensemble des opérateurs, d’adopter des stratégies mobiles différenciantes et monétisables».
Si l’augmentation du nombre d’internautes – qui devrait représenter 51% de la population mondiale, contre 39% aujourd’hui – entre en jeu, le rapport souligne également la multiplication des terminaux. Alors que l’on compte actuellement 2 appareils en moyenne par habitant, ce chiffre devrait monter à 3,2 d’ici à quatre ans.
La santé connaitra la plus forte croissance des connexions M2M
L’Internet des objets va avoir pour conséquence de faire exploser le nombre de connexions M2M (machine-to-machine), comme l’agriculture, la distribution ou encore la maison.
Mais c’est le secteur de la santé qui devrait enregistrer la plus forte croissance, avec une multiplication de 8,6 du nombre de connexions . Au final, les connexions M2M devraient tripler dans les cinq prochaines années.
Autre élément, la montée en puissance de la vidéo en ligne qui devrait se confirmer dans les prochaines années. Alors que YouTube occupe déjà une place de premier plan, Facebook monte lui aussi en flèche sur ce terrain. Et le succès rencontré par les services de vidéo à la demande comme Netflix ne devrait faire que renforcer cette croissance. Tout confondu, la vidéo représentera 80% du trafic mondial en 2019, contre 67% aujourd’hui. «Ce phénomène pourrait se traduire par une croissance encore plus significative de la virtualisation des réseaux et de l’exploitation d’Internet pour la transmission de vidéos», explique Cisco.
Les opérateurs télécoms devront s’adapter
D’autres secteurs, comme les jeux (téléchargement, stockage des données…), la musique en ligne (qui concernera 500 millions d’utilisateurs supplémentaires dans les prochaines années) ou la visioconférence (plus de 140 millions d’utilisateurs supplémentaires) impacteront aussi la croissance du trafic.
Non sans conséquence : «les opérateurs devront adapter leurs réseaux pour prendre en charge l’afflux de terminaux sophistiqués (tablettes, smartphones, téléviseurs Ultra-HD connectés, les connexions M2M et les dispositifs intelligents portables», précise l’étude. Aussi, des systèmes d’authentification seront requis afin d’assurer la sécurité des réseaux.