Alors que les départs en vacances approchent, Google a publié une nouvelle infographie baptisée « L’été sera mobile ». Cette étude analyse les requêtes des internautes français sur mobile pendant la période estivale. Ces dernières sont d’ores et déjà 15% plus importante qu’en 2014…
C’est le premier World EmojiDay, et depuis ce matin le web et surtout les réseaux sociaux ont été submergés de créativité. Pas étonnant, lorsque l’on sait que plus de 6 milliards de ces Emojis sont échangés chaque jour dans le monde.
Voici quelques exemples de réalisation de marques à l’occasion de cette journée mondiale de l’Emoji :
D’autres marques utilisent les emoticônes pour susciter l’engagement de leurs abonnés, via le lancement d’un jeu concours, comme Interflora France :
Ou la Paramount Pictures, afin de deviner les films déguisés en emoji :
Le même principe est utilisé par le British Museum, ou encore Spotify France :
Décryptage du phénomène
Les émoticônes, ou Emoji, c’est le nouvel alphabet universel des émotions qui envahit les messages des marques, sur mobile, tablette, ou ordinateurs. Cette grammaire visuelle et universelle colle au règne tyrannique de l’instant T, et confirme une fois de plus la force des images : seul 30% du sens est véhiculé par les mots, tout le reste est fait d’images, d’attitudes, de sons, de gestes, d’odeurs… Et les Emojis sont une alternative efficace aux mots !
Cela explique certainement pourquoi les émôticônes sont de plus en plus présents dans la communication digitale des marques. Ils permettent aux parques de créer leur propre signifiant, de tisser un lien avec le consommateur qui utilisera ces Emojis brandés. Cela confirme également ce que les consommateurs réclament des marques : de la créativité en continu. Une manière rapide de viraliser son image de marque, et d’entrer dans le quotidien des individus.
La trafic mondial d’Internet devrait tripler d’ici à 2019, selon le dixième Visual Networking Index publié par Cisco.
Les connexions cellulaires et Wi-Fi représenteront 67% du trafic, et «il sera donc essentiel, pour l’ensemble des opérateurs, d’adopter des stratégies mobiles différenciantes et monétisables».
Si l’augmentation du nombre d’internautes – qui devrait représenter 51% de la population mondiale, contre 39% aujourd’hui – entre en jeu, le rapport souligne également la multiplication des terminaux. Alors que l’on compte actuellement 2 appareils en moyenne par habitant, ce chiffre devrait monter à 3,2 d’ici à quatre ans.
La santé connaitra la plus forte croissance des connexions M2M
L’Internet des objets va avoir pour conséquence de faire exploser le nombre de connexions M2M (machine-to-machine), comme l’agriculture, la distribution ou encore la maison.
Mais c’est le secteur de la santé qui devrait enregistrer la plus forte croissance, avec une multiplication de 8,6 du nombre de connexions . Au final, les connexions M2M devraient tripler dans les cinq prochaines années.
Autre élément, la montée en puissance de la vidéo en ligne qui devrait se confirmer dans les prochaines années. Alors que YouTube occupe déjà une place de premier plan, Facebook monte lui aussi en flèche sur ce terrain. Et le succès rencontré par les services de vidéo à la demande comme Netflix ne devrait faire que renforcer cette croissance. Tout confondu, la vidéo représentera 80% du trafic mondial en 2019, contre 67% aujourd’hui. «Ce phénomène pourrait se traduire par une croissance encore plus significative de la virtualisation des réseaux et de l’exploitation d’Internet pour la transmission de vidéos», explique Cisco.
Les opérateurs télécoms devront s’adapter
D’autres secteurs, comme les jeux (téléchargement, stockage des données…), la musique en ligne (qui concernera 500 millions d’utilisateurs supplémentaires dans les prochaines années) ou la visioconférence (plus de 140 millions d’utilisateurs supplémentaires) impacteront aussi la croissance du trafic.
Non sans conséquence : «les opérateurs devront adapter leurs réseaux pour prendre en charge l’afflux de terminaux sophistiqués (tablettes, smartphones, téléviseurs Ultra-HD connectés, les connexions M2M et les dispositifs intelligents portables», précise l’étude. Aussi, des systèmes d’authentification seront requis afin d’assurer la sécurité des réseaux.
A travers une étude intitulée “Comment tirer avantage de la bonne réputation d’un PDG à l’ère digitale”, l’agence de communication Weber Shandwick et le cabinet KRC Research se sont penchés sur l’importance de la réputation digitale d’un dirigeant d’entreprise auprès de 1700 cadres supérieurs répartis dans 19 pays (Europe, Amérique du Nord, Asie Pacifique et Amérique Latine).
Le SNPTV vient de confirmer ce que beaucoup pensaient déjà :les communicants français ne sont pas des gens normaux.
