Vous y êtes déjà mais vous doutez de l’efficacité de votre stratégie ?
• Comment recruter des fans qui deviendront des clients ?
• Comment améliorer le bouche à oreille ?
• Comment vendre grâce à Facebook ?
• Comment améliorer sa e-réputation ?
A travers ce Webinar, nous étudierons ensemble les 5 règles d’or pour avoir une stratégie efficace sur ce réseau afin d’engager activement vos communautés quelque soit le secteur dans lequel vous évoluez.
Nous aborderons aussi comment obtenir de bonnes performances malgré le nouvel algorithme de Facebook.
Sur Facebook aujourd’hui, les réelles interactions entre utilisateurs ont en général lieu dans les groupes. Ces derniers sont en effet thématiques, gérés par des utilisateurs passionnés et exempts de toute pollution commerciale par les marques.
Facebook annonce ces derniers jours qu’il va enrichir le fonctionnement des groupes en fournissant aux administrateurs de meilleurs outils pour gérer leur groupe. Pour ainsi dire, pour professionnaliser la gestion des groupes.
C’est une démarche intéressante qu’il faut relever à plusieurs égards :
Les groupes sont un des derniers espaces que Facebook ne monétise pas
La notion de reach n’est pas aussi drastique que sur les pages Facebook
C’est un des derniers lieux d’échanges réels entre internautes sur le réseau
On peut donc en déduire une volonté de Facebook de favoriser les échanges pour ainsi conserver son audience. Après avoir annoncé une évolution du feed visant à mieux mettre en avant les publications des amis au détriment des pages marques, cette annonce est parfaitement cohérente.
Au programme : un menu d’aide dédié pour les admins de groupe Facebook, afin d’avoir accès à des ressources et des réponses de Facebook sous 1 jour ouvré en cas de question. Et Facebook fournira aussi des tutoriels, des études de cas et conseils pour apprendre à modérer son groupe et en faire un espace sain et dynamique. Les administrateurs et modérateurs de groupes pourront également mieux collaborer entre eux en remplissant un journal d’activité d’administration. On pourrait presque apparenter cela à un CRM pour les admins de groupe.
Que penser de tout cela d’un point de vue marketing et communication digitale ? Que les groupes Facebook sont réellement un support à considérer ! Quand on connait les efforts nécessaires pour faire émerger une page marque, en terme de contenus ou bien de médiatisation, le fait de pouvoir accéder à des communautés très ciblées et engagées sans avoir à sponsoriser est un atout indéniable. Sauf que les groupes ne sont accessibles qu’aux personnes, munies de profils personnels. Et que la pub n’y a pas le droit de cité ! Donc, pour tirer profit des groupes, il va falloir jouer le jeu, participer à la communauté, donner du contenu, pour éventuellement arriver à faire passer son message et se faire connaître. Mais finalement, n’est-ce pas là un retour aux sources du community management ?
Instagram teste un nouvel effet vidéo populaire pour ses Stories : le stop-motion. Le but est de combiner plusieurs photos dans une vidéo.
Instagram est entrain de tester un nouvel effet sur ses stories, le stop-motion. L’objectif est de créer une vidéo avec plusieurs photos, cela donnerait un effet de mouvement à toutes les photos, et la sensation que les objets bougent également ! On voit que Instagram essaye toujours de se renouveler, pour toujours surprendre ses utilisateurs.
Que pensez-vous de cette fonctionnalité en phase de test ? Utile ?
En mars 2018, 52,7 millions d’individus se sont connectés au moins une fois à Internet, soit 84,1% de la population française de 2 ans et plus, selon l’Audience Internet Global de Médiamétrie. En moyenne, chaque jour, 43,1 millions d’internautes se sont connectés à Internet, soit 68,8 % de la population française. Parmi les internautes quotidiens, 11,8% utilisent les trois écrans (ordinateur, mobile, tablette) au cours de la journée. De plus, en six mois, le temps quotidien passé par chaque Français de 2 ans et plus sur Internet depuis un téléphone mobile s’est sensiblement accru sur la période. Ainsi, de 35 minutes en octobre 2017, est-il passé à 44 minutes en mars 2018 (+26%). Une tendance notamment expliqué par le nombre de mobinautes connectés chaque jour qui est en progression de +8%. La croissance est également remarquable chez les 15-24 ans, relève Médiamétrie. Ils surfaient chacun en moyenne 63 minutes par jour sur mobile en octobre 2017 vs 73 minutes en mars 2018, soit une augmentation de +15%. Le nombre de jeunes utilisant exclusivement leur mobile au quotidien pour se connecter à Internet atteint désormais 3,3 millions d’individus, soit presque la moitié (48%) des internautes âgés de 15 à 24 ans.
