E-pub : le digital est désormais le 2e media en France, devant la presse – JDN Média

En 2013, les experts de l’Observatoire de l’e-pub, réalisé par le SRI et PWC, en partenariat avec l’Udecam appelait à une augmentation des investissements médias sur le digital, pour que la part de ce dernier dans le mix média avoisine les 25%. Ils ont été entendus ! Le marché de la publicité digitale (seul media dynamique) a connu une croissance de 4% en 2014 pour représenter près de 2,9 milliards d’euros d’investissements sur l’année. Une performance qui lui permet de peser pour 25% des investissements publicitaires totaux dans l’Hexagone et ravir au secteur de la presse sa place de 2ème support ! « Ce nouveau statut confirme que digital n’est plus un média à part mais bien qu’il est complémentaire d’autres canaux historiques tels que la TV ou la presse », se réjouit Arthur Millet, président du SRI.

Mais du retard vis à vis du Royaume-Uni, de l’Allemagne et… de l’Italie

Un bémol toutefois : la France reste à la traîne par rapport à des pays tels que le Royaume-Uni et l’Allemagne où le digital pèse pour respectivement 35 et 30%  des investissements. Si cela n’a rien d’étonnant au vue de la maturité de ces deux pays, il est toutefois surprenant de noter que la France reste également derrière l’Italie sur la question. Le poids du digital y est ainsi de 26%. La preuve que certains annonceurs sont encore en retard dans la transformation digitale de leur business, selon Arthur Millet qui parle d’une « logique de poke sur les différents supports ». « Les annonceurs testent les innovations sans toutefois trop s’engager en termes de moyens ». Même constat pour Jean-Luc Chétrit qui appelle à « la vigilance du marché sur ce retard évident ». Même si « certains annonceurs, comme ceux des biens de grande consommation, sont à la traîne car ils ont jusque là eu du mal à trouver la présence numérique appropriée ». Des annonceurs qui, pour certains, ambitionnent d’investir 50% de leurs budget média en digital d’ici 2020, comme le rappelle le nouveau président de l’Udecam. De quoi espérer que le retard sera comblé.

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La France encore à la traîne sur le terrain du digital. © Observatoire de l’e-pub

Dans le prolongement de l’exercice 2013, le marché est plus que jamais divisé entre segments dynamiques d’une part : le search (+4%), les OPS (+3%), la vidéo (+65%), le mobile et secteurs qui se contractent d’autre part : l’affiliation (-5%), les comparateurs de prix (-10%) et l’emailing (-3%). Porté par le mobile (croissance en volume qui témoigne du basculement des audiences et revalorisation des CPC), le search reste une valeur sûre pour des annonceurs plus que jamais ROIste et le levier roi (60% des investissements) dans une industrie gouvernée par la logique d’attribution au last-clic. C’est précisément cette dernière qui fait du tort à l’affiliation, toujours pénalisée par des logiques de déduplication qui arbitrent souvent en faveur du dernier clic. Les comparateurs (affaiblis par les changements d’algorithme de Google) et l’emailing (que le DCO ne suffit pas à relancer) souffrent aussi.

 

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Evolution du mix media digital en France. © Observatoire de l’e-pub

E-pub : le digital devient le 2e media en France, devant la presse – JDN Média.

Milka Biscuit Saga, L’appli qui se partage – La Réclame

Comment faire de ses clients des prescripteurs ? Avec une app réellement multijoueurs.

L’une des difficultés pour une app de marque est de donner envie au public de l’installer sur smartphone. Pour la sortie de Milka Biscuit Saga, la marque de chocolat a eu l’idée d’un jeu qui permet à plusieurs personnes de jouer lorsque leurs smartphones sont à proximité. La spécificité étant que chacun des 9 jeux dépend du nombre de participants présents. Pour tous les tester, il faudra donc convaincre vos amis et proches d’installer Milka Biscuit Saga ! Pour cela, rendez-vous sur sur iTunes ou l’Android Market.

A la clé quelques lots à gagner, ce qui permet à Milka d’associer innovation, promotion et partage. Des valeurs propres à cette marque qui ne cesse de se réinventer.

App Milka : Milka Biscuit Saga.

Notre offre E-réputation

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Digilowcost a développé pour vous un outil qui vous permet de maîtriser votre E-réputation. Cet outil ultra performant vous permettra de mesurer, surveiller et protéger votre E-réputation. L’idée est d’avoir un contrôle optimal de votre réputation digitale.

Cet outil vous permettra non seulement d’obtenir les résultats de votre page Google mais aussi d’être alerté en cas de potentielle menace.

Enfin grâce à la Forteresse Digitale vous pourrez vous protéger de tout résultat négatif et choisir les résultats à afficher sur votre page. Vous pourrez donc suivre toute l’évolution de votre score E-réputation en quelques clics.

