Avec SnapML Snapchat pousse la réalité augmentée avec le machine learning

Les « snappchatters » ne sont pas laissés de côté pour autant

Ce 11 juin, à l’occasion du Snap Partner Summit 2020, Snapchat a dévoilé plusieurs nouveautés sur l’utilisation de la réalité augmentée. Le Lens Studio va bénéficier d’une mise à jour permettant d’utiliser le machine learning pour créer des filtres toujours plus impressionnants avec SnapML. Les utilisateurs pourront eux, redécorer leurs quartiers avec Local Lenses ou découvrir sur Scan les plantes et arbres autour d’eux.

Snapchat en fait un peu pour les développeurs…

Il s’agit de l’une des nouveautés marquantes de ce Snap Partner Summit 2020. Lens Studio, l’outil de création de filtres, va être enrichi d’une nouvelle fonctionnalité : SnapML. Comme son nom l’indique, SnapML propose aux développeurs d’intégrer leurs propres modèles de machine learning au sein de Lens Studio. De quoi ouvrir en grand le champ des possibles de la réalité augmentée pour les développeurs.

Plusieurs modèles vont être proposés pour suivre de façon plus fine les mouvements du visage ou des mains. Avec l’un des partenaires de Snapchat, Wannaby, un modèle de machine learning pour créer des filtres qui interagissent avec les pieds a déjà été présenté.

… Sans oublier ses utilisateurs

Les « snappchatters » n’ont pas été délaissés. Après Land Makers, qui permettait de redécorer ses monuments favoris, l’option Local Lenses va élargir la perspective à des quartiers entiers. Il sera désormais possible de donner des teintes plus joyeuses à des parties de villes virtualisée à force de peinture, de dessins et de filtre. Cette option peut être partagée avec ses amis, pour se créer son propre monde imaginaire collaboratif.

Plus cosmétique, la partie Scan de Snapchat présente quelques nouveautés. Voice Scan n’est autre qu’une commande vocale créée en partenariat avec SoundHound. Un doigt appuyé sur l’écran de l’appareil photo et vous pourrez lancer « Hey Snapchat, … » pour trouver votre filtre. Autre changement, avec une pression du doigt les filtres les plus pertinents apparaîtront sur votre écran en fonction de ce que l’appareil photo vise. Pour finir, de nouveaux partenariats intéressants ont été annoncés : PlantSnap pour identifier plantes et arbres, Dog Scanner pour connaitre la race du chien que vous avez croisé dans la rue, Yuka pour être sûr de la qualité de vos aliments, etc.

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BIG SUCCESS LANCE SACRÉS FRANÇAIS

Si la crise sanitaire a eu une vertu, cela aura été de confirmer les limites de la mondialisation. Nous les connaissions déjà, elles étaient répétées sans cesse par suffisamment d’experts et d’influenceurs pour imprimer une marque profonde dans nos consciences. Mais il fallait peut-être payer le prix d’une catastrophe globale pour passer de la théorie à la pratique.

Tout le monde est d’accord pour dire qu’il faut consommer français, qu’il faut aider toutes ces initiatives de relocalisation et de production en France. Mais pour exister, il faut communiquer : pas de pub, pas de succès.

C’est pour cela, que Big Success, l’agence de pub dédiée aux annonceurs entrepre- neurs, a décidé de lancer Sacrés Français.

Sacrés Français est une initiative publicitaire privée destinée à promouvoir les marques authentiquement françaises et positives pour tous. Il s’agit de mettre à la disposition exclusive des entreprises qui correspondent à un cahier des charges exigeant les meilleures conditions du secteur : conseil, création, production, média, études de marché, outils de mesures… Sacrés Français fédère les énergies pour faire en sorte que ces entreprises puissent se battre à armes égales avec les multinationales qui dominent le marché.

Pour en savoir davantage sur Sacrés Français, rendez-vous sur

www.sacres-francais.com

Vidéo et Réseaux Sociaux : les chiffres à retenir en 2020

La vidéo est l’un des formats les plus engageants du web, a fortiori lorsque l’on parle de réseaux sociaux…
Un post comprenant une vidéo génère en moyenne 30% d’interactions en plus qu’une photo et 2 fois plus de partages…

Et avec quelques 8 milliards de vidéos visionnées chaque jour sur Facebook, les marques ont tout intérêt à considérer ce média dans leur plan de com’.

De Youtube à Facebook en passant par Instagram, cette infographie réalisée par Teester liste quelques chiffres-clés intéressants pour mieux appréhender la puissance de la vidéo sur le web d’aujourd’hui…

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Que signifie la mention «Fabriqué en France» Ou «Made in France»

Ils existent divers termes pour essayer de prouver l’origine des produits qu’on consomme, mais comment savoir exactement leurs définitions quand ils sont tous différents les uns des autres. Il est important de savoir d’où vient les produits de notre quotidien, pour nous éclairer voici un article officiel du gouvernement qui explique la notion de « Fabriqué en France » ou aussi appelé le « Made in France ».

Selon l’article :

Le « Made in France » ou « Fabriqué en France » est un marquage d’origine que les entreprises peuvent indiquer sur leurs marchandises.

Le marquage de l’origine d’un produit non alimentaire n’est pas obligatoire en Europe. Cependant, le fabricant peut apposer une mention « Made In… » ou « Fabriqué en… » en respectant les règles de l’origine codifiées par les services douaniers.

Cette indication est facultative : aucune disposition ne prévoit l’obligation d’apposer un marquage d’origine, sauf pour certains produits agricoles ou alimentaires dans le cadre des réglementations sanitaires.