Les réseaux sociaux représentent un enjeu marketing pour les entreprises. Son utilisation pour l’acquisition ou la fidélisation de client peut s’avérer utile si la stratégie mise en place est optimisée. Il faut être en mesure de cibler de façon optimale son audience dans le but de mettre au point des campagnes efficaces, d’être visible et de créer de l’engagement.
Ce nouveau mode de communication représente un moyen d’interagir avec sa communauté, de générer du trafic et, à terme d’accroître ses revenus. Les internautes suivent les marques sur les réseaux sociaux et y attendent des informations exclusives. Cet écosystème participe à l’accélération des transferts de l’information. C’est pourquoi, les entreprises ont besoin de visibilité.
En effet, elles doivent s’adapter et s’appuyer sur des communautés externes. La communication numérique est un réel facteur d’opportunités !
Pourquoi utiliser les réseaux sociaux ?
Sur les réseaux, il faut savoir maîtriser son image de marque pour que les consommateurs deviennent des internautes engagés aux côtés de la marque. Ils permettent de fédérer une communauté autour d’une marque, d’une solution…, attirer des nouveaux clients, fidéliser la clientèle, renforcer la notoriété de la marque.
Comment utiliser efficacement les réseaux sociaux dans sa stratégie digitale ?
Pour utiliser efficacement les réseaux sociaux il est nécessaire de : connaître son marché cible, prendre le temps de rédiger ses contenus, garder une image cohérente.
Il faut être en mesure de générer de l’engagement sur les réseaux sociaux notamment avec le partage de contenu.
Olivier Robert est le Directeur Général Associé de BIG SUCCESS en charge de la partie digitale spécialisée en publicité digitale (RTB, Email Biding, SEO, SEA), réseaux sociaux, veille et E-reputation.
Il a occupé des postes de directeur commercial au sein du groupe H3S pendant 10 ans et de Directeur Général de la Web Agency ICARE DIAMOND, agence spécialisée dans la création et la refonte de sites et le marketing digital.
Cet expert en réseaux sociaux a également été Directeur Général de 24H00 agence de E-marketing et Social Marketing (pour Universal Music, IKKS, Zadig & Voltaire, Lacoste et 3Suisses …)
Retrouvez Olivier Robert les 5 juin à Lille et 12 juin à Paris pour une formation sur les réseaux sociaux !
Avec la nouvelle mise à jour de l’algorithme de Facebook, beaucoup se demandent si cela vaut encore la peine d’avoir une Page Facebook. Après tout, la portée organique moyenne d’une Page Facebook est bien en dessous des 5%. Cette chute du reach organique n’est pas récente du tout quand on y pense. En fait, elle dure depuis des années…
Depuis 2012 (il y a 6 ans déjà), la portée organique des Pages est en chute libre. Constatez par vous-même :
Facebook vous a incité à créer une Page Entreprise et la faire croitre avec le temps dans le but de « créer une communauté engagée ».
Mais ces derniers mois, Facebook a décidé de prioriser (encore plus) les publications des profils au détriment de celles des Pages.
C’est évident, Facebook « oblige » peu à peu les marques à payer pour être visibles.
Si vous avez une Page Facebook depuis plusieurs années, vous devez l’avoir mauvaise.
Heureusement, il existe (encore) des stratégies pour obtenir une bonne portée organique (bien supérieure à 10%).
Ces stratégies ne sont pas encore toutes très connues.
