Créateurs de contenu, STOP ! Il est temps de passer au Slow Content

Source : ladn.eu

À force de vouloir être visibles, les marques risquent de devenir inaudibles. Conduisant tout droit les internautes à l’overdose de snack content et de junk information, ne doivent-elles pas aujourd’hui songer à ralentir le rythme ? Le Slow Content propose une vision alternative de la production de contenus, plus raisonnée, plus sélective, plus juste. Une tribune signée Dixxit.

Le temps de lire cet article, 20 millions de contenus seront partagés sur Facebook et quelque 2 millions sur Twitter. 60 % d’entre eux n’auront pas été lus par ceux qui les diffusent (1). Oui, qu’importe ce qu’on publie pourvu que l’on s’exprime.

Obnubilés par nos ambitions conversationnelles, shootés aux analytics, nous avons perdu de vue les raisons d’être de la production de contenu : transmettre une information utile, être lu, compris, écouté, préféré…

Cacophonie éditoriale

En plus d’empêcher toute forme de recul et d’analyse, la profusion de contenus place l’internaute dans un sentiment trompeur d’hyperchoix. On aborde toujours les mêmes sujets, avec les mêmes angles et suivant les mêmes recettes éditoriales. Que l’internaute cherche « comment choisir son assurance auto » dans Google, et le voilà devant des résultats d’une ressemblance confondante : des titres quasi jumeaux, des pavés de textes aseptisés conçus pour couvrir un maximum de mots-clés.

Les marques portent une large part de responsabilité dans ce délire informatif. En 2018, elles ont prévu d’augmenter leur budget « Content » de plus de 50 % (2). Bonne nouvelle pour le marché du contenu digital ? Oui mais pour dire quoi, à qui et comment ?

Au quotidien, pour les marques, il est bien difficile de résister aux sirènes de la profusion :

  • le « branding branling » ou syndrome de Blanche-Neige : « Ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle » ? Et se sentir obligé de publier un tweet à la moindre actualité corporate qui risque de n’intéresser que soi.
  • Google, notre maître à penser les contenus, qui incite à créer des articles pensés pour le moteur et non pour le lecteur, des papiers vides de sens, qui ressemblent à ceux du voisin.
  • la multiplication des canaux de diffusion et l’envie de les irriguer à tout prix : qui n’a pas un jour, par manque de ressources ou d’inspiration, raconté la même chose sur Facebook, Twitter et LinkedIn ?
  • et la plus envoûtante de ces sirènes, les stratégies éditoriales data driven telles que le Social Listening ou l’analyse des recherches. En décortiquant les conversations et requêtes des internautes, elles traitent des sujets dont ils parlent déjà, les enfermant dans des bulles sémantiques.

Comment ralentir la cadence et redonner du sens ?

À l’heure où les marques, entreprises et agences se posent la question de leur place dans la société, elles peuvent dès à présent s’inscrire dans une démarche de Responsabilité Sociétale et Informative en passant au Slow content :

1. Des contenus utiles, issus « du terroir » et génétiquement non modifiés
Le Slow Content est fortement identitaire : il puise dans l’ADN de l’entreprise tout ce qu’elle a de singulier. Il interroge sa raison d’être au plus profond. Et s’il repose sur une observation attentive des territoires des concurrents et une écoute des attentes des internautes, c’est pour mieux les mettre en perspective avec ce que l’entreprise peut offrir d’unique.


La ville de demain, territoire du Groupe Bouygues, irrigue aussi ses contenus marque-employeur. Les témoignages croisés des collaborateurs de toutes ses filiales (TF1, Bouygues Immobilier, Colas, Bouygues Telecom…) contribuent à diffuser cet ADN auprès des candidats.

2. Des contenus raisonnés : tri sélectif et recylage
Avant de se lancer dans le Slow Content, il faut accepter de s’arrêter quelque temps sur les milliers de contenus déjà produits. Le déploiement d’une nouvelle plateforme de communication ou une refonte éditoriale constituent des moments opportuns pour le faire. Quels contenus garder ? Quels contenus abandonner au profit de formats et de sujets plus adaptés aux nouveaux enjeux ? Comment regrouper plusieurs sujets qui se répondent pour proposer des expériences éditoriales plus composites, plus exploratoires ? Des questions qui nécessitent de s’appuyer sur de puissants outils d’ingénierie éditoriale.

