Masquer le compteur de likes sur Instagram pourrait avoir des conséquences inattendues

La fin du compteur de likes pourrait générer plus de contenus sur le réseau social.

Depuis plusieurs mois maintenant, Instagram est en train de tester la fin du compteur de likes. Quasiment tous les pays sont concernés aujourd’hui, même si la mesure n’impacte pas encore tous les utilisateurs. Le projet tient particulièrement à cœur de l’entreprise bien décidée à aller jusqu’au bout. Cette mesure est jusqu’à présent présentée comme une volonté d’améliorer le bien-être des utilisateurs en supprimant la tyrannie du like.

Ainsi en juilet dernier, la société précisait ses motivations : « Nous voulons que vos amis se concentrent sur les photos et les vidéos que vous partagez, pas sur le nombre de likes qu’elles récoltent. Vous pouvez toujours voir vos propres likes en tapant sur la liste des personnes qui ont liké un de vos posts, mais vos amis ne pourront pas voir combien de likes votre publication a reçu. »

Les utilisateurs sont divisés sur la mesure

Selon CNBC qui a pu interroger d’anciens employés d’Instagram, il y aurait une autre raison qui expliquerait cette décision et elle serait un peu moins altruiste qu’il n’y paraît. Au sein de l’entreprise, on émet en effet l’hypothèse que cacher les likes pourrait inciter les membres à poster d’avantage. Ces derniers seraient ainsi déshinibés par l’absence de pression liée aux likes. Cela serait bénéfique pour Instagram car plus de contenus signifie aussi plus de publicité.

Instagram se refuse à commenter ces informations et renvoie aux déclarations tenues par ses dirigeants un peu plus tôt. Il reste aussi à voir comment réagiront les utilisateurs. Pour l’heure cette nouvelle mesure les divise profondément. Certains dénoncent les effets néfastes de la course aux likes et le fait que les contenus perdent en singularité. Les influenceurs sont revanche remontés contre la mesure. Ils pointent en effet les risques d’une baisse de l’engagement des internautes.

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Quand la réalité virtuelle permet de lutter contre l’anxiété

En combinant la réalité augmentée et la réalité virtuelle et les propriétés de l’Apple Watch, Healium permet de réduire l’anxiété chez les patients.

Les troubles anxieux gênent la vie de millions de personnes à travers le monde. Dans certains cas, ils peuvent avoir des conséquences encore plus graves voire funestes. La start-up américaine, StoryUp Studios, a eu l’idée d’utiliser la technologie pour lutter contre cette maladie psychique.

L’entreprise a créé Healium, un dispositif qui recourt à la réalité virtuelle (VR) et à la réalité augmentée (AR) pour traiter les patients. Une fois lancé, il vous permet de contrôler une série d’images qui apparaissent à l’écran.

La réalité virtuelle comme alternative aux anesthésies

« Si vous abaissez votre rythme cardiaque, vous obtenez une réponse environnementale. Donc, au lieu de simplement regarder ce média, vous le ressentez et vous avez un sentiment de contrôle sur votre environnement. Cela donne aux utilisateurs la sensation que leurs pensées ont le pouvoir de contrôler les choses non seulement dans le monde virtuel, mais aussi dans le monde réel. C’est une métaphore que vous contrôlez votre monde, pas seulement à l’intérieur de ces lunettes mais aussi dans le monde réel », précise à Venture Beat, Sarah Hill, la présidente de StoryUp Studios.

L’entreprise s’est tout d’abord concentré sur la réalité virtuelle avant de s’étendre sur la réalité augmentée. Elle l’a ensuite combinée avec une application Healium destinée à l’Apple Watch. L’idée est notamment de mieux contrôler sa respiration. Le système est aussi vendu comme une alternative douce à la prise de médicaments qui peut aussi être nécessaire selon les patients.

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Les réseaux sociaux préférés des community managers en 2019

Facebook reste le réseau social N°1 pour les community managers.