Certaines demandent de l’effort et d’autres demandent de sortir de votre zone de confort, mais je peux vous assurer qu’elles font la différence à moyen et long terme.
1) CRÉER UNE VIDÉO À PARTIR D’UN ARTICLE DE BLOG
Il fut un temps où vous pouviez partager un article de blog (lien dans Facebook) et obtenir des dizaines de clics gratuitement.
Maintenant ça ne marche plus vraiment. Vous êtes obligé de sponsoriser ce genre de publications pour obtenir un nombre correct de clics.
Par contre, j’ai constaté que ce qui marche actuellement est de reprendre les points clés d’un article de blog et d’en faire une vidéo animée :
Teaser de l’article ;
Vidéo un peu plus longue avec des détails.
Le teaser consiste à reprendre les différentes parties de votre article et à en faire une vidéo animée avec des images ou clips vidéos.
Le but est d’inciter la personne à cliquer sur le lien dans la description (ou en commentaire – à vous de voir).
C’est ce que je fais de plus en plus régulièrement sur ma Page Facebook plutôt que de simplement partager le lien de mon article.
Vous pouvez ensuite mettre un lien vers l’article de votre blog dans les commentaires ou la description.
C’est une façon plus intéressante de faire que de publier simplement le lien de votre article.
En plus, le seul fait de visionner la vidéo apprend quelque chose à vos fans. Dans tous les cas, ils sont gagnants !
L’autre façon de faire est de reprendre le contenu de l’article en condensé et le présenter dans une vidéo composée essentiellement de texte, comme le fait Buffer.
La vidéo sera plus longue et cette fois-ci, vous n’aurez même pas besoin de mettre un lien vers l’article.
Pour créer ce type de vidéo, je vous recommande 2 logiciels que j’ai testés et approuvés :
Je vous recommande un peu plus Animoto parce qu’il est aussi utile pour créer des vidéos de promotion pour les publicités sociales.
Quelques conseils si vous décidez de créer ce type de vidéos :
Faites des vidéos courtes (max. 60 secondes)
Attirez l’attention dès les 3 premières secondes
Passez directement au message et tournez votre vidéo comme une petite histoire (quand vous le pouvez)
Privilégiez le format carré. Le format carré prend 78% de place en plus dans le fil d’actualités sur mobile que sur bureau. Vous avez donc toute l’attention de la personne
2) AFFINEZ L’AUDIENCE POTENTIELLE DE VOS PUBLICATIONS
Depuis 2015, Facebook offre la possibilité aux entreprises de cibler leurs publications organiques.
Cela vous permet de restreindre votre audience et cibler les bonnes personnes, même pour une publication organique.
Facebook a promis un meilleur reach aux entreprises qui utilisent cette fonctionnalité, donc autant la tester.
Au départ, la fonctionnalité n’était disponible que pour les Pages avec plus de 5000 fans, mais depuis cela a changé depuis.
Vous pouvez l’activer en allant dans les paramètres de votre Page.
Voici comment faire.
Tout d’abord, allez dans les paramètres de votre Page et cherchez l’option « Audience du fil d’actualité et visibilité des publications ».
Cliquez sur « modifier » et activez simplement la fonctionnalité en cochant la case.
Ensuite, il ne vous reste plus qu’à cibler vos prochaines publications.
Si vous n’êtes pas convaincu, repensez à la publicité Facebook qui vous permet d’obtenir un ciblage ultra-précis. Seulement vous devez payer pour profiter de ce ciblage.
Ici c’est gratuit.
De plus, pensez un peu à vos fans. Ils ne sont pas tous identiques comme des robots !
Ils n’ont pas tous les mêmes centres d’intérêt.
Je vous donne un exemple.
Vous commercialisez des vêtements pour hommes et femmes.
Il est logique que vous n’alliez pas vous adresser de la même manière aux hommes qu’aux femmes.
Si vous publiez un post Facebook qui ne concerne que les hommes, vous vous assurez que seuls les hommes verront effectivement cette publication dans leur fil d’actualités.
Vous augmentez vos changes d’obtenir un maximum d’engagement organique puisque la pertinence de cette publication sera plus élevée (vous ne ciblez que les hommes).