3. Des contenus durables, qui ne transigent pas sur l’exigence de qualité
Explosion du big data, migration vers l’industrie du futur, recherche de l’excellence opérationnelle… L’entreprise a entre les mains des mines de sujets qui, conjugués à une démarche pédagogique rigoureuse et des formats innovants, ont le pouvoir de passionner les audiences. Le podcast  » The Message  » de General Electrics a ainsi rendu la technologie des ondes sonores connue de 4 millions d’abonnés.

À l’heure où nous dépensons plus de 60 % des budgets marketing dans le contenu, il est grand temps de s’assurer de le faire à bon escient. L’heure de la transition éditoriale a sonné.

(1) Etude menée « Social Clicks : What and Who Gets Read on Twitter » par l’INRIA et l’Université de Colombia, 2016

(2)  Source : Étude Zazzle Media, 2018

Aïe, le format vidéo est encore le Far West de la pub ! Décryptage

Source : ladn.eu

Des milliards de vues pour les pure players et les réseaux sociaux, des millions pour Médiamétrie, et encore d’autres revendiqués par les sites des médias… Les indicateurs vidéos sont le nouveau Far West des médias et des annonceurs. Que vaut vraiment une vue de vidéo Facebook ? Qu’achète-t-on vraiment lorsqu’on achète une vue de publicité sur YouTube ? On fait le point.

En 2020, la vidéo devrait représenter 82% du trafic global sur Internet et les dépenses publicitaires plus de 28 milliard, selon un rapport de Cisco. L’enjeu est donc capital, pour les marques qui veulent investir, comme pour les médias et plateformes qui veulent engranger des revenus. Et chacun se trouve un créneau – le plus de vues, le plus de temps passé, l’audience la plus qualitative ou la plus niche – pour vendre des espaces publicitaires. Instagram a récemment lancé IGTV pour concurrencer YouTube, Twitter a annoncé des partenariats avec des chaînes de télévision pour ses lives, Facebook continue sur sa lancée de « vidéo first » lancée il y a trois ans. Toutes ces vidéos ont-elles pour autant la même valeur pour les annonceurs ?

Pour Pierre-Yves Robert, directeur adjoint du département publishing de Publicis Média, il faut différencier les chiffres communiqués par les plateformes aux médias de ceux disponibles chez les agences publicitaires. Les vues comptabilisées ne sont pas nécessairement les mêmes pour les grand public que pour les annonceurs. Par exemple, YouTube utilise un petite marqueur visible qui augmente dès que l’internaute clique sur la vidéo. Mais, pour les annonceurs, « ce ne sont pas les mêmes métrics. On peut acheter de la vidéo vue à 100%. C’est-à-dire que si l’internaute regarde la vidéo jusqu’au bout, elle est facturée à l’annonceur. Sinon non. Mais, attention, une vidéo vue à 100% pour YouTube correspond à 30 secondes d’images. Au-delà, la plateforme estime que ce n’est pas de la qualité. »

Facebook et Instagram, de la masse mais pas de qualité

Pour le réseau de marque Zuckerberg et Instagram, c’est encore différent. Une vues est comptabilisée à partie de trois secondes. Une donnée qui peut prêter à sourire quand on sait que les vidéos se déclenchent automatiquement au scroll dans le feed. « Les chiffres donnés par Facebook sont biaisés. Le taux de complétion (la part de l’audience qui visionne intégralement une vidéo, NDLR) est extrêmement faible ! De l’ordre de 3%. Aujourd’hui, beaucoup d’annonceurs se posent vraiment la question de savoir s’il ne vaut pas mieux miser sur de la publicité programmatique ou des vidéos vues à 100%. » Car Facebook a beau se targuer de brasser beaucoup de data, pour le directeur adjoint, elles ne seraient, selon lui, pas toujours « très fraîches ». « C’est vrai que l’on peut cibler quelqu’un qui a liké telle page il y a cinq ans, mais avec la programmatique, on peut cibler plus finement quelqu’un qui est en train de réserver un voyage pour New York par exemple. C’est plus intéressant, plus actuel. »