Alors prenez vite le contrôle de votre E-réputation en testant gratuitement notre outil sur : http://reputationvip.digilowcost.com/fr/

Le futur des achats en ligne – Siècle Digital

Ce n’est plus un secret, le nombre d’acheteurs en ligne ne cesse de croître. En 2013, les français étaient les 3èmes plus gros acheteurs en ligne en Europe. Les prévisions pour 2015 confirment que cette progression devrait se maintenir.
Cependant, le temps où les français effectueront l’intégralité de leurs achats en ligne n’est pas encore venu. Une étude sur l’e-commerce en France, publiée en Novembre 2014 par Pwc, montre que la fréquence d’achat en ligne des web-acheteurs français reste faible par rapport à d’autres pays.

Les freins à l’achat en ligne

Qu’est ce qui freine les internautes à acheter en ligne ?
Premièrement, de nombreux internautes ne veulent pas donner leurs coordonnées bancaires sur Internet, par crainte d’éventuel vol du numéro de carte bleue. La sécurité des paiements est donc un élément primordial.
L’impossibilité d’essayer un produit avant de l’acheter est un second frein. Voir et tenir le produit dans ses mains avant de l’acheter. Les internautes veulent être rassurés à propos de leur achat en ligne. En plus de cela, les modalités de remboursement ou d’échange ne sont pas toujours idéales et rendent les acheteurs hésitants.
Les frais de transport trop élevés constituent un autre frein. 44% des e-consommateurs sont dissuadés par les frais de livraison trop élevés et abandonnent leur panier.

Comment les enseignes font elles face à ces problèmes ?

Améliorer l’expérience des acheteurs en ligne

À travers la technologie, les marques tentent de reproduire une expérience similaire à celle des magasins. Voici quelques exemples d’efforts effectués par certaines marques afin d’offrir une meilleure expérience à leurs acheteurs en ligne.

La réalité augmentée

Certaines enseignes ont bien compris l’importance de rendre l’achat en ligne aussi visuelle que possible. Ikea a créé un catalogue interactif qui permet à l’acheteur de visualiser les meubles qu’il veut acheter directement chez lui !

Les cabines d’essayages virtuelles

Comme mentionné ci-dessus, l’impossibilité d’essayer un vêtement avant de l’acheter peut constituer un frein pour les e-commerçants. Les boutiques de mode en ligne affichent le produit sous différents angles, ce qui permet de voir comment le vêtement tombe. Le zoom sur image est aussi un élément essentiel et aide le client à visualiser le produit.
Superdry a aussi créé des cabines d’essayage virtuelles pour chaque article. Le consommateur peut ainsi regarder une vidéo et voir l’article porté.

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Les recherches prouvent également qu’avec l’utilisation des cabines d’essayages virtuelles, les retours de produits diminuent.

Les services d’essais

Le joaillier Ocappi a lancé son service d’essai à domicile et permet aux acheteurs de recevoir des répliques de leurs bagues de fiançailles gratuitement. Les clients peuvent choisir jusqu’à six modèles de bagues et disposent de plusieurs jours pour faire leur choix. Le service comprend aussi l’expédition de retour.

Les applications

À Tokyo, Parco a inventé un concept original. Rien ne peut être acheté dans le magasin. Après avoir vu l’article en magasin, les consommateurs achètent celui-ci sur l’application appelée ‘Wear‘.

L’iBeacon

L’iBeacon connaît un succès grandissant depuis plusieurs mois. Ce petit boitier Bluetooth permet de recevoir des informations et promotions sur votre téléphone lorsque vous passez à proximité d’un magasin. Les aéroports, gares, musées se montrent également très intéressés par cette nouvelle technologie qui pourrait permettre de rendre l’expérience de l’utilisateur plus facile et agréable.

achats en ligne ibecon

Les marques s’efforcent donc de rendre leurs sites plus attractifs mais surtout plus visuels afin d’améliorer l’expérience du consommateur en ligne. Les images et les vidéos jouent un rôle clé et permettent à l’utilisateur de mieux évaluer le produit. En 2015, les marques ont donc grand intérêt à se concentrer sur ces aspects et d’être créatives afin d’obtenir la clé du succès.

Le futur des achats en ligne.

Sony crée la première boutique sous-marine – La Réclame

Mais jusqu’où ira Sony dans ses démonstrations waterproof ?

C’est sur une île privée de Dubaï que Sony a ouvert le tout premier XPERIA Aquatech avec l’agence FP7. Une boutique digne d’Atlantide, à découvrir au terme d’un parcours en plongée sous-marine. Cette bulle d’air immergée à 4 mètres de profondeur qui prend la forme d’une méduse, est une nouvelle prouesse de  pour vanter les qualités de son smartphone Xperia Z3 Dual.