Les options de segmentation que vous offre Facebook sont assez intéressantes :
Age ;
Sexe ;
Région ;
Situation amoureuse ;
Langue ;
Niveau d’éducation ;
Centres d’intérêt.
Sur ce dernier point, on pourrait penser qu’un blog comme Webmarketing & Co’m qui traite de plusieurs sujets (SEO, réseaux sociaux, ecommerce, blogging, growth hacking, …) aurait tout à gagner d’adapter le ciblage de ses publications organiques.
Par exemple, en ciblant uniquement les personnes qui sont intéressées par le SEO, quand un nouvel article sur le sujet est partagé sur la Page.
3) CRÉER UNE ÉMISSION LIVE
Beaucoup d’entreprises et médias semblent obtenir du succès avec le live Facebook.
Selon certaines sources, les vidéos Live sont regardées 3x plus longtemps que les vidéos pré-enregistrées.
Les lives génèrent 10x plus de commentaires que les vidéos pré-enregistrées.
De plus, Mark Zuckerberg nous a bien prévenu il y a un mois en annonçant la mise à jour de l’algorithme :
Ce sont les publications qui génèrent des commentaires longs et pensées qui se verront conférer un boost organique.
Créer une émission Live est donc une solution à prendre en compte pour faire passer l’engagement de votre Page à un tout autre niveau.
Catherine Daar fait ça très bien avec son émission hebdomadaire où elle commente l’actualité du digital.
Vous le savez aussi bien que moi, le digital, ça change tout le temps, toutes les semaines !
Pour que votre Live soit une réussite, vous devez trouver un sujet qui intéresse votre audience(pourquoi ne pas leur demander au travers d’un sondage ?) et trouver le bon moment (Quel jour ? Quelle heure ?).
Retrouvez d’autres idées pour vos Lives Facebook dans cet article de mon blog qui vous explique comment animer une Page Facebook.
4) CRÉER UNE VIDÉO « VOIR LA PAGE EN PREMIER »
Avec la nouvelle mise à jour de l’algorithme de Facebook annoncée fin janvier, les gros noms de l’industrie (Hubspot, Hootsuite, etc.) ont suggéré une stratégie intéressante pour s’assurer de rester visible.
Demander aux fans d’une Page de sélectionner l’option « voir en premier » dans le fil d’actualités.
Vous ne le saviez peut-être pas, mais Facebook vous permet de sélectionner les Pages pour lesquelles vous voulez voir leur contenu nouveau en premier dans votre fil d’actualités.
J’ai entendu dire que l’on pouvait faire ça seulement pour 5 pages uniquement, mais je n’ai pas pu faire la vérification.
Peu importe, Eurosport a très bien appliqué ce conseil en épinglant cette publication tout en haut de leur journal.
Sur ma Page, j’ai fait encore mieux.
J’ai créé une vidéo qui explique pas à pas comment activer cette fonctionnalité !
Bien évidemment, vous pouvez sponsoriser cette vidéo aux fans de votre Page et exclure de votre ciblage les personnes qui ont déjà vu la vidéo jusqu’au bout.
En quelques clics, c’est fait.
Boostez cette même publication une fois par semaine vers les fans de votre Page.
Donnez toujours une bonne raison à vos fans d’activer cette option, cela pourrait être pour rester au courant de :
Vos actualités
Vos conseils hebdomadaires
Vos promotions
Etc.
5 solutions innovantes pour (re)booster votre reach organique sur Facebook CLICK TO TWEET
5) BOOSTER VOS MEILLEURES PUBLICATIONS
Mon dernier conseil est de booster vos meilleures publications.
Facebook devient peu à peu une plateforme payante pour les entreprises.
On ne va pas se mentir.
Les stratégies que je vous ai présentées en premier sont intéressantes pour tirer parti du « Facebook organique », mais actuellement il n’y a rien de mieux que le boosteur de publications.
La première raison qui me pousse à l’affirmer haut et fort est simplement que Facebook met plus en avant les Pages qui dépensent de l’argent en publicité !
Oui, vous avez bien lu.