Snapchat à la traîne

« Il y a eu un gros effet de masse au début pour de la publicité vidéo à l’intérieur des stories. Mais ça ne fonctionne pas vraiment parce que les vidéos ne sont pas vues plus de trois secondes. Surtout qu’au début, on ne pouvait pas cliquer. Il fallait donc mettre en place une espèce de mini-site sur Snap. Ce n’était pas du tout rentable. C’est vrai qu’on atteint une bonne couverture, mais il y n’y a pas de bon retour sur investissement », explique Pierre-Yves Robert, pour qui les annonceurs commencent à délaisser doucement l’application.

Les médias, un environnement sûr pour les annonceurs

Les vidéos hébergées directement sur les sites médias présentent de nombreux avantage, selon l’expert. C’est le cas des publicités visibles avant un contenu TF1, par exemple. « On ne peut pas les « skipper ». C’est la raison pour laquelle les vidéos « non coupables » sont plus impactantes en terme de notoriété et de mémorisation. Elles le sont presque autant qu’une publicité au cinéma. » Un autre type de vidéo, les vidéos « in read », celles qui apparaissent au sein des articles, obtiennent aussi de bons résultats pour les annonceurs, tout en préservant l’espace de lecture de l’internaute. Alors que les GAFA sont pris dans des scandales de fuite (ou vente) de données, les médias présentent un environnement sûr pour les annonceurs qui souhaitent préserver leur image, sans risquer d’être associés à du contenu de mauvaise qualité ou dégradant. Une manne à exploiter ?

 

Quelles opportunités pour les marques sur le marché des seniors ?

Source : ladn.eu

Arrêtez de ne vous intéresser qu’aux millennials : ce sont les seniors qui vous inspireront les meilleures innovations !

Quand on vous parle de silver économie, vous pensez couches pour adultes ou EHPAD ? Perdu ! Les opportunités du marché des seniors sont beaucoup plus vastes, et les entreprises gagneraient beaucoup à s’y intéresser.

Le marketing est obsédé par les jeunes et ne cherche qu’à les séduire – il faut que cela change, car il y a un ensemble d’opportunités qui nous échappent – Frédéric Serrière, conseiller en stratégie sur le marché des seniors et fondateur de Global Aging Consulting

Old is gold

« D’ici à 2030, les plus de 60 ans seront à l’origine de plus de 60 % de la consommation », souligne Frédéric Serrière. Et si la France peine à reconnaître la pertinence de ce marché, ce n’est pas le cas ailleurs. En Chine ou au Japon, s’occuper des personnes âgées est perçu comme une priorité absolue, et ces pays connaissent un véritable essor des innovations pensées pour eux. « Ce sont des produits déjà aboutis qui pourraient dominer nos marchés. » Mais suffirait-il alors de dupliquer ce qui existe ailleurs pour rattraper notre retard ? « Pas forcément car il existe sur ce marché de multiples différences culturelles » et certaines initiatives qui fonctionnent très bien ailleurs seraient fort mal perçues chez nous. Au Japon par exemple, face au manque de personnel, ce sont des robots qui prennent en charge les personnes âgées. « C’est plutôt bien accepté… Les Japonais ont conçu une sorte de machine à laver : à la place des vêtements, on met des gens dedans ! En Europe, un produit de ce type est impossible à imaginer. »

En revanche, il ne serait pas nécessaire d’avoir conçu un produit destiné a priori aux plus âgés pour s’adresser à eux, prétend Frédéric Serrière. « Parfois, il s’agit d’adapter un packaging », et cela pourrait se réduire à ajouter la mention « antioxydant » sur le paquet d’un sorbet à la framboise.