Les réseaux sociaux « importants » pour les community managers en 2019. Crédits : BDM.

Nous avons interrogé 1 035 community managers pour connaître leur usage des réseaux sociaux : découvrez leurs plateformes préférées et les réseaux sociaux les plus efficaces.

L’importance des plateformes : Facebook et Instagram au top, Twitter et Snapchat dégringolent, Twitch et TikTok restent anecdotiques

Nous avons demandé aux community managers d’évaluer l’importance des principaux réseaux sociaux dans le cadre de leur travail. Cette année encore, Facebook reste n°1 : 88% des CM le jugent très ou plutôt important, en légère baisse depuis un an.

Instagram continue sa forte progression, passant de 66 à 77% entre 2018 et 2019. LinkedIn avance également de 5 points.

Ces deux plateformes ont réussi à doubler Twitter. En 2018, 68% des community managers estimaient que Twitter était important dans le cadre de leur travail ; ils ne sont plus que 54% aujourd’hui. YouTube talonne désormais Twitter, à 49%.

La suite du classement montre la stabilité de Pinterest et la forte chute de Snapchat : en 2017, 11% des CM estimaient que Snapchat avait de l’importance ; ils n’étaient plus que 7% en 2018, ils ne sont plus que 4% cette année. Twitch et TikTok restent anecdotiques. Viadéo et Google+ ont bien entendu disparu des radars.

  1. Facebook – 88,3%*
  2. Instagram – 77,5%
  3. LinkedIn – 65,4%
  4. Twitter – 54,3%
  5. YouTube – 48,9%
  6. Pinterest – 13,9%
  7. Snapchat – 3,7%
  8. Twitch – 2,7%
  9. TikTok – 1,8%

* Lecture : dans le cadre de leur travail, 88,3% des community managers estiment que Facebook est (plutôt ou très) important.

L’efficacité des plateformes : Facebook reste n°1 en gratuit comme en payant, malgré une baisse évidente de la visibilité organique

En 2019, 82% des community managers ont observé une baisse du reach organique sur Facebook. La baisse de la visibilité des posts non-sponsorisés semble évidente.

En organique, Facebook reste le réseau social le plus efficace, devant Instagram

Et pourtant, 42% d’entre eux déclarent que c’est sur Facebook qu’ils obtiennent les meilleurs résultats organiques (contre 46% en 2018). Instagram renforce sa deuxième place, avec 31%. LinkedIn monte sur le podium (17% contre 18% en 2018) au détriment de Twitter : c’est la plateforme la plus efficace pour seulement 6% des CM (13% en 2018).

Les community managers apprécient aussi l’efficacité des publicités sur Facebook

Au niveau de la publicité, 74% des community managers disposent d’un budget. Cette enveloppe augmente pour plus d’un CM sur deux. Les plateformes mobilisées pour la diffusion de publicités sont Facebook (94% des CM qui disposent d’un budget en consacrent une partie sur Facebook), Instagram (69%), LinkedIn (24%), Twitter (16%) et YouTube (12%). Plus de deux tiers d’entre eux obtiennent les meilleurs résultats payants sur Facebook, 21% sur Instagram et 7% sur LinkedIn.

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Comment optimiser votre SEO autrement qu’avec votre site internet ?

Dans le riche et complexe monde du SEO, le content marketing occupe une place de choix. En effet, il en découlera la réussite de la stratégie de référencement naturel mise en place. Comme on le sait, Google est exigeant, et demande donc que les contenus qu’on lui fournit soient de qualité et répondent à un certain nombre de critères.

Ce travail est essentiel à la viabilité d’un site sur le web. Arborescence, cocon sémantique mais aussi netlinking interne sont autant d’éléments à considérer pour gagner en autorité sur les moteurs de recherche. Cependant, il est possible d’élargir le champ d’action du SEO au-delà de son site internet. En effet, avez-vous pensé à mener une stratégie de contenus off-site afin de venir compléter vos efforts quotidiens ?