La réglementation du Fabriqué en France

Si le fabricant décide d’indiquer sur son produit une mention d’origine, celle-ci devra se conformer aux règles d’origine non préférentielle mises en place par les services douaniers conformément à la réglementation européenne :

L’origine non préférentielle permet d’établir la « nationalité » d’un produit quand des facteurs de production provenant de plusieurs pays interviennent : composants, matières premières et diverses étapes de la fabrication. En résumé, le produit prend l’origine du pays où il a subi la dernière transformation substantielle.

L’article 39 du codes des douanes réprime les mentions litigieuses pouvant laisser croire à tort au consommateur qu’un produit d’origine tierce est d’origine française alors qu’il ne répond pas aux règles d’origine non préférentielle.

Une circulaire du ministère des finances publiée au BOD n° 7117 du 13 mai 2016 détaille la réglementation relative à l’origine non préférentielle pour les professionnels qui souhaitent valoriser leur savoir-faire via un marquage de l’origine.

Elle définit précisément le champ d’application de l’article 39 du code des douanes de manière à alerter les professionnels sur les mentions relevant ou non d’un marquage d’origine et susceptibles d’être contrôlées par la douane. Cette circulaire abroge la circulaire du 12 mai 2015.

Les précisions de la DGDDI et de la DGE

La direction générale des douanes et des droits indirects (DGDDI) publie une page sur le marquage Fabriqué en ou « Made in », ainsi qu’une fiche sur l’origine non préférentielle d’une marchandise qui donne en particulier accès au guide pour la détermination de l’origine préférentielle dans l’Union européenne.

La DGDDI rappelle par ailleurs que toute entreprise fabriquant ses produits en France peut demander à ses services une Information sur le Made in France (IMF), à travers une procédure dédiée.

Cette notion d’origine des marchandises, utilisée par les services douaniers se distingue du label Origine France Garantie qui est attribué par un organisme indépendant et obéit à un cahier des charges spécifique. L’obtention de ce label permet aux entreprises qui en font le choix, de valoriser leur production nationale.

La direction générale des entreprises (DGE) publie une présentation du made in France, ainsi qu’un guide consacré au « Fabriqué en France » pour les professionnels, qui détaille les différents type de mentions, marquages et labels garantissant l’origine des produits.

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Les avis clients, en forte hausse durant le confinement

Entre besoin de transparence et de réassurance, les clients ont plus que jamais partagé leur avis durant le confinement. Aux marques désormais de s’engager, affirme Pascal Lannoo, chief marketing officer et customer experience officer de Net Reviews.

Le confinement a-t-il durablement modifié les habitudes de consommation? Définitivement, oui. Une chose est sûre, les avis clients ont fait une avancée spectaculaire durant la période. Leur publication, et plus encore leur consultation, a très nettement augmenté. Confinés, les Français ont manifestement voulu partager leur expérience et contribuer activement au choix éclairé des autres consommateurs. Et quand on sait que 92% des internautes font autant confiance aux avis en ligne qu’aux avis de leurs proches, il n’est pas étonnant que les avis boostent la conversion. Et il y a fort à parier que la tendance s’installe dans les mois à venir. Les enseignes ont tout intérêt à jouer cette carte de la transparence, une valeur aujourd’hui plus que jamais exigée par les consommateurs dans un contexte post confinement. Alors que les marques s’interrogent sur la bonne façon d’engager leurs clients, le consommateur a quant à lui des attentes précises d’engagements concrets de leur part.

Des communautés engagées

L’analyse des avis clients publiés ces dernières semaines est sans équivoque. Nous en avons décrypté 1,4 million, postés durant le confinement. Contraints à rester chez eux, les consommateurs se sont naturellement tournés vers l’e-commerce. Jusque-là, rien d’étonnant. Mais pour certains secteurs, le taux de dépôt d’avis client a littéralement explosé. En tête celui de la maison et du jardin: la part des acheteurs en ligne ayant laissé un avis après sollicitation a bondi de 43%. La progression est aussi notable dans le secteur de l’informatique (+20%) et du bébé-enfant (+23%). Jamais les communautés n’avaient été aussi actives.

Cette tendance confirme que le confinement va changer durablement le comportement des Français: le consommateur privilégiera les marques dont les valeurs vont au-delà de l’incantation, avec des preuves concrètes. Les enseignes vont devoir se distinguer pour favoriser la préférence. Irréprochables, elles devront s’engager et produire bien plus qu’un discours de façade. La transparence est devenue un asset business et le client est contributeur de valeur.

Un besoin de réassurance fort

En moyenne, sur 4,5 millions de sessions analysées, le taux de consultation des avis a augmenté de 45%. Après une phase de stupéfaction à l’annonce du confinement où le nombre d’avis a brutalement chuté, les chiffres de consultation s’envolent mi-avril. Ils doublent par rapport à d’habitude. Deux raisons à cette envolée. L’arrivée massive des néo-digitaux. On estime à 2 millions les acheteurs ayant effectué leur premier achat en ligne durant le confinement. Ils ont naturellement ressenti le besoin d’être rassurés avant de passer commande. De leur côté, les internautes plus aguerris ont consulté les avis plus que d’ordinaire, notamment pour apprécier les délais de livraison ou les conditions sanitaires mises en place dans les drives. A l’heure du déconfinement, la préoccupation sanitaire perdure. La question des efforts déployés dans les points de vente suscite forcément l’intérêt. C’est dans cette dynamique que nous proposons depuis quelques jours à nos clients off-line d’être jaugés sur les mesures sanitaires prises. Les consommateurs peuvent désormais évaluer les enseignes sur ce critère. Ces dernières peuvent ainsi utiliser ces avis comme éléments de réassurance et de transparence auprès de l’ensemble de leurs clients.

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