Mettre les seniors dans la boucle

Passer du temps avec les seniors, c’est avant tout apprendre le vocabulaire qui leur convient. Si vous voulez les séduire, parlez plutôt « d’autonomie » que de « dépendance », de « soutien » que de « maintien »… Évidemment. Mais surtout, évitez d’estampiller vos produits « seniors » – ils seraient rejetés par les autres générations comme par les seniors eux-mêmes ! « Le phénomène est connu – il y a une vraie différence entre l’âge que l’on a et celui que l’on pense avoir. Si vous concevez un produit pour les gens de 50 ans, vous risquez de cibler plutôt ceux qui en ont 70. Si vous faites une pub pour les personnes de 60 ans, choisissez une égérie de 48 ans. » Les seuls cas où l’on peut se permettre d’appeler un chat un chat ? « Les cartes de réduction et les promotions ! » Vous voilà prévenu…

 

Dissection du persona : indispensable à la conception de l’insight ?

Source : marketing-professionnel.fr

La méthode des persona a été créée en 1999 par Alan Cooper, présentée dans le livre “The inmates are running the asylum”. 19 ans plus tard, nous gardons une méthode similaire sans réel changement. Or, depuis la société a évolué et les modes de consommation aussi. Les persona ont peut-être eux aussi besoin d’une évolution, voire d’une suppression…

Persona standard ou adapté ?

Le persona véhicule le stéréotype même quand il intègre la cible. Tout est généralisé : il faut donc faire des choix. Trouver le point commun entre tous les consommateurs ciblés et si nous ne le trouvons pas ou si ce point en commun ne fonctionne pas pour la recherche d’insight, il faut comprendre pourquoi.

Avec les critères qu’on retrouve régulièrement dans un persona : l’âge, la situation familiale, la catégorie sociale, le prénom et donc le genre, nous cherchons à rendre les différents profils le plus humain possible.

Le stéréotype est utile dans le cadre d’un persona mais il peut être porteur de faiblesses. En effet, en donnant une identité à son persona, nous limitons nous-même notre coeur de cible. En effet, si nous décidons que notre premier persona est une femme de 35 ans, sans enfant, nous éliminons tous les hommes ainsi que les femmes de moins de 30 ans et de plus de 45 ans. Selon les marques, ces informations ne sont pas toujours essentielles.

Prenons l’exemple de la pâte à tartiner “Nutella”, produit universel, transgénérationnel. Son cœur de cible reste les enfants (aussi bien les garçons que les filles) et les parents (prescripteurs). Toutefois, les plus de 18 ans sont des grands consommateurs de la marque car ils ont grandi avec elle. Il n’est donc pas nécessaire de mettre au persona, un sexe et une catégorie socio-professionnelle (et donc un métier). En revanche, il serait intéressant de savoir comment le produit est consommé et pourquoi il est choisi plutôt qu’un autre pour trouver une piste d’insight.

Alors en limitant les éléments d’identité nous évitons d’ignorer d’autres cibles potentielles, mais aussi malgré nous d’idéaliser le client souhaité. Segmenter c’est penser sa cible… et se concentrer sur ses besoins, ses envies, ses habitudes d’achat, etc.

La perception du planneur stratégique

Nous n’analysons pas l’identité de la cible mais sa personnalité. Le bon persona est celui qui reflète la cible tout en laissant une part d’ombre. Le persona est une projection du client ou plutôt d’une communauté, telle qu’elle est et non comme la marque voudrait qu’elle soit. Cette projection est un mélange entre la réalité et la créativité.

La réalité est représentée par ce que disent les consommateurs, de la marque ou du produit, en temps réel sur internet et les réseaux sociaux. Ces informations doivent être suivies et analyser pour comprendre sa façon de penser, son ressenti vis-à-vis du produit ou de la marque. Ensuite, il faut entrer dans la vie du consommateur, comprendre comment il vit, quels sont ses centres d’intérêts (les autres marques qu’il aime, ce qu’il aime lire, faire, etc.). Ainsi, nous pourrons cerner les choses qu’ils aiment en termes de contenu, de design ou encore de pratique. Cette partie de recherche nous aidera ensuite pour la créativité. Il faut reconnaître la spécificité de chaque individu pour proposer des archétypes et donc des symboles.

Le persona est une mise en abîme : chaque planneur stratégique a sa propre méthode, sa propre vision du monde qui va influencer la conception de son persona, la manière dont il va le façonner.

Que serait le planning stratégique sans le persona ?