LES BACKLINKS : AU CŒUR D’UNE STRATÉGIE SEO OFF-SITE

SERP ET BACKLINKG : UNE RELATION GAGNANTE ?

Évidemment, si l’on parle de référencement naturel, on en vient rapidement à l’importance du backlinking. En effet, c’est un élément à intégrer pleinement à une stratégie SEO. Les backlinks jouent un rôle essentiel pour tout site qui souhaite gagner des positions dans les SERPs et accroître son autorité. Cela nécessite cependant une véritable réflexion afin de faire concorder sites de qualité et sites dont les thématiques sont semblables à votre domaine d’expertise.

Dans les secrets bien gardés du SEO, on entend parfois parler de white hat et de black hat. Cette dernière pratique est souvent remise en question par la communauté des experts SEO, car elle peut être pénalisée par Google. On vous invite à lire l’article de David Dragesco « Black hat SEO, entre mythes et réalités » qui est très éclairant sur le sujet.

COMMENT OBTENIR DES BACKLINKS ?

Pour obtenir des backlinks de qualité, quelle méthode privilégier ? Il y a en premier lieu le guest blogging, comme sur la partie blog de certains sites médias, ou d’éditeurs de logiciels par exemple. En fonction de votre domaine d’expertise, n’hésitez pas à solliciter des influenceurs ou des blogueurs. Notamment si vous êtes sur un secteur de niche, comme les jeux vidéo par exemple.

Il est également possible de capitaliser sur un contenu à valeur ajoutée réalisé par vos soins. Par exemple, les infographies, ou les vidéos ludiques ont le vent en poupe sur les réseaux sociaux, et sur le web en général. En profitant de la viralité de cette typologie de contenu, vous pourrez être repris et mentionné au sein d’articles, qui vous feront ainsi bénéficier d’un backlink. Dans la même idée, en fonction de votre cible, les livres blancs ainsi que les études sont des contenus qui sont partagés et réinvestis par certains médias.

C’est par exemple le cas de l’étude menée par The Morning Consult, traitant de l’utilisation des réseaux sociaux par les jeunes générations. Elle a suscité plusieurs articles, dont notamment un dans le BDM et Frenchweb, deux médias importants dans l’écosystème digital.

UNE STRATÉGIE DE NETLINKING SPONSORISÉE

En fonction des entreprises, les professionnels du SEO peuvent débloquer des budgets et s’ouvrir davantage de possibilités en termes de netlinking. En effet, avec des articles sponsorisés, il est possible de donner un coup de pouce intéressant à sa stratégie en place. Il n’est évidemment pas question de multiplier les articles sur des sites peu chers afin d’engranger un maximum de liens de moindre qualité.

Il y a deux méthodes qui fonctionnent très bien. La première, classique, est de faire un benchmark à la main. C’est un peu fastidieux, mais cela permet de s’assurer de la pertinence de chaque site sur lesquels vous pourriez rédiger un article sponsorisé, et d’évaluer les coûts de chaque action. De plus, cela crée un début de relation commerciale qui peut être réexploité par la suite, en fonction des résultats.

La seconde consiste à utiliser des sites spécialisés dans le netlinking où vous n’avez pas d’effort de rédaction à faire. Il vous faudra simplement configurer vos campagnes en fonction de votre budget, de votre cible et de la taille du texte voulu. Si budget et quantité de mots sont intimement liés, vous pouvez néanmoins vous essayer à quelques ajustements. Parmi les plateformes de qualité qui existent : SEM Juice et Rocket Links sont à essayer.

Enfin, vous pouvez également débloquer un budget pour mettre en place une stratégie de RP 2.0 et obtenir des liens auprès d’influenceurs ou de sites médias qui ont un très grand volume de visiteurs.