Booster vos publications montre à Facebook votre sérieux en tant qu’entreprise et vous serez récompensé par une meilleure portée organique.
Ce n’est pas la seule raison qui me pousse à vous conseiller de booster vos publications.
En boostant vos meilleures publications, vous obtiendrez encore plus d’interactions sur vos publications existantes.
Bonne nouvelle, l’algorithme de Facebook regarde encore et toujours les interactions précédentes avec vos fans pour montrer vos prochaines publications dans leur fil d’actualités.
Maintenant, vous vous demandez peut-être comment booster une publication ET quel ciblage choisir ?
Pour booster une publication, c’est assez simple.
Cliquez sur le bouton « booster la publication » juste en dessous d’une publication.
Passons au ciblage. Soyez très attentif sur ce point parce que votre ciblage a une influence direct sur le coût de vos publicités Facebook.
Privilégiez une audience « réchauffée » pour avoir un coût moins élevé par engagement sur la publication, je vous recommande ces 2 audiences :
Les fans de votre Page : pour les engager encore plus !
Les personnes qui ont interagi avec votre Page, mais ne sont pas encore devenu fans de votre Page. Si elles ont interagi une fois, il y a de fortes chances qu’elles interagissent une seconde fois.
Pour créer la deuxième audience, rendez-vous dans le gestionnaire de publicités et choisissez l’option « créer une audience » et ensuite appuyez sur « audience personnalisée ».
Après avoir cliqué sur « créer une audience personnalisée », cliquez sur « Interactions » et enfin « Page Facebook ».
De cette façon, vous pourrez créer une audience réunissant toutes les personnes qui ont interagi avec votre Page Facebook (vous choisissez vous-même la durée).
Il vous suffira alors d’utiliser l’audience personnalisée que vous venez de créer dans l’audience sélectionnée pour booster votre publication.
Quelques conseils si vous décidez de booster vos publications :
1) Booster seulement les meilleures publications. J’entends par là que vous n’allez pas payer pour une publication qui n’a eu aucun succès en organique. Elle n’en aura pas beaucoup plus même si vous payez !
2) Inviter les personnes qui ont interagi avec votre publication boostée. Pour ce faire, cliquez sur le lien en dessous de la publication pour afficher les profils des personnes qui ont aimé votre publication.
Vous verrez ensuite cette fenêtre apparaitre.
Cliquez sur « inviter » pour que ces personnes aiment votre Page.
De mon expérience, 1 personne sur 5 répondra à cette invitation. Et plus vous serez rapide, meilleurs seront vos résultats !
3) Allouez votre budget en fonction de la taille des audiences. Plus une audience est grande en taille, plus le budget que vous devrez allouer devra être important.
CONCLUSION
Il y a plus de 1,4 milliard d’utilisateurs journaliers actifs sur Facebook. Chaque minute, des milliers de contenus sont publiés.
Il est normal que Facebook cherche à montrer des publications intéressantes et pertinentes pour ses utilisateurs.
Alors oui, c’est vrai :
Vos amis ont la priorité sur les marques ;
Facebook limite la portée des publications qui contiennent des liens ;
Facebook veut que vous publiiez plus de vidéos, et encore plus des Lives ;
Facebook vous « oblige » à payer pour atteindre vos précieux fans.
Ce sont juste les règles du jeu.
Acceptez-les si vous souhaitez toujours rester en course.
Publiez plus de vidéos en transformant vos articles de blog en mini-clips vidéo ou lancez votre propre émission Live pour suivre la tendance.
Affinez l’audience des publications qui ne seront pas pertinentes pour une partie des fans de votre Page.
N’hésitez pas à investir quelques euros pour booster les meilleures publications de votre Page.
Si vous souhaitez aller plus loin et apprendre les nouvelles règles du marketing Facebook, je vous invite à télécharger et lire mon guide gratuit sur le marketing Facebook.
Je vous explique dans les détails le fonctionnement du « nouvel » algorithme de Facebook (depuis la récente mise à jour) et je vous donne les stratégies à adopter pour rester visible sur le réseau social en 2018.