Il n’y a pas une seule méthode pour le planning stratégique. Chaque planneur à sa propre façon de travailler, s’appuyant sur 3 points :

  • Planifier sa stratégie : consommateur, marque, produit, communication.
  • Analyse des études consommateurs : son observation, les tendances, sa connaissance du marché.
  • Faire de la prospective : tendances, besoins, innovations.

Le persona est travaillé dans la première étape. Si nous imaginons son étude sans le persona, nous retirons tout l’aspect consommateur. Sans cela, nous ne pourrons plus visualiser qui est notre cible. Il serait donc difficile d’imaginer un axe créatif sans connaître notre interlocuteur. Imaginez-vous adresser un message spécifique sans savoir à qui il s’adresse. Il serait donc difficile de savoir ce qui les intéressent pour pouvoir attirer leur attention, nous ne saurions pas sur quel ton s’adresser à eux. Bref, ce serait tâter au hasard. Si nous devions imaginer le planning stratégique sans persona, il faudrait imaginer une alternative.

Pourquoi pas imaginer une représentation de leur univers : si notre cible aime les réseaux sociaux, qu’aime-t-elle suivre ? Quelles sont ses passions ? Qu’aime-t-elle faire dans la vie ? Lire ou regarder la TV ? Que préfère-t-elle : la télévision, l’ordinateur, la tablette, le mobile ? Envisageons des profils consommateurs sans aucun trait d’identité pour se concentrer sur des plusieurs univers communs. Nous pourrions imaginer des représentations avec des illustrations, des tableaux comme sur Pinterest ou, pourquoi pas, de la vidéo.

La conception d’un persona permet aux créatifs de mieux comprendre la cible. Il faut donc le construire de manière optimale pour aider les créatifs sur leur projet. En 2 ou 3 profils, ils doivent comprendre à qui il s’adresse. Il faut donc aller à l’essentiel (éviter les informations superflues qui peuvent mener à l’erreur) tout en étant le plus précis possible (sur leur environnement, leur mode de vie, leurs intérêts,…). Chaque planneur stratégique est libre de suivre la méthode “classique”… ou  d’utiliser des variantes selon son mode de travail ou du client pour lequel il travaille.

BIG SUCCESS PROPOSE DE NOUVEAUX SERVICES À SES CLIENTS GRÂCE À YELLOWBOX CRM

« Le confort apporté est indéniable sur la gestion des bases. Et le confort … c’est du temps de gagné. Et donc de la qualité dans ce qui est délivré. »

Olivier ROBERT, Vice Président et fondateur de BIG SUCCESS

L’AGENCE DE MARKETING 360° « BIGREMENT EFFICACE » OPTIMISE LA GESTION DE BASE DE DONNÉES DE SES CLIENTS AVEC UNE SOLUTION CONVIVIALE

BIG SUCCESS est une agence de communication globale fondée il y a 23 ans par des publicitaires-entrepreneurs dont les équipes sont constituées majoritairement de managers expérimentés associés aux résultats de l’agence. Son activité actuelle de stratégie, création et accès médias est le fruit d’une longue expérience en multicanaux : TVLowCost – qui produisait des films publicitairescourts pour les PME – a été la première agence en termes de volumes de créations indépendantes. TV et web ont été réunis ensuite au sein de Digilowcost, qui intégrait un pôle de création de sites, de la publicité digitale, ou encore du « RTB » (Real-Time Bidding, ou enchères en temps réel). Cette démarche a donné l’impulsion vers la programmatique : tous les médias seront bientôt accessibles via des plateformes programmatiques, notamment les panneaux d’affichage numérique présents dans les différents points de vente. Double avantage : l’achat d’espaces revient de 30 à 80% moins cher et les campagnes sont optimisées au quotidien grâce à des supports innovants, efficaces et rentables. Présence sur les réseaux sociaux, modération, e-réputation, gestion de crise et analyse d’avis clients pour des univers tant B-to-B que B-to-C constituent l’éventail des compétences de Big Success.