N’OUBLIEZ PAS LES RÉSEAUX SOCIAUX

Si les réseaux sociaux sont souvent source de débat quant à leur effet direct sur le SEO, ils restent néanmoins des sources de trafic à valoriser. Pourquoi ? Car ils sont eux-mêmes référencés, et peuvent générer du trafic qualifié vers votre site internet.

Les réseaux sociaux occupent une place importante dans les stratégies de contenus, d’autant plus qu’un bon contenu social media peut être indexé dans Google. Ainsi, vous pouvez créer un cercle vertueux, où vos médias sociaux jouent un rôle central. En effet, si vous partagez un contenu de qualité auprès de vos communautés, il va probablement engendrer de l’engagement et sera partagé auprès du réseau de votre réseau.

De fait, cela va engendrer des backlinks, et donner de l’importance à vos présences sociales. Vous aurez donc tout intérêt à les utiliser pour partager vos contenus. D’autant plus qu’ils génèreront du trafic et équilibreront vos sources d’acquisition. Ainsi, vos pages profiteront d’une hausse de trafic, potentiellement d’un meilleur taux de rebond, ce qui contribuera à améliorer votre SEO aux yeux de Google.

OPTIMISEZ VOS PRÉSENCES LOCALES

Parmi les astuces pour gagner des positions locales, les annuaires sont une bonne solution. Surtout pour les petites entreprises, cela leur permet d’être référencées assez facilement et sans trop d’efforts en termes de contenu. Il existe différentes plateformes sur lesquelles il est intéressant d’être présent en fonction des secteurs. Par exemple, TripAdvisor, Pages Jaunes, l’Étudiant comptent parmi les incontournables du SEO local.

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Avec cette fonctionnalité, Spotify veut devenir un vrai réseau social

La plateforme de streaming musical Spotify pourrait enfin franchir le pas et devenir un réseau social. Avec Tastebuds, découvrez ce qu’écoutent vos amis.

Avez-vous déjà été sur Spotify, et remarqué à quel point la plateforme était loin de faciliter les interactions avec vos amis ? Qu’il s’agisse de la plateforme de streaming musicale suédoise, ou n’importe quel autre service actuellement disponible (Deezer, Apple Music, Amazon Music Unlimited, …), les fonctionnalités empruntées aux réseaux sociaux sont rares, voire inexistantes.

Mais grâce à une découverte dans le code source de Spotify, il vient d’être repéré qu’un tout premier outil de partage de musique à nos amis est à l’étude sur l’application aux 113 millions d’abonnés premium. Il s’agira d’un onglet spécial, baptisé « Tastebuds », et qui pourrait venir s’intégrer aux côtés des menus « Bibliothèques » et « Parcourir ». Difficile à dire si « Tastebuds » verra effectivement le jour. En tout cas, son développement est à l’étude.

Une fonctionnalité sociale en approche sur Spotify

C’est bien la première fois que Spotify développe une fonctionnalité aussi poussée dans l’univers du réseau social. La tendance actuelle va dans le sens contraire, avec la suppression des rares fonctions d’interactions avec les autres utilisateurs sur la plateforme : on ne peut plus partager des musiques directement (il faut passer par des réseaux sociaux ou des messageries), et le seul moyen de découvrir ce que nos amis écoutent est de passer par la version ordinateur de la plateforme, et d’avoir connexion avec des comptes Spotify reliés à Facebook.

Avec « Tastebuds », ce sera totalement différent. Les utilisateurs pourront désormais découvrir de nouveaux artistes et de nouveaux titres musicaux grâce aux profils de leurs amis. En recherchant le nom d’un autre utilisateur, depuis la barre de recherche proposée sur « Tastebuds », nous pourrons ainsi en savoir plus, notamment sur les titres les plus écoutés par nos amis. Pour le moment, il est impossible l’intégralité des fonctionnalités de ce menu. Sur l’interface de la plateforme, Spotify indique seulement : « Maintenant, vous pouvez découvrir la musique grâce à vos amis dont vous faites confiance. »

Pourquoi l’univers social est un risque pour Spotify ?