Médias exploités, investissements publicitaires, réseaux sociaux utilisés, outils déployés… Ubiq et le Club de la Franchise ont décortiqué la manière dont les distributeurs français employaient le digital et les médias sociaux.
Le digital est le seul média présent dans les stratégies de communication de la totalité des retailers en 2018 : il devance les opérations presse, affichage ou télévision. Parmi les médias digitaux, les réseaux sociaux sont les plus plébiscités et sont présents à 93% dans les stratégies de communication des retailers, contre 67% pour l’e-mailing, 61% pour le search ou 42% pour le display. Des résultats issus d’une enquête menée en février par la plateforme de social-to-store Ubiq en partenariat avec le Club de la Franchise auprès d’un panel de 40 grandes enseignes de distribution en France, que récapitule l’infographie ci-dessous.
Ce panorama met également en lumière combien les distributeurs accordent d’importance aux réseaux sociaux : 98% des répondants dédient une équipe au pilotage des contenus. Alors que les enquêtés estiment le niveau de maturité digitale des managers de leurs points de vente à 5,4/10, ils perçoivent leurs franchisés comme le principal axe de progression dans la transition digitale de leur enseigne.
Ainsi que l’explique Ubiq, les réseaux sociaux font non seulement partie intégrante de toute stratégie de communication et marketing des enseignes et des réseaux de franchise, avec des objectifs de conversion concrets, mais ils représentent aussi un véritable levier pour la communication au niveau local, dans la zone de chalandise de chacun des points de vente.
Le digital est un levier de compétitivité pour les entreprises. Évident pour certains. Encore à prouver pour d’autres. Porte-étendard de la transformation digitale, le cabinet de conseil en stratégie McKinsey tire les enseignements d’un accompagnement à long terme d’entreprises de tous secteurs, privés et publics, en France et à l’international. Dans un entretien, Romain Dequesne, Associate Partner au sein de l’entité digitale de McKinsey à Paris, partage 7 facteurs de réussite de la transformation digitale pour accélérer le mouvement en France.
Une digitalisation à deux vitesses
Smartphones chevillés au corps, les Français ont le réflexe du web pour s’informer et se divertir. « Il y a une explosion de l’utilisation du mobile que ce soit pour des besoins traditionnels tels que les emails ou pour interagir différemment. » Aujourd’hui, 80% des Français de plus de 12 ans utilisent Internet1.
Pourtant les entreprises françaises sont à la traîne. « En termes d’utilisation des technologies, les entreprises ne sont pas du tout au même niveau de maturité que les particuliers. » Le PIB digital de la France se situe à 5,5%, soit une fois et demie à deux fois inférieur aux pays les plus avancés (10,1% en Corée du Sud, 10% au Royaume-Uni, 9,2% en Chine, 8% aux États-Unis).1 La France n’exploite que 12% du potentiel digital de son économie. Pile « dans la moyenne européenne, mais un tiers en-dessous du maximum observé. » Les États-Unis dominent à 18%, suivis du Royaume-Uni (17%), des Pays-Bas (15%) et de la Suède (15%).1
Or, la maturité digitale des entreprises est largement corrélée à leur performance. Pour preuve, les entreprises européennes championnes du digital sont, en moyenne, 3 fois plus rentables que leurs homologues moins digitalisées et croissent 4,5 fois plus vite2.
7 enseignements de transformations digitales réussies
Le gisement de croissance dans le digital est réel. Selon McKinsey, entre 245 et 390 milliards d’euros pourraient s’ajouter à la richesse nationale à l’horizon 2025 (2 500 milliards d’euros pour l’Europe)1. Alors, comment enclencher la transformation digitale des entreprises françaises ? Comment libérer leur potentiel économique digital ? Par où commencer ? Voici 7 enseignements relevés par McKinsey lors de transformations digitales réussies :
#1. Se doter d’une vision sur-ambitieuse
Selon une étude McKinsey auprès de dirigeants d’entreprises, 28% des personnes interrogées voient le manque d’implication du leadership comme un frein majeur à la transformation digitale. Avoir un membre au comex dédié au digital permettrait « de porter la vision stratégique, de coordonner le plan de transformation digitale et de disposer de moyens financiers et humains pour infuser la transformation dans toutes les lignes métiers. Sans ce sponsor comex, c’est plus difficile d’avancer. »
Surtout, la vision ne doit pas être réaliste. Elle doit être « ambitieuse, voire sur-ambitieuse », pour donner un sens à la transformation et embarquer l’ensemble de l’organisation.