C’est désormais prouvé avec une étude à l’appui, les personnes travaillant en agence de communication, en agence média, dans des régies publicitaires ou bien chez l’annonceur, ne sont pas comme les autres. A travers une étude menée auprès de 1.000 français et de 400 publicitaires, le Syndicat National de la Publicité Télévisée nous démontre qu’ils sont vraiment différents du reste de la population.
Découvrez ci-dessous en chiffres et en images tout ce qui fait la singularité des publicitaires français, face aux « gens normaux » : tant par leur rythme ou leur style de vie, que par leur interactions sociales, leur consommation média ou bien encore leur utilisation des médias.
Les rythme de vie des communicants
• Les publicitaires se lèvent tard
55% des gens de com se lèvent après 7h, quand 57% des gens normaux se lèvent avant 7h
• Les publicitaires prennent moins la voiture
30% des gens de com prennent la voiture pour aller au travail, contre 73% des gens normaux
• Les publicitaires ont des journées marathon
31% des gens de com courent toute la journée d’un rendez-vous à l’autre, contre 10% des gens normaux
• Les publicitaires dinent tard
32% des gens de com dînent après 21h en semaine, contre 6% des gens normaux
• Les publicitaires sortent beaucoup
57% des gens de com sortent au moins un soir par semaine, contre 29% des gens normaux
• Les publicitaires partent en vacances
4% des gens de com ayant pris des vacances l’été dernier sont restés à domicile, contre 25% des gens normaux
• Les publicitaires font des déjeuners professionnels
32% des gens de com ont un déjeuner pro au moins une fois par semaine, contre 5% des gens normaux actifs
• Les publicitaires font beaucoup les courses
37% des gens de com font leurs courses plusieurs fois par semaine, contre 28% des gens normaux
• Les publicitaires mettent du temps pour aller au travail
36% des gens de com ont un trajet (A-R) de plus d’1h pour aller au travail, contre 19% des gens normaux actifs
• Les publicitaires ont moins de voitures
77% des gens de com possèdent une voiture, contre 90% des gens normaux
• Les publicitaires ne font pas de covoiturage
9% des gens de com utilisent le covoiturage, contre 20% des gens normaux
Le style de vie et les interactions sociales des communicants
• Les publicitaires sont parisiens
79% des gens de com habitent en région parisienne, contre 19% des gens normaux
• Les publicitaires font leur courses en ligne
19% des gens de com font leurs courses alimentaires sur Internet, contre 6% des gens normaux
• Les publicitaires font des soirées entre collègues
51% des gens de com passent des soirées dans le cadre professionnel, contre 7% des gens normaux
• Les publicitaires mangent japonais
55% des gens de com ont récemment fréquenté un restaurant japonais, contre 12% des gens normaux
• Les publicitaires font peu de sorties en famille
30% des gens de com font des sorties en famille, contre 52% des gens normaux
• Les publicitaires suivent les tendances de la mode
33% des gens de com considèrent important de suivre les tendances de la mode, contre 25% des gens normaux
• Les publicitaires mangent des plats surgelés / préparés
90% des gens de com utilisent des plats surgelés ou préparés pour leurs repas, contre 77% des gens normaux
• Les publicitaires ont peu d’animaux de compagnie
26% des gens de com ont un animal de compagnie, contre 55% des gens normaux
• Les publicitaires habitent plutôt en appartement
68% des gens de com logent en appartement, contre 37% des gens normaux
La consommation média et les usages médias des communicants
• Les publicitaires sont abonnés à des chaînes privées
77% des gens de com sont abonnés à une offre de TV payante élargie, contre 57% des gens normaux
• Les publicitaires sont équipés de tablettes
81% des gens de com ont une tablette, contre 48% des gens normaux
• Les publicitaires sont hyper connectés sur les médias sociaux
33% des gens de com sont présents et actifs sur au moins 4 réseaux sociaux, contre 8% des gens normaux
• Les publicitaires sont très présents sur Twitter
39% des gens de com utilisent Twitter, contre 14% des gens normaux
• Les publicitaires utilisent Instagram
24% des gens de com’ ont utilisé Instagram lors du dernier mois, contre 8% des gens normaux
• Les publicitaires sont très actifs sur LinkedIn, Viadeo…
77% des gens de com utilisent un réseau social professionnel, contre 10% des gens normaux
• Les publicitaires s’informent via les réseaux sociaux
88% des gens de com consultent les informations via les réseaux sociaux, contre 33% des gens normaux
• Les publicitaires font plusieurs choses devant la télévision
43% des gens de com font du multitasking devant la TV, contre 20% des gens normaux
• Les publicitaires considèrent que les selfies sont has been
27% des gens de com considèrent que la mode du selfie est déjà dépassée, contre 12% des gens normaux