Cette fonctionnalité n’est en aucun cas certaine de sortir véritablement. Spotify n’a absolument pas commenté la découverte de Jane Manchun Wong, experte en informatique pour TechCrunch et à l’origine de cette trouvaille. Néanmoins, il est possible de s’apercevoir de la réalité de cette nouveauté à venir. L’experte informatique a remarqué que le lien URL était d’ores et déjà disponible : découvrez-le en tapant https://open.spotify.com/tastebuds.

L’arrivée de cette nouveauté – si elle est confirmée – viendra marquer un grand coup sur le marché. Car bien qu’une majeure partie de la communauté d’utilisateurs serait ouverte à ce que ces plateformes de streaming musicales se tournent davantage vers des concepts empruntés aux vrais réseaux sociaux, des problèmes persistent.

Ce n’est pas pour rien que Spotify souhaite que chaque utilisateur découvre ses titres et artistes indépendamment de ses amis. Ajouter un aspect social à son application serait une bonne chose pour augmenter la durée d’écoute et le sentiment d’attache des utilisateurs à leur plateforme, mais d’un point de vue économique, les choses se compliquent.

En effet, si les utilisateurs commencent à découvrir des nouveaux titres et artistes en se penchant simplement sur les goûts de leurs amis, Spotify laisse de côté une partie de ses rentrées d’argent. A ce jour, les labels peuvent dépenser des grosses sommes pour faire en sorte qu’un nouvel album soit écouté sur la toile. Spotify, comme les autres plateformes, prône alors le plus possible leur maîtrise des propositions d’écoutes à leurs abonnés, pour proposer aux artistes une garantie forte d’écoute de leur nouvel album.

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Chiffres, engagement, stratégie de marque… Tout ce qu’il faut savoir sur TikTok en 2020

Dans les prochains mois vous n’échapperez pas à TikTok. Voici tout ce qu’il faut savoir sur le réseau social vidéo du moment, et quelles opportunités il représente pour les marques.

Vous ne connaissez peut-être pas, vous n’êtes peut-être pas membre, mais vous en avez certainement déjà entendu parler. TikTok (anciennement Musical.ly avant son rachat) est la dernière sensation dans le monde déjà très encombré des réseaux sociaux. Il faut dire que cette sorte d’OVNI à la chinoise a de quoi intriguer, ne serait-ce que par sa croissance fulgurante, puisqu’il a atteint en moins de trois ans un nombre de membres que même Facebook ou Instagram ont mis près de 10 ans à engranger.

TikTok c’est quoi ?

TikTok est une application mobile de réseau social autour de la vidéo créée en 2016 sous le nom de Musical.ly. Le principe d’origine était simple : se filmer en train de chanter et danser en playback (lip sync) sur des musiques libres de droits. Ce n’était pas la première application mobile à proposer cela, mais vous savez comment sont les mystères des internets : d’un coup il y en a une qui marche, et toutes les autres sombrent dans les cyber-oubliettes. Depuis c’est devenu ZE réseau social vidéo. Principale caractéristique : le fun et la créativité.

TikTok en chiffres

Les chiffres de TikTok – compilés par notre confrère Choblab – sont à la mesure de son pays d’origine : massifs, voire monstrueux.

  1. TikTok compterait au moment où est rédigé cet article 800 millions d’utilisateurs actifs mensuels dans le monde, dont 5 millions en France.
  2. En février 2019, l’application TikTok atteint le milliard de téléchargements, devant Instagram et Facebook.
  3. Environ 50 % des utilisateurs ont moins de 34 ans, avec 26 % entre 18 et 24 ans. 56 % d’utilisateurs contre 44 % d’utilisatrices.
  4. Parmi les utilisateurs actifs mensuels, plus de 500 millions sont chinois.
  5. Les utilisateurs passent en moyenne 52 minutes par jour sur TikTok.
  6. Une session dure en moyenne près de 5 minutes, soit davantage que sur Snapchat ou Instagram.
  7. La personne la plus suivie sur TikTok s’appelle Loren Gray, elle compte 35 millions d’abonnés.
  8. L’application se rémunère avec un système de une monnaie virtuelle. Lorsqu’un influenceur réalise un Live, ses followers peuvent lui envoyer des cadeaux virtuels. Pour les acheter, ces derniers auront besoin d’une monnaie que Tik Tok fait payer 1,09€ les 100 pièces. Les revenus sont ensuite partagés entre les influenceurs et l’application.