#2. Commencer la réflexion par les besoins clients
Livraison d’un frigo aux particuliers = une journée. Livraison de fournitures de bureau aux professionnels = deux semaines. Un exemple qui en dit long sur l’écart de service entre le B2C et le B2B. Pourtant le besoin client est le même. « Être proche de son client permet d’apprendre de chaque interaction, de tester des choses, de voir ce qui marche et d’identifier les tendances. Beaucoup d’acteurs du B2B commencent à prendre conscience de l’enjeu et du gisement de valeur que le digital peut représenter dans leurs activités. » Ainsi, déployer de nouvelles capacités analytiques peut générer, selon McKinsey, entre 5 à 10% de revenus supplémentaires, voire davantage en actionnant simultanément l’ensemble des leviers digitaux (machine learning, intelligence artificielle, analytics…).
#3. Acquérir de nouvelles compétences
« Préparer l’avenir passe indiscutablement par le recrutement de nouveaux talents. Les entreprises doivent pouvoir attirer les meilleurs profils. » Tout part de là, note Romain Dequesne. « Il faut plutôt privilégier un fit culturel et des compétences fonctionnelles qu’une connaissance pointue du secteur. Être dans la banque et embaucher quelqu’un des télécoms peut être bénéfique. » Autre avantage d’un recrutement de qualité : plus une entreprise attire des talents, plus elle arrive à se transformer et plus elle attire de nouveaux talents. Illustration même d’un cercle vertueux.
#4. Protéger les talents digitaux
Dans le monde, il manquerait plus de 250 000 data scientists pour combler la demande des entreprises. Pourtant, une fois embauchés, « 70% d’entre eux font du nettoyage et de l’architecture de données, ce qui n’est pas du tout la raison pour laquelle ils ont été embauchés. » Désintéressés par la mission, ils quittent le navire, et la question du recrutement revient.
« Ceux qui ont le mieux réussi l’intégration [de talents digitaux] l’ont fait avec une vraie humilité. » Ils ont tenu un discours cohérent et honnête sur l’acquisition de compétences. Plus encore, ils se sont donnés les moyens du changement avec une nouvelle structure, une nouvelle proposition de valeur et une nouvelle culture.
#5. Insuffler une culture de test & learn
« Si l’on doit échouer, échouons rapidement. » Ce changement de mentalité, aussi nécessaire soit-il, est long à s’installer en France. Pas facile de défier le statu quo, de dépasser le stade où l’on fait moultes études avant de se lancer ! Le conseil de Romain Dequesne : « permettre aux employés de tester, de suivre leur propre chemin et de se tromper au lieu de sur-bétonner avant d’innover. »
#6. Accélérer la prise de décision
C’est-à-dire prendre plus de décisions, plus petites et plus fréquemment. Romain Dequesne observe que certains clients sont passés d’un mode de décision très budgétaire (ex : un projet, un crédit sur 18 mois) à un relâchement progressif du budget (ex : un crédit sur 3 mois et, si les objectifs sont atteints, un renouvellement du budget sur 3 mois). « Mieux vaut faire plus petit avec quelque chose que l’on connaît mieux. Le business case sur 18 mois avec son lot d’hypothèses testées à chaque itération ne fonctionne plus dans une ère digitale où rapidité et fluidité priment. »
Et d’ajouter : « prendre les décisions très rapidement pour mettre les bonnes ressources au bon moment, en dehors du cycle annuel d’allocation des ressources, peut être extrêmement bénéfique pour les organisations. »
#7. Suivre l’impact économique
Depuis deux ans, un rééquilibrage s’opère. Les entreprises françaises ne cherchent plus « à faire du digital pour faire du digital, souvent avec des objectifs économiques et des acquisitions à droite et à gauche ». Elles reconnaissent désormais le besoin d’avoir une réflexion plus profonde sur la viabilité et la rentabilité économique d’un projet, mais aussi d’imaginer, étape après étape, comment passer de proof of concept à un déploiement à l’échelle. « Il ne s’agit plus uniquement de trouver des sources de financement pour les projets, mais bien d’avoir une obsession des chiffres pour suivre les résultats des tests et évaluer ce qui fonctionne, ce qui a des chances d’améliorer la performance de l’entreprise et ce qui doit être abandonné »
Et de conclure : « On voit bien que toutes les pièces du puzzle s’imbriquent bien entre elles. L’une ne peut se passer de l’autre. Avoir les bonnes compétences, mais ne pas les protéger, revient à dépenser beaucoup d’argent pour rien. »
Google a mis en place une nouvelle fonctionnalité dans l’appli YouTube pour que les utilisateurs Android puissent programmer un message d’avertissement qui leur conseille de « faire une pause » dans le visionnage de vidéos.