L’agence mutualise des compétences de créa télé et web avec des achats media on/offline. « Stratégie et création étant les portes d’entrées vers des campagnes réussies » selon Olivier Robert, Vice-Président et Fondateur du groupe. Dans un contexte de développement de business et de pur marketing allant bien au-delà de la transformation digitale, comment choisir un outil pour absorber des mécaniques métiers et positionner le bon message sur le bon canal et adresser la bonne cible au bon moment, en allant au-delà des problématiques classiques d’inbound ou de marketing automation ? Réponse : il faut un CRM !

UN CRM POUR EN FINIR AVEC LA DISPERSION DE L’INFORMATION

« Plusieurs personnes s’occupaient de l’acquisition de prospects, chacun ayant ses propres apporteurs d’affaires, rien n’était mutualisé. Les prospects étaient partagés via des fichiers Excel ce qui impliquait un défaut de synchronisation et d’harmonisation des sources, un timing irrégulier ou décalé des campagnes, du travail en silo donc, dans un contexte de forte croissance de data mal croisées et mal exploitées » explique Olivier Robert. La démarche de mise en œuvre d’un CRM s’est imposée d’elle-même le jour où BIG SUCCESS a pris conscience que ses clients allaient être confrontés aux mêmes symptômes, sans forcément vouloir les traiter par eux-mêmes. L’agence se devait d’être force de proposition pour leur offrir une solution compatible avec les campagnes qu’elle allait construire pour eux.

3 CRITÈRES PRINCIPAUX DE CHOIX : ÉCOUTE, CONNAISSANCE MÉTIER ET SIMPLICITÉ

BIG SUCCESS avait déjà étudié plusieurs solutions dont l’usage s’est avéré compliqué. « Il faut que les choses soient simples pour qu’elles soient utilisées » selon M. Robert. C’est donc tout simplement lors d’un échange avec un client lyonnais qu’il a entendu parler pour la première fois de Yellow Box CRM. « Ce qui a fait la différence, c’est tout d’abord le bon relationnel autour du businesscar l’agence évolue sur des domaines sensibles. La simplicité de l’outil m’a toute de suite séduit » ajoute M. Robert, même s’il reconnaît qu’il est délicat de faire changer les habitudes en interne, car c’est une démarche à long terme. « Le temps passé en formation a démontré que l’outil était hyper-flexible et permettait une adaptation à tous types de clients, un point crucial pour notre activité ». L’approche budgétaire a été par ailleurs très appréciée.

UN DÉPLOIEMENT RAPIDE

La mise en œuvre de la solution s’est faite par transfert de compétences, par du paramétrage à la demande et de l’accompagnement. Le déploiement a été assez rapide entre le choix et la mise en place (un mois en tout). Aujourd’hui, BIG SUCCESS utilise l’outil principalement pour la prospection, la gestion de base de données de prospects.

UN ROI DÉLICAT À CALCULER…

« Il est toujours compliqué de calculer un ROI sur ce type de projet. Le confort apporté est indéniable sur la gestion des bases. Et le confort … c’est du temps de gagné. Et donc de la qualité dans ce qui est délivré » pour Olivier Robert.

… MAIS DES PERSPECTIVES D’USAGES TRÈS VASTES

L’étape suivante consistera à interfacer Yellow Box CRM avec un outil interne de gestion clients. Le but : apporter une vraie plus-value à tout le staff grâce à un accès à une information qualitative sur :

  • Les fiches clients,
  • Les en-cours,
  • La mise en œuvre d’une mécanique cross-business (croisements d’informations sur des clients communs entre différentes équipes)

La synergie de projets doit permettre d’accroître le développement d’opportunités d’affaires. BIG SUCCESS peut désormais proposer à ses clients ce qui a été réalisé en interne chez lui : gagner de la pertinence dans la gestion de bases de données, en segmentation et en qualité. « L’idée consiste à créer un nouveau produit, un nouveau service qui va permettre à des organisations dépourvues de bases de données de collecter de la data et de la gérer avec efficience ».

En résumé : Yellow Box CRM va permettre à BIG SUCCESS de construire et de gérer des bases pour le compte de ses clients. Au final : redonner à certains grands comptes le contrôle sur la connaissance de leurs clients – qui l‘ont souvent laissé aux distributeurs – et réexploiter celle-ci notamment sur les réseaux sociaux. Une démarche gagnant-gagnant pour toutes les parties prenantes.