Les principales caractéristiques de TikTok

Lorsque l’on débarque pour la première fois sur TikTok (j’avais testé Musical.ly il y a environ 2 ans mais je n’y avais pas trouvé un grand intérêt, je n’étais clairement pas dans la cible), on est surpris par le fait que pour un nouveau média ciblé sur les très jeunes, l’interface n’est absolument pas déroutante, contrairement à un Snapchat. Elle est même « classique » et rappelle ce que l’on connait avec par exemple Instagram. On y a donc très rapidement ses repères, et la fluidité des interactions est certainement l’une de ses marques de fabrique. La découverte des contenus se fait immédiatement par un swipe (glisser vers le haut) pour passer d’une vidéo à une autre. Les vidéos sont généralement très courtes et l’on ne peut pas faire d’avance ou de retour rapide à l’intérieur de ces dernières. Chaque vidéo est illustrée par une bande-son que l’on peut tagger et réutiliser pour ses propres créations à l’intérieur de l’app.

TikTok propose en outre une fonctionnalité très rare, voire inexistante sur les autres réseaux sociaux : la possibilité de sauvegarder n’importe-quelle vidéo en la téléchargeant directement sur son smartphone, d’un clic.

Côté type de contenus, la tendance générale est à la fraicheur et à l’humour, avec notamment des pranks (canulars, caméras cachées) et beaucoup de « tours de magie » réalisés grâce à d’habiles montages vidéo. L’un des autres points de différenciation de TikTok réside dans les challenges, lancés par les marques ou par les membres entre eux (nombre de Likes, réaliser un geste ou un pari, etc). L’ensemble parait pour le moment assez bienveillant, même si l’on n’échappe pas à quelques contenus WTF ou sans grand intérêt.

Mais ce qui marque le plus est le niveau d’engagement visible sur la plateforme, qui est proprement hallucinant. La moindre vidéo sans intérêt apparent affiche allègrement plusieurs milliers de Likes, et l’on monte à des niveaux stratosphériques très rapidement, avec des centaines de milliers, voire des millions d’interactions, entre Likes et commentaires. Des chiffres qui démontrent de façon évidente que plus la cible est jeune, plus l’engagement est massif.

Est-ce que TikTok est intéressant pour les entreprises et les marques ?

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INSTAGRAM VA MAINTENANT UTILISER L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE POUR DÉTECTER LES « LANGAGES OFFENSIFS » DANS VOS LÉGENDES

Depuis quelque temps, les réseaux sociaux, y compris Instagram, font l’objet de nombreuses critiques quant à leur responsabilité dans la diffusion de messages et contenus abusifs sur leur plateforme. Afin de résoudre ce problème, Instagram a développé une nouvelle fonctionnalité ayant pour rôle de détecter les contenus classés inappropriés ou « intimidants » dans les légendes avant leur publication.

Le mode de fonctionnement envisagé par la firme est relativement simple. L’application va en effet utiliser l’Intelligence Artificielle pour détecter ces contenus dangereux et elle préviendra ensuite l’utilisateur pour qu’il puisse reconsidérer le message avant de le partager.

Ce n’est pas la première fois qu’on voit une telle option sur la plateforme. Un outil similaire a été inauguré plus tôt dans l’année, mais pour les commentaires.