Dommage que la boutique se soit avérée au final éphémère, en n’étant ouverte que 3 jours et pour quelques invités. L’inscrire dans un projet retail plutôt qu’événementiel aurait été intéressant à observer dans la durée.

Sony crée la première boutique sous-marine.

Vidéos : Facebook veut concurrencer Youtube !

Selon le Siècle Digital, depuis un an, Facebook a considérablement accéléré sa stratégie de conquête du média vidéo sur sa plateforme. Après l’ajout de la fonctionnalité de lecture automatique des vidéos dans le fil d’actus en décembre 2013 et l’ajout d’un compteur de vues sur celles-ci en septembre 2014, le 1er réseau social au monde vient de lancer les chaînes vidéos pour les Facebook Pages !

Déjà actives sur certaines pages comme celle du New-York Times ou encore ABC News, ces nouvelles chaînes permettent, de la même façon que sur des chaînes Youtube, d’ajouter une vidéo en « Vedette » et de créer des playlists thématiques, tout en disposant d’une galerie vidéos complète et beaucoup plus esthétique.

La chaîne vidéo Facebook du New-York Times

Onglet vidéos sur les pages Facebook

Qu’est-ce qui va changer ?

À l’origine, les marques disposaient automatiquement d’un onglet « Vidéos » sur leur page Facebook où était rassemblé en un seul et même endroit l’ensemble de leur contenu de ce type.
Après l’activation de cette nouvelle fonctionnalité, qui se fera automatiquement pour tous dans les semaines à venir, les pages disposeront de véritables chaînes vidéos qu’elles pourront organiser selon leur actualité et le contenu qu’elles souhaitent mettre en avant.
Pour donner encore plus de poids à cette fonctionnalité, la vidéo en « Vedette » d’une page Facebook s’affichera également dans le journal de celle-ci, dans la partie « à propos ».

Vidéo mise en avant dans le journal des pages Facebook

Où publier mes vidéos ? Sur Facebook ou sur Youtube ?

Tout dépend de votre objectif et de ce que vous souhaitez faire de ces vidéos.
Youtube offre un excellent référencement de vos contenus vidéos sur les moteurs de recherches, Google en tête, et reste la plateforme d’hébergement de vidéos la plus populaire, dotée de fonctions d’édition exclusive. Publier votre vidéo sur Youtube, c’est un peu investir sur le long terme en quelque sorte.

Sur Facebook, vos contenus publiés ont une durée de vie plus limitée. Ils seront diffusés à vos abonnés sur une courte période. Charge à vous ensuite de les repartager ultérieurement ou, pourquoi pas, de les rendre un peu plus visibles en passant par la case « médiatisation ».

Mais le contenu vidéo tel qu’il se présente aujourd’hui sur Facebook, avec la lecture automatique et désormais les chaînes, offre une réelle alternative dans le type de contenu proposé par les pages et de ne plus poster uniquement des images, connues pour obtenir un meilleur engagement.
Il faut également noter que la lecture automatique vous assure quelques secondes de visionnage par lesquelles tout l’enjeu sera de capter l’attention pour que ces « vues » se fassent dans leur intégralité. Plus que jamais, publier un contenu de qualité est indispensable ! 

Pour répondre à la question : une stratégie de publication multi-plateforme n’est pas à exclure si votre contenu est suffisamment intéressant et pertinent pour votre communauté.

Miser sur la vidéo : une stratégie payante ! 

Depuis que Facebook s’intéresse de près à la vidéo, les résultats sont au rendez-vous et conforte sa stratégie : le réseau social a enregistré +50% de vues sur les contenus vidéos entre mai et juillet 2014 et a annoncé avoir dépassé le milliard de vues quotidiennes en septembre dernier ! A titre de comparaison, et bien qu’il n’ait pas publié de statistique similaire depuis un an, Youtube annonçait en 2013 avoir dépassé les 4 milliards de vues par jour !

« Payante » ? C’est le cas de le dire ! Derrière ces évolutions, une stratégie de monétisation existe !
Ce fut d’ailleurs récemment l’objet d’un test grandeur nature sur le réseau social entre la NFL et Verizon. En effet, la ligue US de Football Américain a été accompagnée par le géant de Palo Alto pour diffuser des séquences de matchs sponsorisées par Verizon, entreprise américaine de télécommunications, qui était visible durant la lecture de la vidéo et en post-roll, autrement dit via une annonce publicitaire en fin de vidéo.

La vidéo de la NFL sponsorisée par Verizon sur Facebook

En d’autres termes, Facebook étudie le moyen de concurrencer Youtube sur l’achat d’espaces publicitaires dans ses contenus vidéos.

Vidéos : Facebook veut concurrencer Youtube !.