Les utilisateurs de l’appli YouTube sous Android peuvent désormais programmer un minuteur afin de se rappeler de « faire une pause » dans leur visionnage intensif de vidéos, ont relevé plusieurs médias américains ce week-end du 12 mai 2018.
Pour activer la fonction « me rappeler de faire une pause », il faut aller dans les paramètres de l’appli, puis « paramètres généraux ». En haut de la liste s’affiche désormais la nouvelle option, qui permet de programmer l’apparition d’un message pop-up qui vous permettra d’avoir une meilleure idée du temps que vous passez à regarder des contenus sur YouTue.
Il est possible de programmer un rappel toutes les 15, 30, 60, 90 ou 180 minutes.
Si vous n’y avez pas encore accès, pas de panique : le déploiement de l’option est encore en cours. Pensez à mettre à jour l’appli YouTube régulièrement pour avoir ce changement.
Cette nouvelle fonctionnalité fait partie des options dévoilées lors de la conférence Google I/O 2018, le 8 mai dernier. Elle avait toutefois déjà été repérée dans le code de l’appli avant son déploiement, avaient noté nos confrères de Frandroid.
Le rapport «Personalization Pulse Check» d’Accenture Interactive révèle que les consommateurs sont plus susceptibles de faire appel à une entreprise qui les traite de façon personnelle : 91% des consommateurs sont plus susceptibles de traiter avec une entreprise qui les reconnaît, se souvient d’eux et leur fournit des offres et des recommandations pertinentes.
Le rapport constate que les consommateurs ne recherchent pas des marques qui définissent leurs parcours, mais qui conçoivent des expériences leur permettant de créer leurs propres parcours. L’étude révèle que 75% des consommateurs apprécieraient de pouvoir créer et gérer un profil que les marques pourraient utiliser pour mieux organiser les expériences et faire des recommandations. L’enquête a demandé aux consommateurs dans quelle mesure ils jugeaient certaines démarches de personnalisation sympathiques ou inquiétantes, comme les messages d’excuse après une mauvaise expérience en ligne ou des vendeurs de magasin ayant accès à leur historique d’achats.
L’approche jugée la plus envahissante est l’utilisation de l’emplacement du consommateur pour proposer des offres personnalisées :
– 41% trouvent inquiétant de recevoir un message d’une marque lorsqu’ils passent près d’un magasin,
– 41% trouvent inquiétant de recevoir une notification mobile lorsqu’ils passent près d’un magasin,
– 35% trouvent inquiétant de recevoir des publicités sur les réseaux sociaux pour des articles qu’ils ont consultés sur le site Web d’une marque.
Les personnes interrogées ont indiqué qu’ils appréciaient l’envoi de messages électroniques d’excuses après une mauvaise expérience en magasin ou en ligne (45%) ou un message d’excuse sur le site Web de la marque (41%).
Accenture Interactive a consulté 8 000 consommateurs d’Amérique du Nord et d’Europe à propos de leurs préférences et de leurs attentes en matière d’interaction avec les marques, les magasins et les fournisseurs de service.