Une initiative pour répondre aux critiques

Lorsqu’elle est activée, la nouvelle fonctionnalité d’Instagram détecte s’il y a présence de termes offensifs dans les légendes avant la publication par un utilisateur. Si c’est le cas,  elle envoie alors un message à celui-ci  indiquant que la légende qu’il vient d’écrire ressemble à d’autres qui ont déjà été signalées. Grâce à ce message, l’utilisateur a ainsi la possibilité de se renseigner sur les motifs du signalement et de modifier ou non la légende avant sa publication.

De par le monde, des politiciens et des militants ont réclamé la mise en place d’une réglementation plus stricte pour que les médias sociaux soient mieux encadrés. Ils ont aussi demandé des comptes aux sites qui n’ont pas su protéger leurs utilisateurs.

Pour répondre aux critiques qui viennent de tous les côtés, Instagram a déclaré qu’il était prêt à développer de nouvelles technologies et fonctionnalités pour lutter contre l’intimidation en ligne. Selon l’entreprise, plusieurs fonctionnalités sont déjà opérationnelles depuis cette année afin d’empêcher les messages de haine d’apparaître sur sa plateforme.

Une fonctionnalité globalement approuvée

Suite au lancement de la nouvelle fonctionnalité, Dan Raisbeck, co-fondateur de Cybersmile, une association de lutte contre la cyber-intimidation, a déclaré que l’initiative d’Instagram est un bon exemple de tentatives proactives pour mettre fin aux abus en ligne, c’est mieux que le fait de ne réagir qu’après l’événement.

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Gmail : vous pouvez maintenant envoyer un e-mail en pièce jointe d’un autre e-mail

Une autre bonne raison de rester sur Gmail ? Désormais, il est possible d’insérer des e-mails dans les pièces jointes d’autres e-mails, au lieu de transférer. Cela peut par exemple être très utile lorsqu’on veut faire un récapitulatif.

Google pense que dans certaines situations, c’est plus pratique d’inclure des e-mails dans les pièces jointes d’autres e-mails, plutôt que de transférer. Et grâce à une nouvelle fonctionnalité proposée sur Gmail, cela est maintenant possible.

En réalité, il était déjà possible de télécharger un e-mail, puis d’uploader celui-ci dans les pièces jointes. Mais désormais, cela sera plus facile.

Pour insérer un e-mail dans un autre e-mail, il suffira en effet de faire un glisser-déposer, comme sur l’animation ci-dessous.

Dans la boite de réception, il sera également possible de sélectionner un groupe d’e-mails puis de transférer ceux-ci sous forme de pièce jointe dans un nouveau message.

Pour mettre de l’ordre dans votre boite de réception

L’idée peut sembler drôle, mais Google assure qu’il s’agit d’une fonctionnalité réclamée par ses utilisateurs. « Nous avons entendu votre part que dans certaines situations, joindre des e-mails est plus logique que de transférer ceux-ci dans des messages séparés liés au même sujet », explique la firme de Mountain View. « L’envoi d’e-mails sous forme de pièce jointe vous permet de faire un e-mail récapitulatif à vos destinataires et de joindre l’ensemble des e-mails qui servent de support, que les destinataires peuvent ouvrir directement dans leur client de messagerie ».

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iOS : la navigation privée arrive sur Google Maps

L’application iOS du service Google Maps va disposer du mode « Incognito », censé rendre votre navigation privée. On connaît désormais sa date de lancement.

Pour pouvoir naviguer sur Youtube ou Chrome sans enregistrer d’historique, Google met à disposition son mode « Incognito », censé rendre votre navigation privée. Pour cette fin d’année, le géant de Mountain View en Californie a décidé de lancer ce mode sur une autre de ses applications. Depuis octobre, les utilisateurs Android peuvent désormais y accéder, et on attendait encore de savoir pour quand les utilisateurs iOS allaient être couverts.

Dans une note sur son blog, Google vient de confirmer l’arrivée du mode « Incognito » sur la version iOS de Google Maps. Mais cette annonce n’arrive pas au moment de son lancement : il faudra attendre janvier avant que Google Maps dispose enfin de son mode privé sur les appareils Apple.