Index Mobile First : 7 points clarifiés par Google

Source : abondance.com

Le compte Twitter pour webmasters de Google a dernièrement clarifié 7 points importants au sujet de l’index Mobile First qui bat son plein à l’heure actuelle. Une sorte de FAQ permettant de mieux appréhender et comprendre le projet…

On sait que le passage à l’index Mobile First est en cours à l’heure actuelle pour le moteur de recherche Google et que les premiers messages de notification ont été envoyés dans la Search Console depuis quelques semaines.

A ce sujet, le compte Twitter Google pour webmasters a publié une suite de 7 tweets concernant ce projet, afin de rappeler et parfois clarifier des points qui pouvaient parfois s’avérer obscurs pour certains webmasters. Les voici :

  • L’indexation et l’analyse du contenu de la page se fera bien sur la version mobile lorsque la page sera dans l’index Mobile First. Mais le moteur desktop montrera toujours dans ses résultats la version desktop du site et le moteur mobile proposera la version mobile du site (si elle est différente, bien sûr).
  • Le crawl du site va « switcher » du robot desktop au robot mobile. Si les URL sont différentes, le site mobile devrait être plus crawlé que le site desktop lors du passage à l’index Mobile First.
  • La version « en cache » d’un site qui a été versé dans l’index Mobile First ne peut pas pour l’instant être visualisée. Il s’agit d’un bug en cours de réparation au sein des équipes de développement du moteur.
  • Le projet Speed Update, en cours de déploiement ce mois-ci, est totalement décorrélé de l’index Mobile Fist.
  • Les accordéons, onglets ou menus de type « hamburgers » fonctionnent, sont pris en compte et ne posent pas de problèmes spécifiques.
  • Peu importe la façon dont le site est compatible mobile (responsive, site dédié, dynamic serving/) ou même si le site n’est pas compatible mobile, il sera versé dans l’index Mobile First. Si le site ne dispose pas d’une version mobile, c’est la version desktop qui restera prise en compte.
  • Le fait d’avoir son site versé dans l’index Mobile First ne fournira pas de « boost » supplémentaire en termes de SEO.

Peu de problèmes majeurs constatés lors du passage à l’Index Mobile First

En conclusion : tout a l’air de se passer normalement pour l’instant dans ce projet qui devrait se poursuivre d’ici à la fin de l’année. A ce jour, aucune perte de trafic ou de position ne semble avoir été signalée suite au passage en Mobile first.

Continuons cependant à répéter le même conseil : il est très important de proposer le même contenu sur les version desktop et mobile. Si c’est le cas, tout devrait bien se passer pour votre site web. Voici notre vidéo qui rappelle tout ceci :

 

 

INFOGRAPHIE : le baromètre 2018 des notifications push pour apps mobiles

Source : CB News

Accengage, spécialiste des technologies de notifications push pour apps mobiles, sites web et Facebook Messenger, publie l’édition 2018 de son Baromètre du Push pour Applications Mobiles. Une étude basée sur plus de 50 milliards de notifications envoyées à 900 millions de mobinautes dans le monde de janvier à mi-juin 2018. Dans une infographie, on y apprend notamment que 43,9% des utilisateurs iOS acceptent de recevoir les notifications, contre 91,1% sur Android. Que c’est le secteur de la finance qui a le meilleur taux d’opt-in global (72,3%), suivi du voyage (70,2%) et du e-commerce (68%). La France est le deuxième pays européen avec le meilleur taux d’opt-in (68,4%), derrière l’Italie (68,7%). En termes de « taux de réaction », c’est-à-dire le pourcentage d’utilisateurs ayant cliqué sur ces notifications, l’étude relève un taux moyen de 7,8% (4,9% sur iOS et 10,7% sur Android). Le top 3 des secteurs avec les meilleurs taux de réaction sont : le voyage (11,3%), la finance (9,8%) et le e-commerce (7,9%). La France est le deuxième pays européen avec le meilleur taux de clic (8,9%), derrière l’Allemagne (9,2%).