Que propose le mode privé sur Maps ?

Comme en octobre dernier, l’annonce devrait encore faire parler d’elle, alors que les suppositions de récupérations des données personnelles n’épargnent pas la société californienne.

Il y a deux mois, Eric Miraglia (Director of Product Management, Privacy and Data Protection Office, chez Google), avait décrit le nouveau mode comme permettant « votre activité Google Maps sur cet appareil, à l’instar des lieux que vous recherchez, ne sera pas enregistrée dans votre compte Google ni utilisée pour personnaliser votre expérience Google Maps. »

Pour pouvoir naviguer sur Youtube ou Chrome sans enregistrer d’historique, Google met à disposition son mode « Incognito », censé rendre votre navigation privée. Pour cette fin d’année, le géant de Mountain View en Californie a décidé de lancer ce mode sur une autre de ses applications. Depuis octobre, les utilisateurs Android peuvent désormais y accéder, et on attendait encore de savoir pour quand les utilisateurs iOS allaient être couverts.

Dans une note sur son blog, Google vient de confirmer l’arrivée du mode « Incognito » sur la version iOS de Google Maps. Mais cette annonce n’arrive pas au moment de son lancement : il faudra attendre janvier avant que Google Maps dispose enfin de son mode privé sur les appareils Apple.

Que propose le mode privé sur Maps ?

Comme en octobre dernier, l’annonce devrait encore faire parler d’elle, alors que les suppositions de récupérations des données personnelles n’épargnent pas la société californienne.

google maps ios
© Google

Il y a deux mois, Eric Miraglia (Director of Product Management, Privacy and Data Protection Office, chez Google), avait décrit le nouveau mode comme permettant « votre activité Google Maps sur cet appareil, à l’instar des lieux que vous recherchez, ne sera pas enregistrée dans votre compte Google ni utilisée pour personnaliser votre expérience Google Maps. »

Pour défendre la mesure, et éviter toute critique, Google a fait en sorte que son nouveau mode soit aussi accessible que celui disponible sur Chrome et Youtube. Un bon point, alors que Google Maps connaît une méthode assez difficile pour supprimer un historique. Si vous voulez en savoir plus, découvrez notre guide pour savoir comment supprimer son historique sur Google Maps.

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Comment les PME peuvent -elles se digitaliser davantage pour générer de la croissance sur Internet ?

On comptabilise en 2019 près de 4 500 000 entreprises en France. Elles sont toutes différentes les unes des autres par leurs statuts (micros-entrepreneurs, entreprises individuelles classiques, celles sous formes sociétaires…) et par leurs tailles (TPE/PME, Grandes entreprises, Industrie…).

Malgré ce nombre conséquent d’entreprises, on peut constater que d’après le rapport Deloitte, 76 % des entreprises interrogés ont un site web et 74 % assurent une présence sur les réseaux sociaux. L’activité des TPE/PME issue du digital représente moins de 5 % avec des initiatives dispersées. La digitalisation d’une entreprise ne passe pas uniquement par une présence en ligne. Elle passe par des leviers de développement pour leur business, car elle concerne l’ensemble des activités et services de l’organisation : commerciales, logistiques, opérationnelles, de support, mais aussi RH ou RSE.

Le problème est donc un manque de digitalisation de la part des PME. Ce problème existe par la présence de divers freins comme le manque de temps, de moyens, la méfiance face au changement ainsi qu’une méconnaissance des technologies.

Pour résoudre ce déséquilibre, une stratégie doit être mise en place ainsi qu’informer les équipes pour qu’ils puissent collaborer pour envisager de nouvelles solutions pour l’avenir. Digitaliser une organisation ne se fait pas en un claquement de doigt, c’est pourquoi il faut prévoir entre douze et vingt-quatre mois pour avoir une digitalisation totale.